Testo meraviglioso, ho relazioni con Cuba da oltre 20 anni con Istituti con bambini con problemi, quando ascolto questa canzone o anche se solo leggo il testo...mi commuovo, la sento molto. "C'è una voce chiara ed argentina, che fu fuoco e medicina, come adesso è amore e rabbia per me..." bellissima,
CORDIALI SALUTI e SOTTOSOPRA sont deux chansons présentes dans le spectacle que Gianmaria a monté avec l'acteur Giuseppe Battiston, “18 mila giorni – Il pitone”, mais ici, elles apparaissent sous une tout autre manière musicale. SALUTATIONS CORDIALES, une lettre de licenciement sordide et mielleuse...
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Bravo à ce Testa qui n'est pas moi, malheureusement. De mon côté, une lettre comme celle-là, on l'appelle « menavia » (lettre de renvoi, lettre de remerciement, billet de sortie... et plus cynique : faire-part). Et on ne sait jamais s'il vaut mieux recevoir le coup de pied avec une délicatesse onctueuse ou plus virilement et sans dentelles à l'endroit où il est destiné.
(Gian Piero Testa)
Impossible de commencer à parler de Merle Travis sans citer, au moins, "Sixteen Tons", chanson emblématique et parfaitement représentative de son génie et de ses racines.
La forme d'esclavage que constituait la technique des sociétés minières, sous une apparence de pratique sociale, de s'attacher les travailleurs en leur fournissant à crédit le minimum vital, de sorte que leur dette augmentait peu à peu et qu'il ne pouvaient la rembourser qu'en prolongeant toujours plus leur contrat aux conditions imposées par l'employeur, reçoit un nouvel éclairage aujourd'hui :
Dans les pays pauvres (ou"en voie de développement, comme on dit pudiquement"), cette pratique est encore courante et enchaîne littéralement les personnes les plus démunies à leur employeur, tandis que, dans les pays riches, la pratique du crédit facile a précipité des millions de famille dans la pauvreté, et menace maintenant le fragile équilibre mondial.
Si la chanson Sixteen Tons est une chanson étazunienne, de Merle Travis (1947), elle fut adaptée en français par Jacques Larue et reprise par une série d'interprètes, dont Jean Bertola – jeune à l'époque. On relève des versions d'Armand Mestral, des Quatres de Paris, John William...
Juste un mot pour dire le succès de cette chanson à l'époque où le charbon était l'énergie première et où l'Europe était peuplée de millions de mineurs... et certaines régions couvertes de chevalets, de terrils et de charbonnages. Tout cela presque disparu, à présent. Le mineur, dans nos régions, n'est plus fort présent...