In piedi controvento
lottammo con le onde
erano mille e mille
noi soli sopra il ponte.
Poi venne la paura
a battere bandiera
ci cadde addosso il cielo
soli nella bufera.
Il mare ci colpiva
con forza di gigante
un grido poi le luci
terra terra
terra all'orizzonte.
Sarà la riva
sarà il confine
che ci riparerà
Sarà l'inizio
sarà la fine
cosa ci aspetterà.
Dietro al bar del porto
la maga del destino
truccava rotta e carte
al santo e all'assassino.
Il trafficante di ali
mani sporche di cera
cantava la promessa
con voce di sirena.
Gli zingari dei mari
chiusi nella galera
cucivano col vento
il sogno il sogno
la vela di chi spera.
Sarà la riva
sarà galera
che ci nasconderà
Sarà paura
della bufera
che ci catturerà.
In piedi sottovento
il vecchio corsaro
ci disse: "Non c'è luce
ai piedi del faro"
Con voce di diamante
negli occhi aveva un'onda
quella che mai si stanca
quella che alza e affonda.
Il vento si era alzato
quando prendemmo
il mare
dal porto delle ombre
andammo di nuovo
di nuovo incontro al sole.
Sarà la stella
di un mattino
che ci guiderà
sarà lontano
Sarà vicino
dove ci porterà.
Sarà la stella
di un mattino
che ci guiderà
sarà lontano
Sarà vicino
dove ci porterà…
lottammo con le onde
erano mille e mille
noi soli sopra il ponte.
Poi venne la paura
a battere bandiera
ci cadde addosso il cielo
soli nella bufera.
Il mare ci colpiva
con forza di gigante
un grido poi le luci
terra terra
terra all'orizzonte.
Sarà la riva
sarà il confine
che ci riparerà
Sarà l'inizio
sarà la fine
cosa ci aspetterà.
Dietro al bar del porto
la maga del destino
truccava rotta e carte
al santo e all'assassino.
Il trafficante di ali
mani sporche di cera
cantava la promessa
con voce di sirena.
Gli zingari dei mari
chiusi nella galera
cucivano col vento
il sogno il sogno
la vela di chi spera.
Sarà la riva
sarà galera
che ci nasconderà
Sarà paura
della bufera
che ci catturerà.
In piedi sottovento
il vecchio corsaro
ci disse: "Non c'è luce
ai piedi del faro"
Con voce di diamante
negli occhi aveva un'onda
quella che mai si stanca
quella che alza e affonda.
Il vento si era alzato
quando prendemmo
il mare
dal porto delle ombre
andammo di nuovo
di nuovo incontro al sole.
Sarà la stella
di un mattino
che ci guiderà
sarà lontano
Sarà vicino
dove ci porterà.
Sarà la stella
di un mattino
che ci guiderà
sarà lontano
Sarà vicino
dove ci porterà…
inviata da Riccardo Gullotta - 6/4/2024 - 11:49
Lingua: Francese
Version française - LE PORT DES OMBRES – Marco Valdo M.I. – 2024
Chanson italienne – Il porto delle ombre – Gang – 1995
Album: Una Volta Per Sempre
Chanson italienne – Il porto delle ombre – Gang – 1995
Album: Una Volta Per Sempre
LE PORT DES OMBRES
Debout contre le vent
Avec les vagues, nous, on luttait
Il y en avait mille et cent ;
Seuls sur le pont, nous on était.
La peur soudain éclata,
Nous, on baissa la tête ;
Et d’un coup, le ciel tomba
Sur nous, seuls dans la tempête.
Et la mer nous a frappés
De ses bras démesurés ;
Puis, un cri ; puis, des lumières
Et terre, terre !
La terre là-bas à l'horizon illuminé.
Il y aura le rivage,
Il y aura la plage,
Qui nous abritera.
Et le début, ce sera
Et ce sera la fin,
Et là sera notre destin.
À l’arrière du bar du port,
La magicienne du destin
Truquait les cartes et les abords.
Au criminel et au saint,
Le trafiquant des ailes
Aux mains de cire sales
Chantait la promesse sereine
D'une voix de sirène.
Les corsaires des mers,
Renfermés dans la galère,
Avec le vent cousent
Le songe, le songe,
La voile qui espère.
Le rivage viendra,
La galère viendra,
Qui nous cachera.
Et la peur surgira
Et la tempête grondera
Et nous rattrapera .
Debout contre le vent de mer,
Le vieux corsaire
Nous dit : « Il n'y a pas de lumière
Au pied du phare »
D'une voix de diamant.
Dans ses yeux, une vague
Monte et descend
Et jamais ne divague.
Le vent s’est levé,
Nous on s’est lancés
À l’assaut de la mer.
Au port des ombres,
Nous on laissa les sombres
Pour le soleil clair.
L'étoile sourira
Un matin
Nous guidera.
Elle restera loin
Et au plus prochain
Rivage, elle nous conduira.
L'étoile sourira
Un matin
Nous guidera.
Elle restera loin
Et au plus prochain
Rivage, elle nous conduira.
Debout contre le vent
Avec les vagues, nous, on luttait
Il y en avait mille et cent ;
Seuls sur le pont, nous on était.
La peur soudain éclata,
Nous, on baissa la tête ;
Et d’un coup, le ciel tomba
Sur nous, seuls dans la tempête.
Et la mer nous a frappés
De ses bras démesurés ;
Puis, un cri ; puis, des lumières
Et terre, terre !
La terre là-bas à l'horizon illuminé.
Il y aura le rivage,
Il y aura la plage,
Qui nous abritera.
Et le début, ce sera
Et ce sera la fin,
Et là sera notre destin.
À l’arrière du bar du port,
La magicienne du destin
Truquait les cartes et les abords.
Au criminel et au saint,
Le trafiquant des ailes
Aux mains de cire sales
Chantait la promesse sereine
D'une voix de sirène.
Les corsaires des mers,
Renfermés dans la galère,
Avec le vent cousent
Le songe, le songe,
La voile qui espère.
Le rivage viendra,
La galère viendra,
Qui nous cachera.
Et la peur surgira
Et la tempête grondera
Et nous rattrapera .
Debout contre le vent de mer,
Le vieux corsaire
Nous dit : « Il n'y a pas de lumière
Au pied du phare »
D'une voix de diamant.
Dans ses yeux, une vague
Monte et descend
Et jamais ne divague.
Le vent s’est levé,
Nous on s’est lancés
À l’assaut de la mer.
Au port des ombres,
Nous on laissa les sombres
Pour le soleil clair.
L'étoile sourira
Un matin
Nous guidera.
Elle restera loin
Et au plus prochain
Rivage, elle nous conduira.
L'étoile sourira
Un matin
Nous guidera.
Elle restera loin
Et au plus prochain
Rivage, elle nous conduira.
inviata da Marco Valdo M.I. - 11/4/2024 - 16:12
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