Tout demande un effort
Rien n' se fait sans boulot
C'est une règle d'or
Rien ne tombe d'en haut
Pour arriver au port
Faut ramer comme un veau
Pour être matador
Faut un foutu culot.
Pour gagner son bifteck
Faut aller au charbon
Pour pas être un blanc-bec
Faut du poil au menton
Pour aller à Menton
Mieux vaut prendre l'avion
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con.
C'est après des années
D'intenses réflexions
Que j'en suis arrivé
A cette conclusion
Y a pas d'effet sans cause
Pas de fumée sans feu
Au mond' y a qu'une chose
Qui vienne seule, c'est curieux
Pour aimer les poulets
Faut de la perversion
Pour voire des navets
Faut la télévision
Pour qu'on l'appelle Tonton
Faudrait qu' ma tante en aie
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
Pour entendre des promesses
Il faut des élections
Pour qu' je montre mes fesses
Faut du monde au balcon
Pour être bas de plafond
Faut avoir un plafond
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
La connerie étant
Un mal très répandu
Les cerveaux les savants
Se sont penchés dessus
Un rapport tout récent
Caramba, a conclu
Qu' y a pas de traitement
Pas de vaccin non plus
Tout le monde grenouille
Des baleines aux fourmis
Et ça bouffe et ça grouille
Et ça baise et ça crie
Depuis les deux andouilles
Depuis le Paradis
Sac de nœuds, sac d'embrouilles
Y a plus rien de gratuit
Pour être promoteur
Faut piquer du pognon
Pour faire passer les heures
Viens sous mon édredon
Pour pas rester glandeur
Faut jouer du piston
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
Pour acheter des fraises
Ça n'est pas la saison
Pour qu' ta femme se taise
Faudrait une éruption
Pour la main de ma sœur
Passez à la maison
Mais pour être raciste…
Il suffit d'être con
Rien n' se fait sans boulot
C'est une règle d'or
Rien ne tombe d'en haut
Pour arriver au port
Faut ramer comme un veau
Pour être matador
Faut un foutu culot.
Pour gagner son bifteck
Faut aller au charbon
Pour pas être un blanc-bec
Faut du poil au menton
Pour aller à Menton
Mieux vaut prendre l'avion
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con.
C'est après des années
D'intenses réflexions
Que j'en suis arrivé
A cette conclusion
Y a pas d'effet sans cause
Pas de fumée sans feu
Au mond' y a qu'une chose
Qui vienne seule, c'est curieux
Pour aimer les poulets
Faut de la perversion
Pour voire des navets
Faut la télévision
Pour qu'on l'appelle Tonton
Faudrait qu' ma tante en aie
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
Pour entendre des promesses
Il faut des élections
Pour qu' je montre mes fesses
Faut du monde au balcon
Pour être bas de plafond
Faut avoir un plafond
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
La connerie étant
Un mal très répandu
Les cerveaux les savants
Se sont penchés dessus
Un rapport tout récent
Caramba, a conclu
Qu' y a pas de traitement
Pas de vaccin non plus
Tout le monde grenouille
Des baleines aux fourmis
Et ça bouffe et ça grouille
Et ça baise et ça crie
Depuis les deux andouilles
Depuis le Paradis
Sac de nœuds, sac d'embrouilles
Y a plus rien de gratuit
Pour être promoteur
Faut piquer du pognon
Pour faire passer les heures
Viens sous mon édredon
Pour pas rester glandeur
Faut jouer du piston
Mais pour être raciste
Il suffit d'être con
Pour acheter des fraises
Ça n'est pas la saison
Pour qu' ta femme se taise
Faudrait une éruption
Pour la main de ma sœur
Passez à la maison
Mais pour être raciste…
Il suffit d'être con
Contributed by Alessandro - 2009/5/15 - 11:54
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Paroles et musique: Michel Bühler
Arrangement: Léon Francioli