Tri Yann: De Nivôse en Frimaire
Où Ian traverse les saisons où lui sont contés les heurs et malheurs des
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envoyé par Riccardo Venturi 28/7/2008 - 23:56
Mio fratello è figlio unico
io tempo fa scrissi questa lettera a Rino Gaetano e la dedicai proprio a Riccardo.
La metto qui:
a Riccardo,
perché lo stimo e perché questo tipo di scritti me li ha fatti amare lui
ciao Rino,
come stai? Ti scrivo dopo più di trent’anni perché ieri, dal mio letto bianco di calce di un corridoio d’ospedale – le stanze erano piene –, ti ho pensato. Sai perché ero lì? Ho finalmente trovato il coraggio di operarmi al fegato.
Lo so che starai sorridendo indulgente; starai pensando: «Ma era un gioco verbale! “Non hai il coraggio di operarti” si può anche dire con “non hai fegato”, e allora come fai a operartelo?». Lo so. Però la scienza ha fatto passi da gigante in questi trent’anni e non ci lasciano più nemmeno il fascino delle metafore: hanno trovato un donatore compatibile e dalle sue cellule hanno clonato il fegato e me l’hanno trapiantato; poi birra e whisky hanno fatto il resto e nel... (continuer)
La metto qui:
a Riccardo,
perché lo stimo e perché questo tipo di scritti me li ha fatti amare lui
ciao Rino,
come stai? Ti scrivo dopo più di trent’anni perché ieri, dal mio letto bianco di calce di un corridoio d’ospedale – le stanze erano piene –, ti ho pensato. Sai perché ero lì? Ho finalmente trovato il coraggio di operarmi al fegato.
Lo so che starai sorridendo indulgente; starai pensando: «Ma era un gioco verbale! “Non hai il coraggio di operarti” si può anche dire con “non hai fegato”, e allora come fai a operartelo?». Lo so. Però la scienza ha fatto passi da gigante in questi trent’anni e non ci lasciano più nemmeno il fascino delle metafore: hanno trovato un donatore compatibile e dalle sue cellule hanno clonato il fegato e me l’hanno trapiantato; poi birra e whisky hanno fatto il resto e nel... (continuer)
Paolo Talanca 28/7/2008 - 23:17
Oh Carmela!
[1977]
Testo e musica di Donatella Rettore e Claudio Rego
Presentata a Sanremo
Testo e musica di Donatella Rettore e Claudio Rego
Presentata a Sanremo
Carmela regalava caramelle colorate
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envoyé par Botta27_rabbia_HxC 28/7/2008 - 23:00
Quarant'anni
Chanson italienne – Quarant' anni – Modena City Ramblers – 1994
C'est une chanson consacrée aux quarante ans de la République italienne.
En fait, elle raconte l'histoire d'une femme de quarante ans qui se retourne sur son passé et sur toutes ses aventures, sur les gens qu'elle a fréquentés, sur la façon dont elle a mené sa vie et le bilan n'est pas des plus reluisants. Quant à ses souvenirs, ils valent ce qu'ils valent, ce sont ceux d'une femme à la mémoire un peu fantasque, un peu embrumée, peut-être s'est-elle trop regardée à la télévision ...
Telle est la chanson de la république parue sous les traits d'une femme de quarante ans dont la vie ne fut pas rose, ni la vie que ceux qui l'avaient portée au jour au travers de la résistance, de la mort de dizaines de milliers d'entre eux... auraient voulu qu'elle ait...
En fait, ses « bons amis » l'avaient déjà déviée du droit chemin en faisant... (continuer)
C'est une chanson consacrée aux quarante ans de la République italienne.
En fait, elle raconte l'histoire d'une femme de quarante ans qui se retourne sur son passé et sur toutes ses aventures, sur les gens qu'elle a fréquentés, sur la façon dont elle a mené sa vie et le bilan n'est pas des plus reluisants. Quant à ses souvenirs, ils valent ce qu'ils valent, ce sont ceux d'une femme à la mémoire un peu fantasque, un peu embrumée, peut-être s'est-elle trop regardée à la télévision ...
Telle est la chanson de la république parue sous les traits d'une femme de quarante ans dont la vie ne fut pas rose, ni la vie que ceux qui l'avaient portée au jour au travers de la résistance, de la mort de dizaines de milliers d'entre eux... auraient voulu qu'elle ait...
