Regarde, Lucien l’âne mon ami, Riccardo propose une traduction française de cette chanson de Sinbad le Marin juste au moment où je terminais ma version française de cette même chanson.
Et lors ?, demande Lucien l’âne.
Alors ? Rien. Je m’en vais, répond Marco Valdo M.I., proposer la mienne, que j’ai faite en manière de clin d’œil à Gian Piero Testa par-dessus l’orbe de la Sphère-Monde et ainsi, il y en aura deux pour une comme aurait conclu Erich Kästner, du moins en français ; en allemand, le titre original est « Das doppelte Lottchen », une jolie histoire de jumelles... (continuer)
Chers Marco et Lucien ("u sciccareddu" ,comme on appellerait dans mon pays un joli âne ),
c’est un vrai plaisir de vous lire et apprendre par des dialogues à la manière de Socrate (ou plutôt de Platon). Mais ce ne serait qu’une première perception car plus je lis vos dialogues plus je m' aperçois de l’autre côté remarquable : un procédé d’analyse qui rappelle à quelques égards la méthode de déconstruction de Darrida et un certain « esprit de finesse ».
En souhaitant vos traductions des textes de chansons que j’irai proposer et surtout vos dialogues qui sont un ouvrage sur l’ouvrage,
Deux mots à propos de Sinbad.
Je me vois mal répondre à tant de compliment ; j’ai enfin un lecteur. Il est vrai que je le soupçonnais depuis longtemps, puisque ce lecteur était aussi le traducteur de certains de mes textes.
Donc, mille mercis.
Au fait, j’ai passé le cap des 3000 contributions aux CCG ; quel bazar !
Cependant, cette histoire de dialogue maïeutique m’oblige à procéder à une réflexion sur la chanson, mais aussi sur la Guerre de Cent Mille Ans – vale a dire, la guerre et la paix, le devenir ; c’est proprement une démarche de pensée, une pensée qui autrement resterait éteinte ou enfouie.
Ce qui est curieux, c’est que ce « dialogue » ne peut être oral (impossible, l’autre n’écoute pas et ne répond pas) et ne se fait que par l’entremise des doigts – et différemment selon qu’on utilise le crayon, la plume, le bic, le clavier, etc. C’est absurde, mais j’utilise... (continuer)
Andare, camminare, lavorare – ALLER, MARCHER, TRAVAILLER, tel est Lucien l’âne mon ami, le destin des gens d’à présent. Depuis un certain temps déjà et pas seulement des hommes, mais des femmes aussi – souvent encore, selon les endroits, aussi des enfants et des vieux. Est-ce heureux ? Je n’en sais rien. En vérité, je pense vraiment que ce ne l’est pas.
Pourquoi donc, Marco Valdo M.I., me dis-tu tout ça ?
Je dis tout ça, car Andare, camminare, lavorare – ALLER, MARCHER, TRAVAILLER, c’est le titre de la chanson dont je viens d’achever la version française ; et je te le dis, j’y ai mis du temps.
Oh, dit Lucien l’âne, c’est toujours comme ça avec la poésie. Cela dit, je pense que tu aurais pu intituler ta version française : Métro, boulot, dodo. Une antienne de ces années-là qui me semble vouloir... (continuer)
Aller, marcher, travailler, (continuer)
envoyé par Marco Valdo M.I. 3/8/2019 - 21:33
...mi chiedo da dove sia saltata fuori la frase finale francese: ALLEZ TRAVAILLER À PIED!
La signorina Verdini è maggiorenne e va a cena con chi vuole, senza essere obbligata da nessuno. E, non essendo una ragazza proletaria, ha probabilmente qualche libertà di scelta in più. Si può sempre dire di sì o di no, non è che è sempre colpa dei maschi. Non solo.
2/8/2019 - 17:30
La cosa che mi entusiasma spesso, nei contraddittori su internet, è la ferma pretesa della controparte di essere presa sul serio.
Ecco: diciamo che non si può avere tutto, nella vita!
L'articolo "Le Canzoni Partigiane" è pubblicato sul n.65, Agosto 2019, della riviata MARITTIME, che trovate all'indirizzo rivista.marittime@libero.it e che ha sede in Borgo San Dalmazzo (CN), cittadina posta all'imbocco della Valle Stura di Demonte.
Sono presentati i testi delle seguenti canzoni :
oltre al seguente ringraziamento:
Un particolare ringraziamento va a Gigi Garelli, Direttore dell'Istituto Storico della Resistenza di Cuneo per la collaborazione offerta.