Pour commencer, hourra pour Alessandro d'avoir mis Michel Bühler parmi les pensionnaires de Canzoni contro la Guerra.
C'est fou comme les chanteurs (et plus encore, les chantauteurs) qui disent juste et bien les choses du monde, ont du mal à se faire entendre au delà de petits cénacles... et s'ils sont romands en plus...
Et Marco Valdo M.I. est tout à fait ravi de saluer ici un Vaudois – ce qui pourrait bien se traduire par « du pays de Valdo ».

Pour la chanson, un petit commentaire.
C'est marrant comme l'histoire se répète. Bien entendu, cette chanson parle des grenouilles de l'Élysée contemporain... Mais, à première lecture et pendant un instant, je l'avais crue de l'époque précédente. En effet, quand on y pense, cette chanson aurait aussi bien pu célébrer le départ d'un vieux menteur, celui qu'on nomma en son temps le Vieillard maniaque et son remplacement par l'Intriguant qui depuis... (Continues)

Confesso che presento molte lacune sui Monty Python, anche se mi sono a suo tempo sbellicato con Brian di Nazareth; ma tanto, prima o poi, tutto quanto finisce sulle CCG :-)

Moi aussi je veux ajouter quelque chose.

Ce site, à sa façon, est une espèce de "Voyage au bout de la nuit" à travers de chansons qui parlent souvent des nuits les plus profondes et obscures que l'humanité entière ait vécu.

C'est un site où la chanson se confond souvent avec la littérature en toutes ses formes. Le "Voyage" de Céline est peut-être l'œuvre antimilitariste la plus terrible de tous les temps. On pourrait bien l'utiliser pour une "page-millier", comme on a fait avec le monologue final du "Dictateur" de Charlie Chaplin, ou "Guerre à la guerre" d'Ernst Friedrich.

Ce n'est pas un livre facile, je le repète. Sa lecture peut troubler. Il s'agit, certes, d'un voyage "au bout de la nuit", mais, avant, il faut bien la traverser entièrement, cette nuit; et Céline la traverse et la fait traverser sans escomptes. C'est pour ça que j'aime particulièrement la couverture de Tardi, A flickering... (Continues)

Ora che ci penso...o meglio, mentre stamani leggevo delle Lofoten di Alessandro, mi si è messa in azione la memoria. Dove l'avevo letto delle Lofoten? Poi all'improvviso me ne sono ricordato: negli esercizi del "Teach Yourself Modern Greek", un manualetto di greco moderno che ho da 25 anni, scritto da tale S.A. Sofroniou per la collana "Teach Yourself Books". L'esercizio di traduzione n° 64 è una poesia di Nikos Kavvadias (Νίκος Καββαδίας, 1910-1975) dedicata a un marinaio delle Lofoten, il pilota Nagel. Beh, mi piace riportare qui questa poesia, scritta in greco su un marinaio giramondo di isole norvegesi, cui prende una crisi fatale di nostalgia...:-) L'autore, Nikos Kavvadias, fu realmente un marinaio giramondo, e sin dalla nascita: era infatti nato "leggermente" lontano dall'Ellade, a Harbin in Manciuria (ora nella Repubblica Popolare Cinese). (PS Credo tra l'altro che la poesia sia stata... (Continues)

Aspetto qualche altra notizia al riguardo, e se del caso la metto negli Extra.

La canzone è di Bühler e gli va interamente attribuita.

Per quanto riguarda il testo, il layout da te proposto all'inizio è evidentemente un pastrocchio fatto dai titolari del sito da cui lo hai ripreso, per risparmiare spazio; è un caso frequente e lo eliminerò per riportare solamente la versione presente sul sito dell'autore. Quanto al plurale al posto del singolare, per me si tratta soltanto di un errore di ortografia comunissimo in francese, dove la "s" del plurale è nella maggior parte dei casi soltanto grafica e non viene pronunciata affatto. Nella versione del testo che hai trovato l'errore è generalizzato; e, comunque, ne contiene anche altri che sono stati corretti. Ti posso solo dire che, quando scrivo in francese, prima di fare clic su invio controllo sempre di non aver fatto errori del genere, che peraltro faccio sempre. L'ortografia francese è semplicemente criminale :-)

Però... (Continues)

Il trailer del documentario "S.O.P. - Standard Operating Procedure" di Errol Morris.

Non seulement, tu es pardonné, mais en plus, je suis très heureux d'avoir un correcteur aussi attentif... Plus attentif encore que moi-même. Cela dit, dans une vie antérieure, lorsque j'écrivais (professionnellement), j'avais toujours un correcteur qui revoyait mes textes et suggérait des corrections. Parfois impérativement, d'ailleurs. Ce qui donnait certaines explications parfois houleuses...
Même le claviste trouvait à son tour de mes erreurs et les corrigeait. C'était fabuleux ! J'étais sûr d'avoir eu un autre lecteur que moi.
Mais j'apprécie aussi beaucoup les explications; elles aident à mieux comprendre, mieux savourer les chansons qu'on découvre. Car la canzone a ceci de particulier, c'est qu'elle est très concentrée, très resserrée et dès lors, souvent elliptique.Et de surcroît, quand elle est bonne, elle n'hésite pas à être carrément poétique.Autrement dit de s'envelopper d'un voile de mystère...

Bref, tout ça pour dire, que je suis très content que tu m'aies corrigé.

Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.

La version française chantée par Dalida est l'oeuvre de Pierre Delanoë (1918 - 2006), qui écrivit pour nombre de chanteuses et chanteurs français environ 5000 chansons, dont bon nombre de scies...
On reconnaît très bien sa "patte" (mielleuse) dans cette version française - très édulcorée - de la chanson italienne d'origine.
De la version très proche du cinéma réaliste italien, on passe à une sorte de conte de Noël pour patronages et catéchismes.
En somme, c'est comme la souris verte de la comptine : trempez-la dans l'huile, trempez-la dans l'eau, ça fera un escargot tout chaud.
Ainsi Parlait Marco Valdo M.I.