En fait, ses « bons amis » l'avaient déjà déviée du droit chemin en faisant... (continuer)
QUARANTE ANS
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envoyé par Märco Valdo M.I. 28/7/2008 - 14:36
Lettera dal fronte
Chanson italienne – Lettera dal fronte – Modena City Ramblers – 1997
LETTRE DU FRONT
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envoyé par Mârco Valdo M.I. 28/7/2008 - 09:51
Flamenco de Paris
[1946]
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Léo Ferré a toujours, comme tous les anarchistes du monde d'après 1936, eu un sentiment d'une virulence extrême pour l'Espagne et plus spécialement, pour cette Espagne de Buonaventura Durruti, d'Ascaso et de centaines de milliers de paysans et d'ouvriers anarchistes. Cette Espagne où on fut si proche d'une société débarrassée des gens de pouvoir – que ce soit celui de l'argent ou celui de la force, militaire, économique, politique ou étatiste. L'Espagne fut et reste – à cause cela – accrochée au cœur de l'Europe et en ayant sauvé notre honneur et notre espérance, même si après Tolède, Valence, Madrid, Barcelone, Bilbao, les loups sont entrés dans Paris.
Dès le début, quand il commença sur scène (bien petite encore cette scène au bords de Seine), Léo Ferré crevait le cœur des gens avec ce Flamenco de Paris sorti tout droit... (continuer)
Paroles et musique: Léo Ferré
Testo e musica: Léo Ferré
Léo Ferré a toujours, comme tous les anarchistes du monde d'après 1936, eu un sentiment d'une virulence extrême pour l'Espagne et plus spécialement, pour cette Espagne de Buonaventura Durruti, d'Ascaso et de centaines de milliers de paysans et d'ouvriers anarchistes. Cette Espagne où on fut si proche d'une société débarrassée des gens de pouvoir – que ce soit celui de l'argent ou celui de la force, militaire, économique, politique ou étatiste. L'Espagne fut et reste – à cause cela – accrochée au cœur de l'Europe et en ayant sauvé notre honneur et notre espérance, même si après Tolède, Valence, Madrid, Barcelone, Bilbao, les loups sont entrés dans Paris.
Dès le début, quand il commença sur scène (bien petite encore cette scène au bords de Seine), Léo Ferré crevait le cœur des gens avec ce Flamenco de Paris sorti tout droit... (continuer)
Tu ne m'as pas dit
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envoyé par Marco Valdo M.I. 27/7/2008 - 17:28
Minas piedras
LA VIDA… ES UN RATICO (“La vita è un momento”) è il quarto album in studio di Juanes ed è uscito ad ottobre 2007 in tutto il mondo, facendo seguito al fortunato “Mi Sangre”, che grazie alla hit “La Camisa Negra” in esso contenuta, ha spopolato anche in Italia. Questa nuova versione italiana dell’album contiene il duetto inedito “Dove le pietre sono mine (Minas piedras)” con la partecipazione di Pau dei Negrita, nato dall’incontro tra i due lo scorso gennaio a Milano e sfociato in uno showcase, dove Juanes ha avuto modo, sia di presentare l’album che di salire sul palco con Pau e Drigo dei Negrita e presentare il brano per la prima volta. Juanes, oltre ad essere il leader della scena mondiale latina, con ben oltre 9 milioni di dischi venduti nel mondo e ben 12 Grammys Latini nel suo palmarès, è soprattutto un cantautore e musicista socialmente impegnato. Il suo messaggio musicale di pace... (continuer)
DOVE LE PIETRE SONO MINE
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27/7/2008 - 12:30
Buráky
(popolare + una versione piu' rock di Alkehol)
NOCCIOLINE
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envoyé par Stanislava Sebkova 26/7/2008 - 15:06
Ni Dieu ni Maître
Tant qu'à être excommunié, exclu de partout, persécuté dans la guerre sociale, poursuivi, dénoncé, rejeté de leur société, vilipendé et traité d'anarchiste, autant chanter Ni Dieu, ni Maître avec Léo Ferré.
Oh, il n'y a pas de quoi faire in champion, une vedette, un héros, mais un homme, oui, sûrement !
C'est d'ailleurs la seule façon...
