Un re infame aveva decorato
Un vigliacco Generale
Che aveva sparato
Coi cannoni sulla folla
Che chiedeva solo pane
Altre vittime dimenticate
Dell’Italia liberale
C’era un uomo che quei morti
Non li aveva più scordati
Quell’ignobile massacro
Non poteva restare impunito
E così si era imbarcato
Per raggiungere l’Europa
Nella tasca una pistola
Rabbia e odio dentro al cuore
Ma che bella giornata di sole
Ai giardini della villa reale
Una carrozza col monarca
Una corte di coglioni
Folla che applaude folla che ride
All’improvviso un braccio si eleva
Sei colpi dritti al cuore
Un Savoia al creatore
Spara… Gaetano spara…
Umberto spira…
Gaetano spara…
Spara...Spira
envoyé par Marco Valdo M.I - 21/11/2008 - 22:12
Gaetano Bresci naît le 10 novembre 1869 à Coiano di Prato en Toscane dans une famille paysanne. Il rentre très jeune dans l’industrie textile en travaillant dans une filature. Il commence alors à fréquenter les milieux anarchistes de Prato. Il est une première fois condamné à 15 jours de prison pour « outrage et refus d'obéissance à la force publique » ce qui lui vaudra d’être fiché comme anarchiste dangereux et d’être réincarcéré en 1895 sur l’île de Lampedusa suite aux lois Crispi. Amnistié fin 1896, il n’arrive pas à retrouver du travail et décide d’émigrer aux États-Unis.
Arrivé à New York le 29 janvier 1898, il se rend à Paterson dans le New Jersey, où il travaille dans l’industrie textile. Là, il retrouve une forte communauté anarchiste parmi les milieux d'immigrants.
En 1898, face aux émeutes contre la hausse des prix, le général Bava Beccaris fait tirer au canon sur la foule à Milan (plus d'une centaine de morts et de mille blessés – un vrai carnage) et ensuite, le Boucher engage une sanglante répression. Bava Beccaris est ensuite décoré par le roi d’Italie Humbert 1er. Gaetano Bresci décide de venger les émeutiers et les victimes de cette répression en tuant le roi.
Il retourne donc en Italie et le 29 juillet 1900, lors d’une visite d'Humbert 1er à sa villa de Monza, il l’abat de trois coups de revolver.
Il est arrêté et jugé le 29 août à Milan. Défendu par l’avocat Francesco Saverio Merlino, il est condamné aux travaux forcés au pénitencier de Santo Stefano. On le retrouvera pendu dans sa cellule le 22 mai 1901, vraisemblablement assassiné. (tiré de l'article sur Wikipedia)
C'est en traduisant cette chanson et pour y apporter – au départ – un commentaire que j'ai - chemin faisant – écrit la canzone «Gaetano, gracié et pendu». Elle raconte l'histoire, la fin de Gaetano Bresci; en somme, elle est la suite de celle-ci.
Ainsi parlait Marco Valdo M.I.
À sa manière, cette chanson a son « histoire » à l'intérieur de ce site, ayant été plusieurs fois proposée et refusée. C'est certainement le fait que, cette fois, la proposition ( avec la traduction française correspondante) est arrivée d'une personne comme Marco Valdo M.I., sur les intentions et motivations duquel il n'y a et ne peut y avoir aucun doute, qui nouds ad décidés à l'approuver, cette Savoyarde, et dès lors, la voici.
Pour écarter toute équivoque, nous savons et nous savions très bien d'où et de qui elle provient. Nous savons bien que le groupe qui l'a écrite et chantée, les D.D.T., appartient à l'aire néofasciste, comme nous savons aussi ce que signifie vraiment le sigle D.D.T., qui ne se réfère pas à l'insecticide. Il signifie « Dodicesima Disposizione Transitoria [ Douzième Disposition Transitoire] », c'est-à-dire [une disposition de] la Constitution italienne qui interdirait la « reconstitution sous quelque forme du Parti Fasciste dissous ». Nous disons « interdirait » étant donné que, en Italie, des partis fascistes, il s'en est reconstitués en abondance et que même plus, l'un est actuellement au gouvernement.
La chanson en soi est simplement exacte. Au risque de provoquer quelque « perturbation » (mais nous ne nous sommes jamais gênés pour le faire), nous pouvons très bien dire que, si quelqu'un ne savait rien des D.D.T., ou bien ignorât qui l'a composée, elle pourrait tranquillement être prise pour une chanson anarchiste. Dans le texte de la chanson rien ne laisse transparaître l'idéologie du groupe qui en est l'auteur. Et ce fut certainement une opération habile que celle des D.D.T., une opération derrière laquelle il faut creuser. Avant de « creuser », toutefois, nous voudrions mettre en avant une chose. L’insertion de cette chanson est une sorte d'abstraction, cela peut paraître une solution de facilité, mais c'est ainsi. Nous l'insérons exclusivement pour ce qu'elle dit. Puisque c'est une caractéristique éternelle des fascistes et des fascismes que celle de chercher à s'approprier des choses qui ne leur appartiennent pas (comme par exemple, le geste de Gaetano Bresci), nous voulons leur rendre un peu la pareille.
