Chanson libre-exaministe et anticléricale de langue française – Le Semeur – George Garnir – 1890
(Pour la version ancienne voir : Le Semeur)
Lorsqu'elle est chantée, elle est généralement suivie du très anticlérical « À bas la calotte ! », lequel est une chanson, dont le succès ne s'est jamais démenti depuis au moins cent-cinquante ans...
Voilà, Lucien l'âne mon ami aux yeux si noirs, si profonds et si brillants qu'ils semblent contenir et l'infini et le néant. Voilà donc, cette chanson dont je t'avais parlé et dont je t'avais promis le texte... C'est une chanson d'étudiants et c'est une chanson de combat qui se place résolument du côté des Lumières, du côté de la science et de la raison. Une chanson profondément libre-exaministe et révolutionnaire dans sa substance-même. C'est aussi une des chansons nées dans la capitale de l'Europe. On pourrait même dire que c'est la chanson de la capitale... (continua)
Juste une remarque. Le Semeur est une chanson de langue française... Elle est curieusement indiquée de langue italienne. C'est sans doute une anticipation... Quant à la version italienne, je laisse le soin aux CCG de la faire naître. Sans doute aux bons soins de noter infatigable Riccardo Venturi ? Que nous saluons très amicalement.
Juste une petite remarque: quand on met dans ce site une chanson d'un nouvel auteur (c'est-à-dire: un auteur qui n'est pas encore présent sur ce site), le contributeur a la très grave tâche de choisir la langue. Malheureusement, ce site donne l'italien comme langue "standard" (faudrait mieux peut être que ce soit l'ingliche, pour la quantité de songs...), et c'est automatique. Il est arrivé que des chansons en bhutanois (la langue maternelle de Bherlusconi, qui aime beaucoup les bhutes) ont été présentées comme en italien, mais ce n'est pas de notre faute. Mais, certainement, une chanson comme celle-ci faudra bien la traduire en italien: je l'ai lue, et c'est vraiment une chanson nécessaire. Donc, elle aura son italien! Um abraço, companheiros!
Dans les Chansons contre la Guerre, vu la taille du labyrinthe, il faut souvent un certain temps pour qu’une réponse parvienne, même amicale.
Cela dit, pour le Semeur – chanson toujours d’actualité – auquel on tient beaucoup par ici (question de racines européennes et rationalistes), il serait extrêmement bienvenu d’en donner une version italienne (une polonaise aussi…) et je vais t’aider à la confectionner en posant ici un texte martyr de la version de Georges Garnir (l’originale ; celle placée par nos soins dans les CCG ), qu’il te faudra sans doute corriger.
J’ai mille excuses à faire des erreurs ou à émettre des impropriétés, l’italien n’est pas la langue que je maîtrise le mieux.
Cela dit, je viens de trouver une version chantée de ce Semeur et j’en communique l’adresse.
Je rappelle cependant qu’il y manque la vraie fin de cette chanson qui est un vibrant « À bas... (continua)
(Pour la version ancienne voir : Le Semeur)
Lorsqu'elle est chantée, elle est généralement suivie du très anticlérical « À bas la calotte ! », lequel est une chanson, dont le succès ne s'est jamais démenti depuis au moins cent-cinquante ans...
Voilà, Lucien l'âne mon ami aux yeux si noirs, si profonds et si brillants qu'ils semblent contenir et l'infini et le néant. Voilà donc, cette chanson dont je t'avais parlé et dont je t'avais promis le texte... C'est une chanson d'étudiants et c'est une chanson de combat qui se place résolument du côté des Lumières, du côté de la science et de la raison. Une chanson profondément libre-exaministe et révolutionnaire dans sa substance-même. C'est aussi une des chansons nées dans la capitale de l'Europe. On pourrait même dire que c'est la chanson de la capitale... (continua)