Ne jamais se soumettre ! (ni à un dogme, ni à un parti, ni à une église, ni à une religion, ni à un pouvoir, ni à un Dieu, ni à plusieurs Dieux, ni à un Maître, ni à plusieurs Maîtres...) : la seule façon de vivre debout, c'est de ne jamais courber l'échine.
Ainsi parlait Marco Valdo M.I. vous souhaitant, comme Léo Ferré, NI DIEU NI MAITRE.
Oh, il n'y a pas de quoi faire in champion, une vedette, un héros, mais un homme, oui, sûrement !
C'est d'ailleurs la seule façon...
Ne jamais se soumettre ! (ni à un dogme, ni à un parti, ni à une église, ni à une religion, ni à un pouvoir, ni à un Dieu, ni à plusieurs Dieux, ni à un Maître, ni à plusieurs Maîtres...) : la seule façon de vivre debout, c'est de ne jamais courber l'échine.
Ainsi parlait Marco Valdo M.I. vous souhaitant, comme Léo Ferré, NI DIEU NI MAITRE.
Marco Valdo M.I. 26/7/2008 - 14:50
Faith And Hope
album reason to believe
Faith and hope
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envoyé par jessica 26/7/2008 - 10:34
One Reason
Traccia 2; album: Reason to believe
You take the best away
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envoyé par Jessica 26/7/2008 - 10:31
As Long As We Can
Album: Reason to believe
Here we go again
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envoyé par Jessica 26/7/2008 - 10:28
Coplas del payador perseguido
[1972]
Palabras y música: Atahualpa Yupanqui
Testo e musica: Atahualpa Yupanqui
Nel 1971 Atahualpa Yupanqui fu aggredito da alcuni militari di estrema destra che, col calcio dei fucili, gli ferirono gravemente le mani. Le mani con cui suonava la sua chitarra, con un gesto che sarà ripetuto dai militari golpisti cileni, due anni dopo, nei confronti di Víctor Jara poco prima che fosse ucciso. In risposta a questo episodio, Atahualpa Yupanqui scrisse le sue famosissime, e lunghissime, Coplas del payador perseguido, alternando la recitazione al canto e accompagnandosi con la chitarra. Non molto dopo partì per il suo esilio parigino (e a Parigi morrà il 23 maggio 1992).
Le Coplas raccontano tutta la vita di Atahualpa Yupanqui, uno che “era venuto da lontano per raccontare qualcosa” (questo significa il suo pseudonimo in lingua quechua, atawallpa yupanki; in realtà si chiamava Héctor Roberto... (continuer)
Palabras y música: Atahualpa Yupanqui
Testo e musica: Atahualpa Yupanqui
Nel 1971 Atahualpa Yupanqui fu aggredito da alcuni militari di estrema destra che, col calcio dei fucili, gli ferirono gravemente le mani. Le mani con cui suonava la sua chitarra, con un gesto che sarà ripetuto dai militari golpisti cileni, due anni dopo, nei confronti di Víctor Jara poco prima che fosse ucciso. In risposta a questo episodio, Atahualpa Yupanqui scrisse le sue famosissime, e lunghissime, Coplas del payador perseguido, alternando la recitazione al canto e accompagnandosi con la chitarra. Non molto dopo partì per il suo esilio parigino (e a Parigi morrà il 23 maggio 1992).
Le Coplas raccontano tutta la vita di Atahualpa Yupanqui, uno che “era venuto da lontano per raccontare qualcosa” (questo significa il suo pseudonimo in lingua quechua, atawallpa yupanki; in realtà si chiamava Héctor Roberto... (continuer)
I.
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envoyé par Riccardo Venturi 25/7/2008 - 18:07
Volver a los diecisiete
In fondo a questa pagina, ci piace inserire uno straordinario video in cui Violeta Parra, in francese (ma sottotitolata in spagnolo), racconta tutta la sua vita mentre tesse. Qualcosa da guardare e ascoltare in silenzio.
Riccardo Venturi 25/7/2008 - 17:33
Who's Gonna Fight in the Third World War?
CHI COMBATTERA' NELLA TERZA GUERRA MONDIALE?
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envoyé par Kiocciolina 25/7/2008 - 15:45
Elegia per gli impiccati di Bassano
Ecco il boia di Bassano
da L'Espresso Online, 24 luglio 2008
Articolo di Paolo Tessadri
Si chiama Karl Franz Tausch, ha 85 anni, vive in una villetta a Langen, in Assia. È autore di una delle più orribili stragi naziste: 31 giovani impiccati agli alberi del corso centrale di Bassano del Grappa il 26 settembre 1944. Lui e gli altri responsabili, tedeschi e italiani, non sono mai stati processati.
