Les Promenades de Paris
Les Promenades de la Vie,
On les appelle les promenades
De la vie, de la vie...
Mais elles sont les promenades
De la Mort, de la Mort...
Dans les promenades de Paris
On peut tranquilement se promener,
Mais ce qu’on ne peut pas faire
C’est éviter de voir
Les hommes tombés
Et éttendus dans la rue..
Et les enfants qui ne connaient
Pas d’autre chose
Que la mort dans la rue.
Je veux dédier cet ouvrage
Qui est un fruit imparfait
À tous les enfants qui ont connu
La mort très tôt dans les rues
Dans les rues, dans les rues
Comme dans ces promenades de Paris
Qu’on voit luxueuses, larges et longues
Qu’on apperçoit belles, grandes et élegantes.
Et on ne voit pas tout le sang
Comme si on ne pouvait pas
Regarder dans la mémoire
Parce que nous manque
Cette triste mémoire.
Je veux dire que
Toute cette vaste longeur
Et l’immense largeur
De toutes les promenades parisiennes
Ont été construites avec le sang
De tous nos ancêtres courageux
On ne doit jamais oublier le sang
Qui a construit les promenades
Les promenades de Paris.
Il faut se souvenir
Des atrocités dans la guerre
Et de regarder la mer
Et de voir tout le monde
Comme le plus beau survivant
De toutes les tragédies.
Et de nos grandes villes
Lesquelles l’homme defend
Avec la force de sa bêche
Ou avec toutes les armes
En cachant chaque larme
En pensant aux enfants
Du futur attristant.
Alors, je promène dans les rues
Qui sont mortes, complètement mortes
Parce que je vois seulement
Des morts partout, des morts partout
Parce que j’ai de la mémoire
Pour me souvenir de tout cela,
Je ne vois pas des rues luxueuses
Je vois des promenades pleines
Pleines de tout le sang
De notre triste passé.
Les Promenades de Paris
Les Promenades de nos Vies,
On les appelle toujours
Les promenades de la vie,
De la vie...
Mais elles sont vraiment
Les promenades de la Mort,
De la Mort, de la Mort...
Les Promenades de la Vie,
On les appelle les promenades
De la vie, de la vie...
Mais elles sont les promenades
De la Mort, de la Mort...
Dans les promenades de Paris
On peut tranquilement se promener,
Mais ce qu’on ne peut pas faire
C’est éviter de voir
Les hommes tombés
Et éttendus dans la rue..
Et les enfants qui ne connaient
Pas d’autre chose
Que la mort dans la rue.
Je veux dédier cet ouvrage
Qui est un fruit imparfait
À tous les enfants qui ont connu
La mort très tôt dans les rues
Dans les rues, dans les rues
Comme dans ces promenades de Paris
Qu’on voit luxueuses, larges et longues
Qu’on apperçoit belles, grandes et élegantes.
Et on ne voit pas tout le sang
Comme si on ne pouvait pas
Regarder dans la mémoire
Parce que nous manque
Cette triste mémoire.
Je veux dire que
Toute cette vaste longeur
Et l’immense largeur
De toutes les promenades parisiennes
Ont été construites avec le sang
De tous nos ancêtres courageux
On ne doit jamais oublier le sang
Qui a construit les promenades
Les promenades de Paris.
Il faut se souvenir
Des atrocités dans la guerre
Et de regarder la mer
Et de voir tout le monde
Comme le plus beau survivant
De toutes les tragédies.
Et de nos grandes villes
Lesquelles l’homme defend
Avec la force de sa bêche
Ou avec toutes les armes
En cachant chaque larme
En pensant aux enfants
Du futur attristant.
Alors, je promène dans les rues
Qui sont mortes, complètement mortes
Parce que je vois seulement
Des morts partout, des morts partout
Parce que j’ai de la mémoire
Pour me souvenir de tout cela,
Je ne vois pas des rues luxueuses
Je vois des promenades pleines
Pleines de tout le sang
De notre triste passé.
Les Promenades de Paris
Les Promenades de nos Vies,
On les appelle toujours
Les promenades de la vie,
De la vie...
Mais elles sont vraiment
Les promenades de la Mort,
De la Mort, de la Mort...
Contributed by C.Viadel - 2008/1/14 - 12:27
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