Nous nous approprions dans ce cas unique cette chanson car elle dit plutôt bien les choses, à moins qu'on ne veuille contester que « Un roi avait décoré /un général, un lâche/qui avait tiré/au canon sur la foule/qui réclamait seulement du pain. » Il nous semble que cela est incontestable. Cette page est donc dédiée seulement à la chanson , et non à qui l'a écrite. Pour ce motif, on n'a pas inséré de note biographique des D.D.T., et il n'en sera jamais inséré, toute tentative en ce sens sera sans plus rejetée. Tout comme « Bella Ciao » est devenue (avec des paroles modifiées) un hymne des fascistes ukrainiens et « A las Barricadas », l'hymne d'un bataillon de paras français, cette fois, nous faisons comprendre à nos « amichetti cameratucci »(chers amis fascistoïdes) ce que veut dire s’approprier un texte. Nous le faisons devenir un chant anarchiste ou pour le moins, nous essayons.
Cela dit, passons un peu à l'approfondissement. Qui n'est pas une recherche difficile. Le fait que, dans les milieux néofascistes « purs et durs », La maison de Savoie ne jouit pas d'une popularité excessive est plutôt évident. Aux yeux de ceux-là, les Savoies sont les « traîtres » qui après avoir mis le fascisme en selle dans les années 1920 et s'en être servi pour leurs glorioles (du genre « L'Empire »), et ensuite le soutenir durant tout le régime et dans la folle aventure guerrière, l'avaient débarqué le 25 juillet 1943. La haine nazifasciste pour les Savoies provient principalement de cela et ce n'est pas pour rien qu'à Salò, elle pris une forme « républicaine « (pour devenir ensuite « républiquette »). Delà, l'exaltation de tout geste de révolte conte les Savoies, y compris celui de Bresci. Il convient cependant de garder à l’esprit que les fascistes et les Savoies avaient été culs et chemises [noires...] pendant disons une vingtaine d’années, avec tout ce que cela suppose d'OVRA [police politique fasciste], de délires coloniaux et de tribunaux spéciaux avec les condamnations à mort d'anarchistes (tels Michele Schirru e Angelo Pellegrino Sbardellotto). Puis les Savoies sont devenus des traîtres et gagnèrent la haine des « cameratielli » (leurs petits camarades), mais, entretemps, on distribua des pelotons d'exécution, des prisons à perpétuité (comme à Gino Lucetti) et des condamnations au confinement. En somme, l'anarchiste convenait bien quand il assassinait le roi traître détesté, mais quand il attentait à la vie du Duce, on pouvait tranquillement le fusiller [ et même le lyncher sur le champ]. Qui sait si les D.D.T. écriraient une chanson sur Schirru ou Sbardellotto, mais nous en doutons fortement. Qui sait s'ils en écriraient sur Michele della Maggiora.
…
En conclusion, une page controversée, mais qui nous donne l'occasion d'une précision nécessaire. Avec ceci, nous voulons répéter qu'aucune chanson néofasciste sera accueillie ici, avec celle-ci nous nous sommes résolus à faire seulement une exception. On précise que tout commentaire sera attentivement évalué et dans les éventuels commentaires ne sera admis aucun lien. Les commentaires des fascistes ou de toute personne faisant profession de fascisme seront rejetés. Ici ce n'est pas leur place, même si de façon exceptionnelle nous leur avons pris la chansonnette [CCG/AWS Staff]
À la fin du siècle
Un roi avait décoré
un général, un lâche
qui avait tiré
au canon sur la foule
qui réclamait seulement du pain.
Autres victimes oubliées
de l'Italie libérale.
Il y avait un homme qui n'avait
pas pu les oublier ces morts.
Cet ignoble massacre
ne pouvait rester impuni.
Il s'était alors embarqué
Pour revenir en Europe.
Dans sa poche, un pistolet,
Rage et haine au cœur.
Quelle belle journée de soleil.
Dans les jardins de la villa royale,
Un carrosse pour le roi,
Une cour pour les couillons.
Foule qui applaudit, foule qui rit.
Soudain, un bras se lève
Six coups droit au cœur
Hop, un Savoie au créateur.
Il tire... Gaetano tire...
Umberto expire.
Gaetano tire...