L'immagine rimarrà indelebile nella storia degli eccidi nazisti in Italia. La foto ritrae trentuno corpi di giovani senza vita che penzolano dagli alberi del lungo viale di Bassano del Grappa. Un impiccato per ogni albero, con i piedi, per alcuni, a pochi centimetri dal suolo. Appesi a piante che appaiono dei grandi funghi. Le mani legate dietro, davanti, sul petto, un cartello con la scritta "bandito". Lasciati lì, appesi per venti lunghe ore in segno di spregio e per terrorizzare la popolazione.... (continuer)
da L'Espresso Online, 24 luglio 2008
Articolo di Paolo Tessadri
Si chiama Karl Franz Tausch, ha 85 anni, vive in una villetta a Langen, in Assia. È autore di una delle più orribili stragi naziste: 31 giovani impiccati agli alberi del corso centrale di Bassano del Grappa il 26 settembre 1944. Lui e gli altri responsabili, tedeschi e italiani, non sono mai stati processati.
L'immagine rimarrà indelebile nella storia degli eccidi nazisti in Italia. La foto ritrae trentuno corpi di giovani senza vita che penzolano dagli alberi del lungo viale di Bassano del Grappa. Un impiccato per ogni albero, con i piedi, per alcuni, a pochi centimetri dal suolo. Appesi a piante che appaiono dei grandi funghi. Le mani legate dietro, davanti, sul petto, un cartello con la scritta "bandito". Lasciati lì, appesi per venti lunghe ore in segno di spregio e per terrorizzare la popolazione.... (continuer)
Riccardo Venturi 24/7/2008 - 18:28
Aida
Grande Rino, cantore della patria balorda, ma grazie anche a voi per questa SPLENDIDA recensione di Aida! Non avrei potuto desiderare di aver spiegata meglio questa poesia...
Lia 24/7/2008 - 14:58
Il fannullone
Chanson italienne – Il Fannullone – Fabrizio De André et Paolo Villaggio – 1963
C'est une ancienne, même très ancienne chanson de De Andrè écrite, en 1963, avec son ami Paolo Villaggio, auteur de Fantozzi, personnage comique, qui est un des plus grands réquisitoires contre le travail et contre le patronat qui ait jamais été écrit dans ce pays (L'Italie). Le monde de la grande entreprise déshumanisante, le patron sanctifié avec ses fauteuils en peau humaine, le pauvre employé avec ses qualités et ses défauts, son humanité et ses saloperies, qui d'une certaine manière cherche à survivre. Fantozzi, lui aussi, est désormais entré dans l'usage comme nom commun : un fantozzi, dit-on depuis des années.
(À cet égard, note Marco Valdo M.I., le Zingarelli 2000 propose également l'adjectif fantozziano [ dal n. del ragioniere Ugo Fantozzi, personagggio creato del comico P. Villaggio – 1977], agg... (continuer)
C'est une ancienne, même très ancienne chanson de De Andrè écrite, en 1963, avec son ami Paolo Villaggio, auteur de Fantozzi, personnage comique, qui est un des plus grands réquisitoires contre le travail et contre le patronat qui ait jamais été écrit dans ce pays (L'Italie). Le monde de la grande entreprise déshumanisante, le patron sanctifié avec ses fauteuils en peau humaine, le pauvre employé avec ses qualités et ses défauts, son humanité et ses saloperies, qui d'une certaine manière cherche à survivre. Fantozzi, lui aussi, est désormais entré dans l'usage comme nom commun : un fantozzi, dit-on depuis des années.
(À cet égard, note Marco Valdo M.I., le Zingarelli 2000 propose également l'adjectif fantozziano [ dal n. del ragioniere Ugo Fantozzi, personagggio creato del comico P. Villaggio – 1977], agg... (continuer)
LE FAINÉANT
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envoyé par Marco valdo M.I. 23/7/2008 - 21:58
Los pobres no tienen patria
I POVERI NON HANNO PATRIA
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envoyé par Kiocciolina 23/7/2008 - 21:56
Dall'ultima galleria
Piacenza, July 23, 2008.
