Chanson allemande – Die Schuld – Hellmuth Krüger – 1947
Texte d'Hellmuth Krüger (1890-1955), écrivain allemand, acteur et comique très actif dans le cabaret berlinois des années dorées de la République de Weimar.
À qui la faute de tout ce massacre que l'Allemagne a causé ? À Bismarck ou au vieux « Frédérique le Grand » qui nous guidèrent mal ? Aux théories de Nietzsche ou de Hegel ? Ou peut-être aux fables trop violentes des frères Grimm ? Ou bien avons-nous exagéré dans la lecture de la saga des Nibelungen ? … Mais ne faisons pas les enfants ! Inutile déranger les sociologues et peut-être attribuer la responsabilité à Adam : la faute est toujours à celui qui est en selle ! (et j'ajoute : de celui qui le soutient)
*
Ah, Lucien l'âne mon ami, je suis content de te voir... Tu arrives à point nommé...
Ah bon..., mon ami Marco Valdo M.I. Et pourquoi donc ?
Eh bien, je vais te le dire.... (continua)
Texte d'Hellmuth Krüger (1890-1955), écrivain allemand, acteur et comique très actif dans le cabaret berlinois des années dorées de la République de Weimar.
À qui la faute de tout ce massacre que l'Allemagne a causé ? À Bismarck ou au vieux « Frédérique le Grand » qui nous guidèrent mal ? Aux théories de Nietzsche ou de Hegel ? Ou peut-être aux fables trop violentes des frères Grimm ? Ou bien avons-nous exagéré dans la lecture de la saga des Nibelungen ? … Mais ne faisons pas les enfants ! Inutile déranger les sociologues et peut-être attribuer la responsabilité à Adam : la faute est toujours à celui qui est en selle ! (et j'ajoute : de celui qui le soutient)
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Ah, Lucien l'âne mon ami, je suis content de te voir... Tu arrives à point nommé...
Ah bon..., mon ami Marco Valdo M.I. Et pourquoi donc ?
Eh bien, je vais te le dire.... (continua)
LA FAUTE
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 10/4/2014 - 20:40
Finnish translation by Juha Rämö
Suomennos Juha Rämö
Suomennos Juha Rämö
SYYLLISEN JÄLJILLÄ
(continua)
(continua)
inviata da Juha Rämö 4/4/2015 - 17:05
Der Bücherkarren
[1931]
Versi di Hellmuth Kruger (1890-1955), scrittore tedesco, attore e comico molto attivo nel cabaret berlinese negli anni d’oro di Weimar.
Ignoro se la musica sia sua oppure di qualche famoso ovvero ignoto compositore dell’epoca, come ce n’erano tantissimi nella vivissima Berlino prenazista.
“Chiamiamo Adolf ‘Salvatore della Patria’… o non sarà piuttosto il contrario?”
In questa canzone – per quello che sono riuscito a capire - Hellmuth Kruger pone ironicamente i propri dubbi sull’ormai dilagante nazismo e prefigura quasi profticamente quello che sarebbe successo di lì a poco (e che in parte stava già sordidamente succedendo), la campagne di “pulizia” contro cittadini ed intellettuali ebrei (viene citato, per esempio, Emil Ludwig, noto scrittore e giornalista che nel 1932 sarà costretto a fuggire prima in Svizzera e poi negli USA) ed i Bücherverbrennungen, i roghi di libri degli autori vietati che inaugurarono tristemente l’avvento al potere di Hitler nel 1933.
Versi di Hellmuth Kruger (1890-1955), scrittore tedesco, attore e comico molto attivo nel cabaret berlinese negli anni d’oro di Weimar.
Ignoro se la musica sia sua oppure di qualche famoso ovvero ignoto compositore dell’epoca, come ce n’erano tantissimi nella vivissima Berlino prenazista.
“Chiamiamo Adolf ‘Salvatore della Patria’… o non sarà piuttosto il contrario?”
In questa canzone – per quello che sono riuscito a capire - Hellmuth Kruger pone ironicamente i propri dubbi sull’ormai dilagante nazismo e prefigura quasi profticamente quello che sarebbe successo di lì a poco (e che in parte stava già sordidamente succedendo), la campagne di “pulizia” contro cittadini ed intellettuali ebrei (viene citato, per esempio, Emil Ludwig, noto scrittore e giornalista che nel 1932 sarà costretto a fuggire prima in Svizzera e poi negli USA) ed i Bücherverbrennungen, i roghi di libri degli autori vietati che inaugurarono tristemente l’avvento al potere di Hitler nel 1933.
Ich baue meinen Karren um, weil ich so langsam spüre,
(continua)
(continua)
inviata da Bernart Bartleby 19/3/2014 - 16:30
Chanson allemande – Der Bücherkarren – Hellmuth Krüger – 1931
Texte de Hellmuth Kruger (1890-1955), écrivain allemand, acteur et comique très actif dans le cabaret berlinois des années dorées de Weimar.
Dans cette chanson – pour ce que j'ai pu comprendre - Hellmuth Kruger énonce ironiquement ses doutes sur le nazisme désormais envahissant et il préfigure presque prophétiquement ce qui se passera peu après (et qui en partie déjà se passait), les campagnes de « nettoyage » contre des citoyens et les intellectuels juifs (est cité, par exemple, Emil Ludwig, écrivain et journaliste connu qui en 1932 sera forcé de fuir d'abord en Suisse et ensuite aux USA) et les Bücherverbrennungen, les autodafés ou les bûchers de livres des auteurs interdits qui inaugurèrent tristement la venue au pouvoir de Hitler en 1933.
*
Ah, Lucien l'âne mon ami, tu me vois tout contrit, car cette fois-ci aussi, même... (continua)
Texte de Hellmuth Kruger (1890-1955), écrivain allemand, acteur et comique très actif dans le cabaret berlinois des années dorées de Weimar.
Dans cette chanson – pour ce que j'ai pu comprendre - Hellmuth Kruger énonce ironiquement ses doutes sur le nazisme désormais envahissant et il préfigure presque prophétiquement ce qui se passera peu après (et qui en partie déjà se passait), les campagnes de « nettoyage » contre des citoyens et les intellectuels juifs (est cité, par exemple, Emil Ludwig, écrivain et journaliste connu qui en 1932 sera forcé de fuir d'abord en Suisse et ensuite aux USA) et les Bücherverbrennungen, les autodafés ou les bûchers de livres des auteurs interdits qui inaugurèrent tristement la venue au pouvoir de Hitler en 1933.
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Ah, Lucien l'âne mon ami, tu me vois tout contrit, car cette fois-ci aussi, même... (continua)
LES ÉTAGÈRES DE LIVRES
(continua)
(continua)
inviata da Marco Valdo M.I. 12/4/2014 - 22:55
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Versi di Hellmuth Krüger (1890-1955), scrittore tedesco, attore e comico molto attivo nel cabaret berlinese negli anni d’oro di Weimar.
Ignoro se la musica sia sua oppure di qualche famoso ovvero ignoto compositore dell’epoca, come ce n’erano tantissimi nella vivissima Berlino prenazista.
Di chi sarà stata la colpa di tutto il macello la Germania ha causato? Di Bismarck o del vecchio “Friedrich der Große” che ci guidarono male? Delle teorie di Nietzsche o Hegel? O forse delle favole troppo truculente dei fratelli Grimm? Oppure abbiamo ecceduto nella lettura della saga dei Nibelunghi?... Ma non facciamo i bambini! Inutile scomodare i sociologi e magari affibiare la responsabilità ad Adamo: la colpa è sempre di chi sta in sella! (e di chi lo sostiene, aggiungo io)