Il tire... Il expire.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 21/11/2008 - 22:14
Ainsi dans cette chanson, qui verse sa larmichette obscène sur les "autres victimes oubliées de l'Italie libérale", sic. Mais on est ici -et comme presque toujours avec les fachos : en pleine trouducuterie. En effet les victimes de la canonnade de Bava Beccaris ne furent pas des victimes de "l'Italie libérale" mais des victimes de la vieille caste aristocratique, qui à cette date dictait encore sa loi, en Italie comme en bien d'autres pays. Et si effectivement à partir de 1900 l'Italie connut, sinon une ère totalement libérale, du moins, de sérieux progrès dans ses libertés ce fut bien, comme l'ont reconnu des auteurs de tout bord : grâce au geste de Gaetano Bresci.
Et basta cosi avec les nuisibles.
Luc Nemeth - 5/1/2009 - 15:47
(Luc Nemeth ; suite) - 16/1/2009 - 17:48
Non voglio commentare questa cosa perchè mi dilungherei troppo e si andrebbe fuori tema, voglio solo segnalare l'inizio della canzone, che si trova solo nella prima pubblicazione e non nel secondo riarrangiamento, che fa capire che nessuno cerca di appropiarsi di cose che non gli appartengono con questa canzone, si cerca semplicemente di esaltare una cosa giusta.
L'inizio (parlato) fa così: "Con il trascorrere del tempo un evento può dunque essere valutato positivamente anche dalla fazione che dovrebbe avversarlo, perciò se un'azione fa scaturire al massimo grado l'energia dall'animo umano, imprimento in esso una traccia indelebile, supera le ideologie e diviene una forza motrice che può spingere gli uomini ad agire in direzioni contrastanti."
Sarei grato se aggiungeste questa parte che può far capire molto meglio la canzone e che non è un tentativo di appropiarsi di qualcosa che non appartiene ma, come detto, è l'esaltazione di un atto giusto.
Tommaso - 21/3/2009 - 18:07
Innanzitutto, prima di fornirgli una risposta, una considerazione “interna” riguardo a questo sito, che prende lo spunto da quanto affermato -da chi scrive- nell'ultima parte dell'introduzione a questa canzone dei DDT.
Da allora, invece, qualche cosa è cambiata. Sia con l'istituzione di un percorso apposito dedicato alla “Destra e reazionarismo contro e nella guerra”, utile per raccogliere alcuni testi che possono e devono essere interessanti anche in un sito che è e rimane dichiaratamente antifascista, sia per l'approccio mutato. E' bene cominciare a dire una cosa abbastanza scomoda: l'antifascismo non lo si fa chiudendosi in un fortino. Lo si fa anche e soprattutto conoscendo e guardando cosa si dice “dall'altra parte”. Fermo restando che, qui dentro, qualsiasi testo che glorifichi o esalti a chiare lettere il fascismo e/o qualsiasi forma di razzismo non troverà mai posto, i testi provenienti da aree di destra che manifestano comunque un'opposizione all'imperialismo, al mondialismo, alla dittatura del mercato e alle sue guerre, e via discorrendo, devono essere conosciuti. Volendo anche per stabilire un confronto; e confrontarsi è sempre bene, se fatto in modo civile e chiaro. È altrettanto chiaro che ognuno resterà dalla propria parte, ma per farlo in modo netto è necessario non voltare mai gli occhi di fronte all'altro. Anzi, ci guardiamo dritti negli occhi, tra esseri umani. Anche tra avversari.
Detto questo, riguardo a questa canzone, a mio parere resta una questione di fondo che trovo irrisolta e, forse, irrisolvibile. Se il gesto di Bresci, che è -detto con una parola solennemente e appropriatamente classica- un tirannicidio, può trovare, nelle parole introduttive degli stessi DDT, “valutazione positiva anche in chi dovrebbe avversarlo” e addirittura “supera le ideologie e diviene una forza motrice”, così dovrebbe essere per ogni forma di tirannicidio, di morte data all'oppressore, al dittatore, allo sfruttatore. In effetti, anche nella canzone di destra, ve ne sono a volte esempi: uno è Il poeta di Marcello De Angelis, dedicato a Rigoberto López Pérez, uccisore del dittatore fascista nicaraguense Anastasio Somoza. Seguendo questa linea, e in particolare quella dell'anarchismo, gruppi di destra potrebbero e dovrebbero, che so io, dedicare canzoni al giovanissimo antifascista bolognese Anteo Zamboni, attentatore a Mussolini linciato poi dagli squadristi di Arpinati; dovrebbero dedicare canzoni ai ragazzi della “Rosa Bianca” antihitleriana; alla resistenza araba di Omar al-Muqtar contro le truppe del maresciallo d'Italia Graziani e a tante altre cose.
Sono cose, ripeto, irrisolte e irrisolvibili. La differenza è abissale e non può che restare. Dalle pagine di questo sito non intendiamo colmarla, ma, nei limiti del possibile, analizzarla senza preclusioni obbligatorie.