“This song is a hymn to life and a cry against those who do not want us to live. This song is on myself, on my love for Genoa, on the cup of coffee I drink anytime I come to the kiosk just outside Piazza Principe station, on the neverending tunnel the train passes through before arriving. This is my song, and on July 20, 2001, at 5:30 pm, I was distant but 300 m from Alimonda square, as I got to know a few months later when I was back there. ‘All this is alive, neither distance nor coward soldiers could kill it.’ “ (Alessio Lega)
FROM THE LAST TUNNEL
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23/7/2008 - 18:51
Dead Man Walkin'
Morte al luna park
Ne ho letti tanti, di racconti horror.
Il luna-park è un ambiente che ben si presta a certi argomenti, e di solito la sensazione che se ne ottiene spazia facilmente dall'inquietudine al disgusto.
E questo colpo di genio venuto ad un giostraio del luna park dell'Idroscalo di Milano si adatta veramente bene ad un racconto horror, di quelli senza mostri e senza alieni, di quelli che hanno come protagonisti solo gli esseri umani e la loro mente distorta.
Come si combatte la pena di morte, quando le famigliole si divertono davanti ad una sedia elettrica in funzione, con tanto di manichino sopra?
k.d.
La notizia su Repubblica on line
Ne ho letti tanti, di racconti horror.
Il luna-park è un ambiente che ben si presta a certi argomenti, e di solito la sensazione che se ne ottiene spazia facilmente dall'inquietudine al disgusto.
E questo colpo di genio venuto ad un giostraio del luna park dell'Idroscalo di Milano si adatta veramente bene ad un racconto horror, di quelli senza mostri e senza alieni, di quelli che hanno come protagonisti solo gli esseri umani e la loro mente distorta.
Come si combatte la pena di morte, quando le famigliole si divertono davanti ad una sedia elettrica in funzione, con tanto di manichino sopra?
k.d.
La notizia su Repubblica on line
daniela -k.d.- 23/7/2008 - 11:56
La historia esta
Rettifica. Confermo l'integrità dell'archivio su filesend:
http://www.filesend.net/download.php?f...
(Scaricare e decomprimere inserendo la pw seguente, corrispondente all'indirizzo del sito "El Blog de la Buene Musica": http://elblogdelabuenamusica.blogspot.com/)
http://www.filesend.net/download.php?f...
(Scaricare e decomprimere inserendo la pw seguente, corrispondente all'indirizzo del sito "El Blog de la Buene Musica": http://elblogdelabuenamusica.blogspot.com/)
Alessandro 23/7/2008 - 08:32
Via della Povertà [versioni modificate e versione da album], incl. Desolation Row by Bob Dylan
Chanson italienne – Via della Povertà (Prima versione modificata "Anni '70") – Fabrizio De André – 1974
À la fin de 1974, en préparation de sa toute première tournée de concerts, Fabrizio De Andrè se divertit, à Asti, à chanter cette version de “Via della Povertà” en substituant aux personnages de la chanson les noms de politiciens italiens et d'autres personnages de cette époque, en les insérant dans les situations de ce moment. Au-delà, il y a aussi des variations textuelles importantes et même “dures”...
RUE DE LA PAUVRETÉ (PREMIÈRE VERSION MODIFIÉE)
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envoyé par Marco Valdo M.I. 23/7/2008 - 00:06
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Paroles de Jean-Louis Jossic
Musique de Jean Chocun
Teso di Jean-Louis Jossic
Musica di Jean Chocun
Album: Le Pélégrin (Tri Yann)
Se questa deliziosa canzone dei « Tre Giovanni » ancora non era stata inserita negli « Extra », era soltanto perché non ero mai riuscito a trovarne il testo in rete; ora che ci sono riuscito, ve la presento in tutto il suo splendore. Proviene da un album strano, « Le Pélégrin », un concept che racconta lo squinternato viaggio di Ian, un pellegrino irlandese a Santiago de Compostela. In che epoca siamo? Non si sa. Antico e moderno si mescolano in un pot-pourri che ricorda decisamente da vicino tutta la produzione artistica del gruppo di Nantes, ed anche il loro modo di andare in scena -decisamente pittoresco. Un pellegrinaggio a uno dei luoghi più santi della cristianità, anzi il pellegrinaggio per eccellenza con tutto il suo corollario di vie francìgene,... (continuer)