Fu un giorno d’inverno al tempo di guerra,
fu mentre marciavo in collina un dì,
che vidi un ragazzo disteso per terra,
andai lì vicino e mi disse così.
Lo vedo dagli occhi e da quel fazzoletto
che sei un ribelle dei nostri anche tu,
son stati i fascisti a spararmi nel petto,
e adesso mi tocca morire quaggiù.
Lo vedi anche tu che oramai non ho scampo,
per me non rimane che l’eternità.
Portatemi un fiore e dite soltanto
che sono morto per la libertà.
Suonate la tromba e picchiate il tamburo,
e non vi scordate che muoio perché
un mondo migliore ho sognato in futuro,
un mondo di pace un giorno per te.
Un mondo più libero anche per te.
fu mentre marciavo in collina un dì,
che vidi un ragazzo disteso per terra,
andai lì vicino e mi disse così.
Lo vedo dagli occhi e da quel fazzoletto
che sei un ribelle dei nostri anche tu,
son stati i fascisti a spararmi nel petto,
e adesso mi tocca morire quaggiù.
Lo vedi anche tu che oramai non ho scampo,
per me non rimane che l’eternità.
Portatemi un fiore e dite soltanto
che sono morto per la libertà.
Suonate la tromba e picchiate il tamburo,
e non vi scordate che muoio perché
un mondo migliore ho sognato in futuro,
un mondo di pace un giorno per te.
Un mondo più libero anche per te.
Contributed by Mauro Carrero - 2025/1/12 - 15:56
Language: French
Version française – UN JOUR D’HIVER – Marco Valdo M.I. – 2025
Chanson italienne – Un giorno d'inverno – Mauro Carrero – 2024
Album : Brindisi alla gioventù (Santé à la jeunesse)
Les paroles de la chanson sont du chantauteur piémontais Mauro Carrero. La mélodie est tirée du classique country-western « Streets of Laredo ». Carrero a accompli une opération similaire à celle de la majeure partie des chansons de résistance, qui naissent souvent sur des airs préexistants ; il s'est inspiré de certaines images du texte original, qui racontent les derniers moments de la vie d'un cow-boy, et transformant le protagoniste en partisan.
Chanson italienne – Un giorno d'inverno – Mauro Carrero – 2024
Album : Brindisi alla gioventù (Santé à la jeunesse)
PARTISAN ALLONGÉ SUR LE SOL
Gino Covilli – s.d.
Gino Covilli – s.d.
Les paroles de la chanson sont du chantauteur piémontais Mauro Carrero. La mélodie est tirée du classique country-western « Streets of Laredo ». Carrero a accompli une opération similaire à celle de la majeure partie des chansons de résistance, qui naissent souvent sur des airs préexistants ; il s'est inspiré de certaines images du texte original, qui racontent les derniers moments de la vie d'un cow-boy, et transformant le protagoniste en partisan.
UN JOUR D’HIVER
Un jour d'hiver au temps de guerre,
Je me promenais dans les maquis.
Je vis un gars allongé à terre,
Je m’approchai de lui et il me dit.
Je le vois à tes yeux et au foulard à ton cou :
Tu es un de nos rebelles, toi aussi.
Dans ma poitrine, les fascistes ont tiré ce coup
Et maintenant, il me faut mourir ici.
Tu le vois, je n'ai plus de salut, maintenant,
Pour moi, il ne reste que l'éternité.
Apporte-moi une fleur et dis seulement
Que je suis mort pour la liberté.
Sonnez le clairon et battez le tambour,
Et n'oubliez pas que je meurs
Pour un monde meilleur,
Un monde de paix, pour vous, un jour.
Un monde plus libre pour vous toujours.
Un jour d'hiver au temps de guerre,
Je me promenais dans les maquis.
Je vis un gars allongé à terre,
Je m’approchai de lui et il me dit.
Je le vois à tes yeux et au foulard à ton cou :
Tu es un de nos rebelles, toi aussi.
Dans ma poitrine, les fascistes ont tiré ce coup
Et maintenant, il me faut mourir ici.
Tu le vois, je n'ai plus de salut, maintenant,
Pour moi, il ne reste que l'éternité.
Apporte-moi une fleur et dis seulement
Que je suis mort pour la liberté.
Sonnez le clairon et battez le tambour,
Et n'oubliez pas que je meurs
Pour un monde meilleur,
Un monde de paix, pour vous, un jour.
Un monde plus libre pour vous toujours.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2025/1/13 - 17:53
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Brindisi alla gioventù
Il testo della canzone è del cantautore piemontese Mauro Carrero. La melodia è quella del classico country-western "Streets of Laredo". Carrero ha compiuto un'operazione simile a quella della maggior parte dei canti resistenziali, che nascevano spesso su arie preesistenti; prendendo spunto da alcune immagini del testo originario, che raccontano gli ultimi istanti di vita di un cowboy, e trasformando il protagonista in un partigiano.