Riccardo Venturi - 22/3/2009 - 01:47
Ricordo gentilmente che all' autore, il fatto di venire accomunato al "vecchio padrone" della canzone potrebbe fargli storcere un po' il naso. Capisco che non sia comprensibile il fatto che lui, da latitante di Terza Posizione sia finito senatore aennino, ma questo non lo merita. Per il resto la volonta' di aprirsi al dialogo verso chi appartiene alla barricata opposta lo trovo lodevole, apprezzabile e da prendere come esempio.
Saluti a tutti voi.
Don Curzio - 22/3/2009 - 02:49
Dire che Anastasio Somoza sia fascista è una "bestemmia politica".. non bisogna confondere il fascismo (esistito SOLO in italia) con le varie dittature sud americane, europee, africane etc.
(Tommaso Di Michele)
(Don Curzio )
Don Curzio - 24/3/2009 - 20:18
Riccardo Venturi - 24/3/2009 - 23:20
A me, questi di TP, più che amici dei movimenti di liberazione, mi sono sempre sembrati dei furbastri o dei "lungimiranti" che già allora pensavano a pararsi il culo e a prepararsi per l'odierno sdoganamento... E agli irriducibili dello stampo di Fioravanti e Mambro glielo hanno messo ben bene nel culo (e bene che gli sta) e senza rinunciare al loro nefando progetto (chiamatelo fascista, chiamatelo piduista, chiamatelo autoritario, chiamatelo come vi pare...) di affondare la democrazia...
Come non cogliere tutto questo nell'inno di TP? (c'è già sul sito? Domanda provocatoria....): "avanguardia del popolo sovrano... aristocrazia rivoluzionaria....". O l'uno o l'altra.
Alessandro - 25/3/2009 - 12:50
Alessandro - 25/3/2009 - 13:23
Poi è stato meno fortunato e meno stronzo di Castro o di Chavez...
(Alessandro)
Naturalmente, su questa pagina come su altre più o meno controverse, "imperversa" l'amicaccio o l'amicaccia dell'IP 151. eccetera. A questo signore o signora (o magari, chissà, è una coppietta!), che da qualche mese si fa/nno notare per l'estrema, incredibile, sesquipedale intelligenza dei commenti da trollacchino periferico da newsgroup dei tempi che furono, non posso che ribadire un pacato sorrisetto di benevolenza nel mentre che spedisco i suoi/loro "commenti" nella pace eterna di qualche fossa biologica telematica; nel farlo, però, e visto che questo è pur sempre un sito di canzoni, voglio dedicargli/le/dedicare loro una canzone idonea alla sua/loro impetuosa e instancabile tempesta di cervelli; una canzone che, ne sono certo, non mancheranno di apprezzare anche come ricordo del compiangiutissimo Mino Reitano che aveva persino cantato coi Bìtolz.
Riccardo Venturi - 25/3/2009 - 15:57
Riccardo, chissà cosa avremo combinato io e te tra 25 o 30 anni!
Magari ci sarà una mia scheda su Wikipedia tipo quelle dei complici di Virgil Starkwell/Woody Allen in "Prendi i soldi e scappa": "Alessandro, triste parabola la sua: nei primi anni del secondo millennio si distingue come contributore del mitico sito CCG/AWS; nel 2030 viene arrestato e condannato, reo confesso, per sputo nella metropolitana e stupro di una cavalla femmina. Finirà i suoi giorni in un'umida cella, inutilmente."
Alessandro - 25/3/2009 - 16:06
(si veda qui)
"E mi piacerebbe anche sapere se Terza Posizione ha mai almeno raccolto fondi per il Fronte Popolare di Liberazione della Palestina"
Ricordo a tutti che il compianto Massimo Morsello, oltre ad avere nel suo repertorio una canzone di nome "Palestina",
fece pubblicare sul quotidiano "Il Manifesto" la reclame el suo ultimo disco "La direzione del vento" mettendo in rislato la sua solidarieta' al popolo palestinese :
(si veda qui)
Il cd venne pure annunciato dalle colonne del quotidiano sinistroso come "un reale disco rivoluzionario". Il giorno dopo al giornale vennero scritte delle lettere di protesta.
Come mai ? Perche' aveva commesso la colpa di dialogare con un fascista... e il giornale fu' costretto a scusarsi coi lettori offesi da cotanto atto sacrilego. Forse ai compagni trinariciuti allora non interessava la causa palestinese, visto che (in parte anche oggi) non vedevano oltre il loro naso. Al contrario oggi Fiore (mia vecchia conoscenza) e la dirigenza forzanovista esprimono la nostra vicinanza alla Palestina in prima persona :
(si veda qui)
Tanti saluti e buona giornata.
