Tristesse, Grand-Mère, dit le trouvère,
De la Zinovie, je désespère.
La pauvre est condamnée à se taire
Sous l’empire véreux de ces gangsters.
Ils ont toujours mis les poètes
À pourrir et mourir en prison ;
Ils continuent ces vilaines façons.
Tant ils ont peur de ces têtes
Qui pensent et rient avec les mots.
Maintenant, ils les écrasent en auto,
Après quoi, dans leurs hôpitaux
Sereinement, leur font la peau..
Le soldat dit : Les civils, ils nous font tuer,
Bombarder les habitations, les écoles,
Les hôtels, les cliniques, les maternités,
Les fermes, les silos et les hangars agricoles.
Nous, on s’arrange pour manquer les cibles
Mais dans la troupe, malheureusement,
Il y en a qui croient comme à leur bible
Aux discours hallucinés du gouvernement.
Qu’on va libérer le monde entier,
Apporter aux gens notre avenir radieux,
Que tous vont l’apprécier
Et ici, personne n’en veut.
En un sens, notre guerre a ses raisons
Qu’à la nation, le pouvoir ne peut taire.
On cherche à imposer nos misères
À toutes les populations,
Aux autres comme aux uns,
Fidèles émules d’Attila,
Nous sommes des Huns.
Là où on passe, rien ne restera.
Ni bêtes, ni hommes, ni maisons,
Ni arbres, ni plantes, ni poissons.
La vie, l’eau et la terre mortes
Ont fait le vide devant leur porte.
C’est à détester le jour qui se lève.
Beaucoup cherchent à se rendre,
Certains veulent se faire prendre,
Être prisonnier : le rêve.
Sinon, il reste à se suicider
Et nombreux sont les suicidés.
Nous sommes un cheval fou qui se cabre,
Un convoi mortifère, une danse macabre.
Moi, je veux vivre, juste vivre
Pacifique, tranquille et content.
Ah ! Fuir, là-bas, fuir, maintenant
Et paisible, recommencer à vivre.
De la Zinovie, je désespère.
La pauvre est condamnée à se taire
Sous l’empire véreux de ces gangsters.
Ils ont toujours mis les poètes
À pourrir et mourir en prison ;
Ils continuent ces vilaines façons.
Tant ils ont peur de ces têtes
Qui pensent et rient avec les mots.
Maintenant, ils les écrasent en auto,
Après quoi, dans leurs hôpitaux
Sereinement, leur font la peau..
Le soldat dit : Les civils, ils nous font tuer,
Bombarder les habitations, les écoles,
Les hôtels, les cliniques, les maternités,
Les fermes, les silos et les hangars agricoles.
Nous, on s’arrange pour manquer les cibles
Mais dans la troupe, malheureusement,
Il y en a qui croient comme à leur bible
Aux discours hallucinés du gouvernement.
Qu’on va libérer le monde entier,
Apporter aux gens notre avenir radieux,
Que tous vont l’apprécier
Et ici, personne n’en veut.
En un sens, notre guerre a ses raisons
Qu’à la nation, le pouvoir ne peut taire.
On cherche à imposer nos misères
À toutes les populations,
Aux autres comme aux uns,
Fidèles émules d’Attila,
Nous sommes des Huns.
Là où on passe, rien ne restera.
Ni bêtes, ni hommes, ni maisons,
Ni arbres, ni plantes, ni poissons.
La vie, l’eau et la terre mortes
Ont fait le vide devant leur porte.
C’est à détester le jour qui se lève.
Beaucoup cherchent à se rendre,
Certains veulent se faire prendre,
Être prisonnier : le rêve.
Sinon, il reste à se suicider
Et nombreux sont les suicidés.
Nous sommes un cheval fou qui se cabre,
Un convoi mortifère, une danse macabre.
Moi, je veux vivre, juste vivre
Pacifique, tranquille et content.
