Vittorio De Scalzi: voce, 6 e 12 corde
Andrea Maddalone: chitarre elettriche
Massimo Trigona: basso fretless
Edmondo Romano: thin and low whistle, cornamusa musette
Enzo Zirilli: batteria e percussioni (djembè shakers
Martino Coppo: mandolino basso
White Light Orchestra
Stefano Cabera: 1° violoncello
Roberto Izzo: 1° violino
Raffaele Rebaudengo: 1° viola
Un testo lucidissimo sul colonialismo e l'emigrazione, senza retorica, e con la visione delle cose che solo i grandi poeti sanno avere.
Chanson italienne – Esplosioni nucleari a Los Alamos – Marco Ongaro – 2004
(Version corrigée)
Comme d’habitude, Lucien l’âne mon ami, je sais que tu vas me poser la question rituelle à propos de l’étrangeté de ce titre incongru. Et tu auras raison. Comme d’habitude aussi, je vais commencer par te dire que ma traduction ou plus exactement, ma version française de la canzone n’est pas tout à fait conforme à l’originale italienne. Et comment le pourrait-elle ? C’est une absurdité d’imaginer qu’elle pourrait l’être. Il y a mille raisons à ça et la principale, c’est que pour refléter exactement un texte, il n’y a pas d’autre voie que de le recopier tel quel. À partir de là, comme d’habitude, je rappellerai la raison essentielle pour laquelle je me bricole des versions françaises de textes conçus en d’autres langues et là, c’est tout aussi évident, c’est parce que je ne les comprends pas et... (continuer)
cher Marco Valdo, je respecte toutes les interprétations, mais pourquoi "John Ford passa" et
"John Wayne NOUS passa"?????? et aussi
"Clark Gable NOUS passa" et
"Marilyn Monroe NOUS passa"??????
En italien CI PASSO' signifie qu'il est passé par la, (dans ce cas "CI" n'a rien à voir avec NOUS) donc seule la ligne de john ford est traduit correctement...........
Dans la base de Los Alamos, il a été conçu et construit la première bombe américaine.
D’abord, merci beaucoup Flavio de ces excellentes remarques.
Ton intervention prouve plusieurs choses :
La première, c’est que tu as lu le texte.
La seconde, c’est que comme il est dit dans le commentaire (« D’aucuns imaginent ingénument que je connais d’autres langues que le français. Ils se trompent. »), je ne connais pas l’italien. Et il faut parfois corriger ce que je fais ; alors corrigeons. Et merci encore au correcteur.
Cela dit, je ne fais pas de traduction – jamais ; je me « bricole une version française », que j’offre à lire à d’autres, s’ils le désirent. Il y a donc sans doute un certain écart entre le texte de départ et la version française ; mais n’est-ce pas pareil pour n’importe quelle traduction ?
Cela dit, si je comprends bien, il suffit de supprimer ce « nous » ennuyeux et superfétatoire pour que le texte soit meilleur. Alors, supprimons-le et la version française... (continuer)
Caro Marco Valdo, è meglio che io ti parli in italiano perchè non vorrei che questo sembrasse un dialogo a due, tanto tu lo comprendi. Sono d'accordo con te su tutto quello che hai scritto, così d'accordo che il mio primo disco omaggio a Cohen si intitolava infatti "Com(m)e trad(u)ire Leonard Cohen"....Mi sono permesso di intervenire solamente perchè in questo caso si tratta di un testo dell'autore Marco Ongaro. Devi sapere che noi due ci conosciamo da circa 40 anni e di tutte le sue canzoni io curo un archivio privato che ne contiene centinaia e centinaia di inedite, eseguite solamente in pubblico e mai inserite nei dischi. Inoltre insieme abbiamo realizzato la versione italiana anche di una cinquantina di canzoni di Cohen e io ho avuto il piacere di parlare di esse direttamente con Leonard, tanti annni fa all'Hotel Palace di Milano. Quella del titolo è una "licenza", non è da prendere alla... (continuer)
Je réponds d’abord à ta question relative à l’Hexagone. À certains égards, Lucien et moi, on pourrait, en effet, être en Bretagne ou en Suisse. Mais comme je l’ai plusieurs fois évoqué ici dans mes dialogues avec Lucien Lane, nous vivons retirés dans une réserve indienne de Wallonie et donc, nous ne sommes pas dans l’Hexagone.
Parenthèse sur les réserves indiennes de Wallonie : ce sont d’anciennes zones minières qui sont densément peuplées d’Italiens et de leurs descendances. Au point qu’ici récemment, un éminent professeur d’une université italienne, qui était de passage pour faire une conférence à propos de Darwin, a circulé dans la ville plusieurs jours en s’adressant aux gens en italien et se voyant au minimum compris et le plus souvent, la réponse lui était donnée dans sa langue (sauf par moi). On dirait une ville frontalière à 1000 km de la Botte.
[1995]
Parole e musica di Marco Ongaro
Nell'album intitolato “Certi sogni non si avverano”
In questa e altre tre canzoni contenute nel disco alla voce c'è Dodi Moscati, che firma anche il ritratto di Ongaro in copertina.
caro B, vedo che ti stai dando da fare: quattro anni prima Dodi aveva voluto interpretare un brano di Marco (Non lacrimate le aiuole) nel suo disco Accidenti, erano altri tempi, altro secolo, amavamo tutti le canzoni di Piero Ciampi, le canzoni aiutano ad unire, n'hen eus mann a vad bars ar bed, met caroud ha bezan caret (come dicono i bretoni),ciao da un treno, F.
Poesia di Piero Ciampi musicata e cantata da Dodi Moscati, presente in "Bacio Di Cane Bacio Di Gatto" - Dodi Moscati e Mazapegul, 1997 e in "Inciampando" - tributo di più artisti a Piero Ciampi, registrato dal vivo al Teatro Brancaccio di Roma il 18 dicembre 1995, interpretata assieme a Marco Ongaro.
Testo di Riccardo Mannerini adattato da Marco Ongaro
Musica di Vittorio De Scalzi
Album: Gli Occhi del Mondo
Andrea Maddalone: chitarre elettriche
Massimo Trigona: basso fretless
Edmondo Romano: thin and low whistle, cornamusa musette
Enzo Zirilli: batteria e percussioni (djembè shakers
Martino Coppo: mandolino basso
White Light Orchestra
Stefano Cabera: 1° violoncello
Roberto Izzo: 1° violino
Raffaele Rebaudengo: 1° viola
Un testo lucidissimo sul colonialismo e l'emigrazione, senza retorica, e con la visione delle cose che solo i grandi poeti sanno avere.
Recensione: Vittorio De Scalzi - Gli Occhi del Mondo - storiadellamusica.it