Don Curzio Nitoglia - 25/3/2009 - 17:38
Il disincanto di Pastora non era di natura prettamente « ideologica »: quel che lo portò ad opporsi al governo sandinista fu quando si accorse che la maggior parte dei dirigenti di quel movimento si erano trasferiti e ben installati nelle ville di lusso già appartenute all'élite somozista. Riteneva che i sandinisti al potere avessero tradito la loro causa originaria, ovvero quella di rappresentare gli strati più poveri della popolazione, i campesinos e le tribù aborigene. L' « universo » che va sotto il nome di « Contras », nonostante i riconosciuti e consistenti aiuti da parte dello zio Sam (cosa che un « fascista antiamericano » dovrebbe tenere ben presente...) era in realtà una galassia di realtà molto differenti: Pastora combatteva nel sud del paese, in una sorta di « libera associazione » con le forze del nord composte da indiani Miskito, da cani sciolti e da ex membri della guardia nazionale somozista.
L' « ispirazione del filosandinismo di destra » a Pastora è quindi viziata, a mio parere, da una conoscenza molto superficiale di quegli avvenimenti, oppure da voler vedere soltanto quel che faceva apparentemente comodo. Non si può essere « antiamericani » e sostenere dei guerriglieri foraggiati dagli americani. Non si può essere « antisomozisti » e rifarsi a un movimento che almeno in parte era composto da ex torturatori e sbirri somozisti. Il disincanto di Pastora verso il sandinismo fu seguito da altrettanto disincanto verso l'antisandinismo, probabilmente quando si rese meglio conto da chi era formato. « Rifarsi a Pastora » non significa nulla, significa solo cercare di confondere acque che già di per sé erano sufficientemente confuse.
Quanto alla Palestina, non mi stancherò mai di dirlo: il « filopalestinismo » di destra ha radici storiche ben salde, fin dal famoso sostegno in funzione antiebraica dato dal nazifascismo al gran muftì di Gerusalemme nel 1936. Anche questa è una cosa di cui tenere conto in modo preciso: il « filopalestinismo di destra » promana principalmente da una contrapposizione, non da un reale desiderio di libertà e di pace. Deriva dall'antisemitismo nazifascista e dalla sua visione del mondo.
L'episodio del cd di Massimo Morsello pubblicizzato e poi sconfessato dal « Manifesto » lo ricordo molto bene; concordo che il rimedio fu peggiore del male. L'album si chiamava « La direzione del vento » e, devo dire, più volte ci è stato proposto l'inserimento di alcune sue canzoni, particolarmente di « Palestina ». Non lo abbiamo mai voluto fare perché il « filopalestinismo » che promana dalle canzoni di Morsello lo riteniamo troppo inquinato; e questo anche se, personalmente, « Palestina » non la ritengo certo una brutta canzone. Dal punto di vista prettamente cantautorale, nella "galassia di destra" Morsello senz'altro svetta su tutti, anche se musicalmente sembra spesso di sentire canzoni di De Gregori o di Guccini.
Soprattutto, non ci scordiamo che Morsello, assieme alla tua vecchia conoscenza Fiore, può essere ben « filopalestinese » quanto si vuole, ma che Forza Nuova che hanno fondato (con i tanti quattrini fatti con la Easy London) è un movimento razzista, che si oppone ad ogni « invasione extracomunitaria », omofobo e tutto il resto.
Non ci scordiamo certi episodi, come quello del 1° aprile 2000, quando una decina di forzanovisti si presentarono al presidio dei sindacati confederali organizzati a Gallarate per protestare contro l'assassinio dell'operaio edile rumeno Ion Cazacu, bruciato vivo dal suo datore di lavoro italiano, Cosimo Iannece, con la precisa intenzione di impedirlo con la forza.
A proposito del « Manifesto », c'è forse da tenere presente anche che le proteste dei suoi lettori derivavano dal fatto che proprio un iscritto a Forza Nuova, Antonio Insabato, aveva compiuto un attentato al giornale piazzandovi una bomba (nonostante poi le smentite di FN di legami con l'attentatore), il 22 dicembre 2000. Don Curzio, tu la pubblicheresti sul tuo eventuale giornale la pubblicità di un album di qualcuno che ti ci ha fatto scoppiare una bomba?
Francamente ci interessa piuttosto poco il « filopalestinismo » di un movimento che tra i suoi obiettivi programmatici ha il contrasto ad ogni forma di immigrazione ed il rimpatrio forzato degli immigrati; e vorrei vedere se un'ondata di profughi palestinesi si precipitasse sull'Italia, come reagirebbero i forzanovisti.
Saluti cari,
Riccardo Venturi - 25/3/2009 - 18:36
(Don Curzio )
Quelli di Pastora o i Contras ?
(Don Curzio)
Infatti è definito il "De Gregori nero"
(Stefano)
(Don Curzio)
Andrea Virga - 7/9/2009 - 19:22
mica hanno "fascistizzato" Bresci dai
è solamente ammirazione per un gesto anti-liberale contro un re che non doveva esserci, si può essere fascisti e condividere anche altri opinioni eh
purtroppo avete inchiodata nella mente l'idea di fascismo=botte per strada
siete dei failure
Antichristian_Resistence - 28/6/2010 - 22:08
Io non sto con Oriana - 29/6/2010 - 09:27
voglio riscrivere la storia, ma okkio al presente, di quello devono preoccuparsi...
