Lingua   

Bombes du Mensonge

Richard Marot
Lingua: Francese



Ti può interessare anche...

Garçon joyeux (avec une arme)
(Richard Marot)
Some Tears Around The Fields
(Richard Marot)


Une Chanson qui donne mon avis sur les désir du gouvernement américain de trouver des armes de déstruction massive. Et elle est dédiée à ces hommes méchants et pleins d'hipocrésie qui ont semé la peur à cause de son obssession maladive pour trouver des armes qui n'existent pas car ils sont qui ont toutes les armes; mais malgré tout cela, ils ont décidé de chercher d'autres coupables.
Je vis dans ma connaissance de ce mensonge
Qui sait torturer toute mon intelligence

On ne trouve pas de bombes
Au milieu de notre hécatombe
On ne trouve pas de bombes
Au milieu de leur hécatombe

Les gouvernements ne sont pas humbles
Toute leur injustice toujours me semble
La plus pire de toutes leurs atrocités
La bombe a éclaté au lieu de décéder
Dans le cauchemar noir du désespoir.

Dans ce désert qui dessine les ville vides
Une source de bouquet de fleurs se sèche
Le cœur des aurores éblouissantes meurt
Par la punition du poison dans une flèche
Les mains puissantes gribouillent son erreur
Et on connaît déjà les hommes qui sont flingués

Comme une foudre qui ébranla tout le ciel,
On sait qu’ils trouvèrent leur propre bombe
Qui créa le nouveau malheur d’une hécatombe
Le monde devenu un petit berceau
Sans la douceur épaisse de sa miel

Nous sommes les nouveaux gendarmes de l’univers
Les flics qui frappent le bonheur de la vie entière
Malgré tout cela, nous sommes chargés de vous protéger
De vous défendre jusqu’ à vos tristes cendres
De toute façon, nos cœurs ne sont jamais tendres
C’est comme un petit enfer qui oublie pleurer !

Nous avons cherché les bombes ennemies partout
Comme une mitraillette dont ses balles disparaissent
Mais il a été impossible de trouver nos bombes
On les a cherchés dans nos toilettes et on a donné des sous,
Pour les poursuivre jusqu’à la fin de nos temps.

Par tout le monde, depuis la Russie jusqu’à l’Afghanistan
Cependant, On ne les a pas trouvées dans notre horizon
C’est vrai qu’on connaît déjà la même chanson
De toute façon, on a cherché partout, partout,
Et finalement on s’est rendu compte trop tard
Que le péril véritable habitait toujours chez nous !

Quel cauchemar ! Quel désespoir enterré dans le temps
Alors, on a arrêté de poursuivre des bombes
Car nous sommes les assassins du beau temps
Qui toujours cherchent les bombes d’autres coupables

Et pourtant, nous sommes les seuls richards et les bavards
Qui construisent le nouvel empire des bombes lézardes
Quel envie de douter, quelle manière de se tromper
Nous sommes les lâches qui bénissent nos propres lâchetés
On a quitté la salle d’opérations de nos toilettes
On a quitté la fête des espions car elle était simplette

Nous sommes les nouveaux gendarmes de l’univers
Les flics qui frappent le bonheur de la vie entière
Malgré tout cela, nous sommes chargés de vous protéger
De vous défendre jusqu’ à vos tristes cendres
De toute façon, nos cœurs ne sont jamais tendres
C’est comme un petit enfer qui oublie pleurer !

Nous sommes les bons assassins menteurs
Qui poursuivent l’innocence des pauvres
On a déjà abandonné nos affaires
Mais on ne pense pas à les vendre
Les bombes misérables resteront toujours chez nous

À cette heure-ci, nous sommes bien rassurés
Car l’innocence des peuples humbles a été déjà montrée
Et on n’a pas trouvé de belles bombes
Au milieu de notre grande hécatombe

Qui n’existera plus jamais
Car on y trouve seulement la douce menace
Qui porte le nom bien attristant
De notre propre hécatombe

Avant de l’arrivée du matin,
Et avec tous mes beaux respects
J’ai bien décidé de vous demander
Que vous soyez capables de me pardonner
Car j’ai parlé dans la langue des assassins
Qui ont construit cette menace des armes
Sans le soulagement du beau charme
Avec cette guerre froide qui est toute éternelle.

Nous sommes les nouveaux gendarmes de l’univers
Les flics qui frappent le bonheur de la vie entière
Malgré tout cela, nous sommes chargés de vous protéger
De vous défendre jusqu’ à vos tristes cendres
De toute façon, nos cœurs ne sont jamais tendres
C’est comme un petit enfer qui oublie pleurer !
C’est comme un petit enfer qui oublie pleurer !

inviata da C.Viadel - 10/1/2008 - 11:32




Pagina principale CCG

Segnalate eventuali errori nei testi o nei commenti a antiwarsongs@gmail.com




hosted by inventati.org