Bravo Giorgio, chiunque tu sia che hai messo la mia canzone in questo sito, mi fa un grande piacere saperla qui tra tante canzoni sorelle che conducono per mano ad un mondo in cui la guerra sarà solo un brutto ricordo del passato.
Un abbraccio,
Tristano
Tristano 2013/5/20 - 12:08
Il piacere è semmai tutto nostro, caro Tristano. :-)
Congratulandomi per il brano sopra riportato, rivolgo anche a te la richiesta -che è ormai una consuetudine- rivolta a tutti gli autori che ci danno la bella soddisfazione di una visita su queste pagine, se per caso puoi segnalarci qualche altra tua canzone "sorellina" da poter inserire in questo archivio.
caro Riccardo,
figurati che guardando il video io avevo creduto che la canzone fosse di Moni Ovadia....i siti affidabili come questo non son mica tanti e non è molta la gente che riesce a trovare tutta questa messe di motizie. Grazie
Chanson italienne – Uguaglianza – Paolo Pietrangeli – 1969
Ah, Marco Valdo M.I. mon ami, que me chantes-tu là... avec un titre pareil. Imagine Égalité ? Dans le monde où je te vois vivre et où je suis contraint de t'accompagner chaque jour, l'égalité n'existe pas... Sauf peut-être en mathématiques... Et encore. C'est là une égalité théorique, car dès qu'on passe dans le réel, tout se met sens dessus dessous. D'abord, en soi, c'est une absurdité... Prenons les ânes... Il n'y en a pas un qui soit comme l'autre. À moins que cette égalité soit une sorte de point Oméga, une sorte de lointain que jamais on n'atteint, une sorte d'horizon impossible. En somme, un principe...
Ouf, Lucien l'âne mon ami, tu ne sais pas comme tu as raison et comme sans laisser le temps de dire un mot, tu est allé directement au fait, au cœur de la chose. La chanson de Pietrangeli ne dit rien d'autre que ce que tu as... (Continues)
ÉGALITÉ (Continues)
Contributed by Marco Valdo M.I. 2013/5/20 - 14:27
Tiré de l'enregistrement en direct de la première représentation du spectacle de Dario Fo « On y pense et chant n°.2 », mis en scène à la Bourse du Travail de Milan le 8 avril 1969
Le texte qui passe sur l'écran est celui publié dans le livret édité par Giorgio Bertani Editore en novembre 1972 et il est légèrement différent de celui chanté par Caterina Bueno, que je rapporte de suite :
Un abbraccio,
Tristano