"Qualche anno dopo la morte del regicida, Ezio Riboldi, primo sindaco socialista di Monza, fece visitare la cappella espiatoria al giovane esponente della sinistra rivoluzionaria Benito Mussolini, il quale con un sasso puntuto incise la scritta: Monumento a Bresci."
Un saluto a tutti voi!
1984 - 25/7/2011 - 19:18
Francisco Xavier - 26/12/2011 - 16:29
Come abbiamo visto le ragioni di Bresci e quelle di Umberto di Savoia e del governo sono più che evidenti e, se dovessimo porle su un'ipotetica bilancia, le prime sono infinitamente più valide e convincenti delle seconde:
- La gratuita spietatezza della repressione, attuata non per perseguire maggiore stabilità sociale e per attutire le contraddizioni esplosive della società italiana, ma solo per raggiungere un controllo poù serrato e soffocante sui ceti popolari e sulle insorgenze create da una situazione sociale drammatica;
- La profonda umanità dell'attentatore, la sua attenzione alle sofferenze delle "vittime pallide e sofferenti", il suo spirito di sacrificio portato alle estreme conseguenze, la sua indiscussa assunzione di responsabilità che permetterà di farla franca alla probabile rete di complicità che lo appoggiò;
- La brutale risposta che lo Stato, inizialmente, dette al gesto 'illegale' del regicida, espressa in un processo, come abbiamo visto, irrispettoso delle proprie stesse procedure, in una detenzione disumana e barbara e, infine, in un 'suicidio' di Stato evidente da non riuscire neppure a mascherarsi;
- L'esibizione vuota e impietosa della retorica ufficiale che si espresse lamentandosi della gravità di un gesto così incomprensibile, l'avere colpito il 're buono', senza volerne approfondire le cause e le motivazioni;
- Il conseguente e inarrestabile mutare del clima sociale che fece sì che le condizioni di vita e i diritti dei lavoratori trovassero finalmente espressione, non più sotto forma di benevola e gretta elargizione, ma come conquista irrinunciabile e legittima.
Sono questi, dunque, gli elementi utili per la valutazione di oggi, elementi numerosi, non di poco conto e che ancora rivestono una pregnante attualità, indipendentemente dalla contingenza temporale. Resta inoltre, pesante come un macigno, la domanda fondamentale, quella alla quale riesce difficile dare una risposta in un caso come questo: nella lotta politica e sociale è legittimo l'uso della violenza?
Come si è visto, le reazioni immediate del movimento anarchico furono apparentemente contraddittorie se non, addirittura, di segno opposto, dettate sia da un 'opportunistico' spirito di sopravvivenza, sia da profonde e sofferte convinzioni etiche sul tema della violenza. Riassume la complessità dell'atteggiamento degli anarchici quanto si legge nel numero unico 'Bresci' pubblicato a Forlì, dal giornale anarchico L'Aurora nel 1946:
'L'anarchismo fu responsabile nel suo insieme dell'attentato di Bresci. Era una manifestazione conseguente della sua tattica. Non di una tattica specifica dell'attentato, che questa non è mai esistita; ma della tattica rivoluzionaria, della resistenza cioè alla violenza dello Stato e alle sopraffazioni del dispotismo.'
Sempre più, dopo il regicidio, si affacciarono gli interrogativi sul tema degli strumenti dell'azione rivoluzionaria, domande che avrebbero trovato una risposta nella nascita e nel progressivo affermarsi dell'anarchismo di segno sindacalista, organizzatore e sociale."
da: Massimo Ortalli, "Gaetano Bresci, tessitore, anarchico e uccisore di re", pp. 139-141
Mi perdonerai, caro Francisco Xavier, se ho iniziato questa risposta con una non breve citazione da un volumento molto ben fatto su Gaetano Bresci e sul suo gesto (pubblicato recentemente). Il brano che ti ho riportato, come avrai sicuramente notato, contestualizza; e la contestualizzazione è l'esatta e opportuna negazione di ciò che io chiamo "tifo". In questo paese, purtroppo, si tende tuttora a ridurre a tifo calcistico anche lontani fatti storici, specie uno che continua ad avere vasta eco dopo oltre 110 anni. L'inserimento in un contesto storico e l'analisi delle ragioni degli uni e degli altri è il necessario antidoto a questo malvezzo tutto italiano (antidoto, ohimè, sovente inefficace).
