Joe Fallisi ne dà una buona interpretazione, ma la sua dizione denota chiaramente che non è romano: ne perde la "violenza" più che giustificata di questa stupenda reprimenda della guerra e dei politici farabutti...
Vedete sul Tubo come la recita invece Gigi Proietti: per recitare Trilussa, purtroppo, bisogna esse romani!
Guido
Nouvelle chanson d'Alessio Lega qui l’introduit- à peu près ainsi – dans ses concerts. « J'ai longuement fréquenté Turin et de Milan, il y a une heure et demi de train [comme Guccini et d'autres chantauteurs, Alessio n'a jamais eu de permis de conduire. Brassens en a eu sur le tard]. Parfois, à certaines saisons de le l'année, le train paraît glisser au fil de l'eau, au milieu des rizières, plus fort de le Christ, c'est tout un train qui marche sur l’eau. Il m'a fait repenser à ces femmes qui, bien que venant de très loin, de certains lieux d'Emilie ou du Veneto venaient faire les mondines (émondeuses) dans les rizières piémontaises, un travail dur, terrible, massacrant : tout le jour avec les pieds dans l'eau, penchées à ramasser le riz dans la boue, les moustiques , la chaleur asphyxiante. Durant leur travail, pourtant, elles chantaient.... (continua)
RIZIÈRES (continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 6/6/2010 - 12:38
Pour Marco Valdo:
La panissa (si tu veux essayer de traduire...) est une espèce de risotto typique de la plaine piémontaise et de la ville de Vercelli. Elle se prépare avec du riz Carnaroli cuit dans du vin Barbera, haricots rouges, chou vert, carottes, céleri, oignon, lard, saucisson "salam d'la duja", huile d'olive, sel et fromage "Grana padano" râpé. Et ce n'est pas un plat dietetique, tu peux imaginer...
J'ai fait une petite correction à ta traduction française: l' "acciottolarsi di Vercelli" se réfère aux rues de la ville de Vercelli, qui sont (ou étaient) ordinairement pavées avec des cailloux ("ciottoli") mêlés au macadam...c'est peut-être pour ça que les cyclistes piémontais se trouvaient à leur aise sur le pavé de la Paris-Roubaix...
Voilà la place Cavour de Vercelli avec son acciottolato:
NB. La ville piémontaise de Novara, qui est aussi mentionnée dans la chanson "rizière"... (continua)
Ma version s'éloignait un peu de la « panissa » (ou paniccia ou panizza) pour des raisons d'ordre « poétique »... La rime, la rime.
Maintenant, je n'ignorais pas la panissa (que je ne confonds pas avec panichina...) dans ses diverses versions italiennes : risotto ou polentina, farinata, fainé... mais en plus, j'en connaissais les variantes françaises : et d'abord, la « panisse », qui aurait été la meilleure traduction et la première à laquelle j'ai songé...
Mais il y avait aussi socca (dite aussi:"stoufa-garri " – étouffe-rat ; étouffe-chrétien, ce qui ne saurait nous gêner nous autres qui non siamo cristiani, siamo somari...) , cade, calentita ou calentica...
J'avais même failli utiliser « galettes », ce qui est assez exact, mais la rime avec têtes était un peu limitée...
Finalement, j'avais opté pour l'impasse des panisses et pour un texte mieux balancé...
Chanson italienne (Modénois) – Madre Terra – Modena City Ramblers – 2000
Joint à l'hebdomadaire Specchio du 2 juin 2000, le cd est dédié entièrement au thème de l'environnement et rassemble des contributions de divers groupes et musiciens de la scène italienne. Il est lié à un projet de développement de l'éducation à l'environnement, avec une référence particulière à la création du Musée Erre de Turin, le premier musée dédié aux activités de consommation, de production, de récolte, d’écoulement et de recyclage des déchets. www.lagrandefamiglia.it
Joe Fallisi ne dà una buona interpretazione, ma la sua dizione denota chiaramente che non è romano: ne perde la "violenza" più che giustificata di questa stupenda reprimenda della guerra e dei politici farabutti...
Vedete sul Tubo come la recita invece Gigi Proietti: per recitare Trilussa, purtroppo, bisogna esse romani!
Guido