Questa è una traduzione senza pretese, nel senso che ho scoperto la canzone già nella traduzione inglese di Chris e quindi ho fatto solo un confronto con il testo in lingua araba.
La ricompensa per la pace? Dall'11 gennaio saran 18 anni che sto su questa terra, considererò l'esistenza di questo archivio un grande regalo. Considero un onore collaborare con voi.
No, non credo nelle ricompense. Sanno (=hanno il gusto) di feticcio. =D
Mi spiace se molte canzoni in lingua ebraica non le ho potute inserire, ma erano prive di traduzione in una lingua occidentale su cui appoggiarmi. :/
ΔΙΩRAMA Poco Ligio All'Ufficialità! 9/1/2009 - 20:26
Un grande regalo per noi sono persone come te, e te lo voglio dire a chiare, chiarissime lettere. Intanto non ti stupire se non vedi nel tuo messaggio la lista delle canzoni per il nuovo percorso (a quelle in lingua ebraica ci penserò io): l'ho presa io e salvata in un file per poterla ovviamente utilizzare. Che dirti? Grazie di cuore per ora; poi stai pronto alla sorpresa. :-)
à partir de la version italienne – Figlio di mamma in KZ, d'une chanson d' Aleksander Kulisiewicz, écrite en 1942, intitulée "Mamysinek w koncentratku".
Dans la chanson apparaît le terme Volksdeutsch, qui est un terme nazi qui désignait une personne d'ascendance allemande qui vivait à l'extérieur de l'Allemagne; et celui de Häftling, qui désigne un prisonnier dans un camp de concentration et/ou d'extermination.
À la lecture, cette chanson apparaît dans toute sa puissance d'ironie et de dérision. Une sorte d'humour décapant, destiné en effet à décaper toute la terreur et toute l'horreur qu'ont ressenties ceux qui sont passés au travers des tortures, des horreurs, des douleurs, des privations et de la folie de leur être d'humain à un être de fumée et de cendres.
Dédiée au porc Almirante et à ses sbires frappeurs qui aujourd'hui, s'assoyant sur les sièges du pouvoir, ont dédouané les centurions qui errent ici et là en Italie pour tuer et massacrer et à brûler les camps des Roms, comme dans la meilleure tradition nazie.
Et au père de tous ces porcs, Giorgio Almirante, son fils préféré, Gianni Alemanno, aujourd'hui général de l'Urbe (maire de Rome), voudrait dédier une rue....
Une rue dédiée à un des auteurs des lois raciales fascistes (il fut même le secrétaire de rédaction de la revue « La défense de la race »), à un capomanipule (commandant d'un manipule fasciste) de la République de Salò (la bien nommée...), un officier des Brigades Noires, un des persécuteurs les plus acharnés de partisans, un qui dans les années 70 fut impliqué dans le stragisme (stratégie du massacre des civils italiens mise en œuvre par les fascistes, la droite et les services... (continuer)
LE SEUL BON FASCISTE EST UN FASCISTE MORT (continuer)