Da parte di chi scrive, comunque, nessun 'dileggiamento' della figura di Umberto I; se posso essere ancor più chiaro, nell'approvare questa canzone (proveniente dall'area della destra estrema) in questo sito mi sono posto esattamente nell'ordine di idee della testimonianza. Se esistesse una canzone che stigmatizzasse il gesto di Bresci in un'ottica di rifiuto della violenza, non esiterei ad inserire anche quella (ma non ne ho sinceramente notizia). E' nella natura e negli intenti di questo sito proporre non soltanto testi genericamente "pacifisti", ma anche testi che si inseriscano nel tema della violenza (e del suo uso, e della sua esistenza) da ogni tipo di angolazione. Non mi stancherò mai di farlo presente, e di avvertire chiunque si ponga problemi di attinenza. Specifico che il qui presente è quanto di più lontano possa esistere dall'area di provenienza di questa canzone, ma capire come mai il gesto di Bresci possa avere avuto accoglienza anche in un'area diametralmente opposta mi interessa dal punto di vista storico e politico, e ritengo possa interessare chiunque.
Nello specifico, posso anche concordare con te sul fatto che Umberto I abbia pagato per colpe non interamente sue; del resto, Bresci stesso ebbe a dichiarare, non appena tratto in arresto, di aver voluto colpire un simbolo. Da dire anche che se le "colpe non erano interamente" di Umberto, costui aveva comunque avallato in toto il clima e le azioni repressive al massimo grado che si ebbero in Italia nel periodo crispino. Non c'è soltanto il maggio '98 a Milano e la strage del "decorato" Bava Beccaris. Poi, naturalmente, si può discutere quanto si vuole sull'uso o sul non uso della violenza, ma è un dato di fatto storico che, con la morte di Umberto I, quel clima venne se non proprio a cessare, almeno assai mitigato. Con la fine di Umberto I fu bloccato quel clima almeno fino all'avvento del fascismo. L'istituto monarchico e la casa Savoia ricevettero un severissimo ammonimento perché la morte violenta di Umberto I è una ferita che non fu mai rimarginata. E non solo a livello di immaginazione, ma soprattutto a quello di sostanza: nel '900 (fondamentalmente anche durante il fascismo, seppure ne abbia assai facilitato l'avvento) la monarchia non potrà più esercitare un effettivo potere decisionale ma solo una rappresentanza formale, svuotata di contenuti e a rimorchio degli avvenimenti e delle decisioni prese altrove. Cosa certificata, del resto, anche da un pensatore conservatore come Giovanni Ansaldo:
' L'attentato di Bresci era stato una ' soluzione '. Essa aveva tolto di mezzo un re ' buono ' sì, ' buono ' finché si vuole, ma inadatto a capire i tempi, chiuso alle idee moderne e propenso al governo personale. Certi liberali e radicali italiani pensarono che anche gli anarchici possono servire a una causa reputata giusta.'
Al di là del ritornello di questa canzonetta (ma a livello popolare, nell'Italia dell'epoca, se ne ebbero di ben più feroci), l'attentato di Bresci produsse un effettivo miglioramento nelle condizioni di vita del paese. Un paese che, nel decennio precedente al 29 luglio 1900, aveva visto le sue garanzie costituzionali soppresse. Le organizzazioni sindacali, fuorilegge, furono riconosciute. Scrisse Benedetto Croce:
' L'uccisione del Savoia è la conclusione della lotta fra reazionari e liberali e il delitto dovette pungere di qualche rimorso gli stolti consiglieri di reazione quando si seppe che l'incentivo ne era stato offerto dalla lettera di Umberto al Generale repressore dei moti e autore dello stato d'assedio e dei tribunali militari.
Come vedi, mi sono attenuto a pensieri espressi da pensatori non certo ascrivibili né ai "camerati" né ai "compagni", del tutto lontano dall'idea di "dileggiare" chicchessia, ma riconducendo il tutto ad un clima sociale e politico che si era basato in gran parte sulla violenza cieca dello Stato e che nella violenza, logicamente, ebbe a terminare. Salute a saluti a te.
Riccardo Venturi - 26/12/2011 - 22:43
precisiamo: terza posizione diceva di appoggiare i baschi e i palestinesi...poi sappiamo che in Libano (tra TP e NAR l'osmosi era continua, spesso coincidevano) frequentavano la Falange (fondata da un ammiratore di Hitler e Mussolini) e in Spagna i GAL....Provate a dirlo a qualche basco abertzale che eravate di TP...
In Gran Bretagna venivano accolti e ospitati dal NF (fascista e ferocemente anti repubblicani irlandesi), oltre che dai servizi inglesi...
Ma finiamola: erano solo infiltrati e provocatori, guardie bianche (se poi nel loro delirio preferivano rappresentarsi come "rivoluzionari" si tratta di problemi psichiatrici). Non è mai esistita una "terza posizione". Sono invece esistite ed esistono variegate posizioni a sinistra (pensiamo oltre agli anarchici -nelle diverse interpretazioni - a consiliari, situazionisti etc..., ma comunque sempre anticapitalisti) con cui confrontarsi.
Ricordo che alcune statue di Somoza padre (anche a cavallo) in Nicaragua erano un dono personale del Duce...(in realtà sarebbero state di Benito venute male e di cui voleva liberarsi...).
ciao
GS
PS Tassinari avrà anche fatto un buon lavoro, ma sono convinto che abbia "guardato troppo a lungo nell'abisso.." (e la cosa notoriamente non è senza conseguenze).
Gianni Sartori - 9/10/2014 - 10:01
Gianni Sartori - 3/2/2019 - 18:40
Gaetano Bresci (Prato, 11 novembre 1869 – Isola di Santo Stefano, 22 maggio 1901) è stato un anarchico italiano, autore dell'uccisione del re Umberto I.
A modo suo, questa canzone ha una sua “storia” all'interno di questo sito, essendo stata più volte proposta per l'approvazione, e rifiutata. E' stato sicuramente il fatto che, stavolta, la proposta (con la relativa traduzione in francese) è arrivata da una persona come Marco Valdo M.I., sulle cui intenzioni e motivazioni non ci sono, e non possono esserci, dubbi; ci siamo quindi decisi ad approvarla, 'sta Savoiarda, ed eccola qui.
A scanso di equivoci, sappiamo e sapevamo benissimo da dove e da chi proviene. Sappiamo bene che il gruppo che l'ha scritta e cantata, i D.D.T., appartengono all'area neofascista; così come sappiamo che cosa significhi veramente la sigla “D.D.T.”, che non si riferisce all'insetticida. Significa “Dodicesima Disposizione Transitoria”, vale a dire la disposizione della Costituzione italiana che vieterebbe la “ricostituzione del disciolto Partito Fascista in ogni sua forma”. Diciamo “vieterebbe”, dato che, in Italia, di partiti fascisti ne sono stati ricostituiti in abbondanza e che, addirittura, qualcuno è attualmente al governo.
La canzone in sé è semplicemente esatta. A costo di provocare qualche “sturbo” (ma non ci siamo mai peritati a farlo), possiamo benissimo dire che, se uno non sapesse nulla dei D.D.T. oppure ignorasse chi l'ha composta, potrebbe essere tranquillamente presa per un canto anarchico. Nel testo della canzone nulla lascia trapelare l'ideologia del gruppo che ne è autore. Ed è stata sicuramente un'operazione molto abile, quella dei D.D.T.; un'operazione dietro la quale bisogna un po' “scavare”, per così dire.
Prima di “scavare”, però, vorremmo premettere una cosa. L'inserimento di questa canzone è una sorta di astrazione; potrà sembrare una soluzione di comodo, ma è così. La inseriamo esclusivamente per quello che dice. Poiché una caratteristica eterna dei fascisti e dei fascismi è quella di cercare di appropriarsi di cose che non appartengono loro (come, ad esempio, il gesto di Gaetano Bresci), vogliamo un pochetto render loro la pariglia. Ci appropriamo in questo unico caso di una canzone scritta da loro perché dice piuttosto bene delle cose; a meno che non si voglia contestare che “un re infame aveva decorato / un vigliacco generale / coi cannoni sulla folla / che chiedeva solo pane”. Ci sembra che questa sia una cosa incontestabile. Questa pagina è quindi dedicata solo alla canzone, non a chi la ha scritta. Per questo motivo non è stata inserita alcuna nota biografica sui D.D.T., né verrà mai inserita; qualunque tentativo in tal senso verrà senz'altro cassato. Così come “Bella Ciao” è diventata (con parole cambiate) un inno dei fascisti nazionalisti ucraini e “A las barricadas” l'inno di un battaglione di parà francesi, stavolta facciamo provare ai nostri amichetti cameratucci cosa vuol dire appropriarsi di un testo. Lo facciamo diventare un canto anarchico, o perlomeno ci proviamo.
C'è poi un'altra cosa da far presente, una cosa forse non molto conosciuta. La figura di Gaetano Bresci nutre una certa qual popolarità presso alcuni ambienti dichiaratamente neofascisti o, per meglio dirla con Ugo Maria Tassinari, la “fascisteria”. Ne fa fede, ad esempio, Alessandra Colla (che addirittura si interessa anche a Buenaventura Durruti...), che per Bresci nutre una autentica passione. E' anche questa una componente di cui tenere conto.
In conclusione, una pagina senz'altro controversa, ma che ci dà anche l'occasione per qualche precisazione necessaria. Con questo vogliamo però ribadire che nessuna canzone dichiaratamente neofascista sarà accolta qui dentro; con questa ci siamo risolti soltanto a fare un'eccezione. Si precisa anche che qualsiasi eventuale commento sarà prima attentamente vagliato e che negli eventuali commenti non è ammesso alcun link. Sicuramente cassati saranno i commenti dei cosiddetti “fascisti risentiti” o comunque di chi faccia professione di fascismo. Questo non è il posto per loro, anche se in via eccezionale gli abbiamo preso la canzonetta. [CCG/AWS Staff]