Ah ! Fuir, là-bas, fuir, maintenant
Et paisible, recommencer à vivre.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2024/1/15 - 18:35
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Chanson française – Les Émules d’Attila – Marco Valdo M.I. – 2023
LA ZINOVIE
est le voyage d’exploration en Zinovie, entrepris par Marco Valdo M. I. et Lucien l’âne, à l’imitation de Carl von Linné en Laponie et de Charles Darwin autour de notre Terre et en parallèle à l’exploration du Disque Monde longuement menée par Terry Pratchett.
La Zinovie, selon Lucien l’âne, est ce territoire mental où se réfléchit d’une certaine manière le monde. La Zinovie renvoie à l’écrivain, logicien, peintre, dessinateur, caricaturiste et philosophe Alexandre Zinoviev et à son abondante littérature.
Épisode 183
Sais-tu, Lucien l’âne mon ami, qui est cet Attila dont parle le titre de la canzone ?
Évidemment, dit Lucien l’âne, je m’en souviens bien. C’était le roi des Huns et il fit des ravages épouvantables au travers de l’Europe et du Moyen-Orient.
Sais-tu alors, Lucien l’âne mon ami, que son nom signifie « Petit Père », qu’il portait le titre de « tzar » ou quelque chose d’approchant et qu’il a tenté, à partir d’un bloc de peuplades d’Europe de l’Est de bâtir un empire englobant l’Europe romanisée. C’était au cinquième siècle.
Oui, oui, dit Lucien l’âne, j’en ai eu connaissance il y a déjà bien longtemps. Attila est resté dans ma mémoire, tout comme dans la mémoire commune, avec une fameuse réputation de ravageur, de massacreur et de grand ambitieux. Ses incursions étaient totalement redoutables qu’on a dit de lui que là où il passait, l’herbe ne repoussait plus. C’est évidemment une légende, mais elle dit bien ce qu’elle veut signifier. Voilà ! Maintenant, parle-moi du reste de la chanson.
Eh bien, Lucien l’âne mon ami, elle commence, de façon habituelle, par l’interpellation de Grand-Mère par le trouvère qui se désespère de l’évolution de la société zinovienne, qui se décompose moralement au point de tuer les poètes.
Tant ils ont peur de ces têtes
Qui pensent et rient avec les mots.
Maintenant, ils les écrasent en auto,
Après quoi, dans leurs hôpitaux
Sereinement, leur font la peau. »
Je comprends, dit Lucien l’âne, que cela t’inquiète et je sais aussi que lorsque un pays, une nation, un empire, un monde en arrive à s’attaquer à ses poètes, il atteint un comble de son propre pourrissement. C’est un signe très net des déploiements d’une maladie mortelle, d’une nécrose mentale, d’une métastase des plus profondes. L’indignité le ronge jusqu’au tréfonds de son être.
Ainsi, Lucien l’âne mon ami, en va-t-il de la Zinovie actuelle. Elle avait atteint un pareil degré d’ignominie sous le règne du Grand Guide. Je suppose que tu n’ignores pas ce qu’il fit au poète Ossip Mandelstam, lequel se réjouissait hautement d’être l’objet de la vindicte officielle en disant, (je cite de mémoire) : « Je suppose que je ne devrais pas me plaindre. J'ai la chance de vivre dans un pays où la poésie compte. On tue des gens parce qu'ils en lisent, parce qu'ils en écrivent ». Il se venge encore aujourd’hui avec son poème dédié au Grand Guide : « Le Montagnard du Kremlin ».
Oh, dit Lucien l’âne, je le connais ce poème et je t’en cite le début, juste pour montrer combien ce poète était audacieux et sa poésie percutante :
À dix pas personne ne discerne nos paroles.
On entend seulement le montagnard du Kremlin,
Le bourreau et l'assassin de moujiks. »
Et moi, continue Marco Valdo M.I., je te cite la suite de cette première strophe :
Des mots de plomb tombent de ses lèvres.
Sa moustache de cafard nargue,
Et la peau de ses bottes luit. »
Cependant, répond Lucien l’âne, je ne peux m’empêcher de trouver dans les mots de Mandelstam venus de temps et de lieux des plus noirs comme une odeur, un goût, une saveur, un air, une effluve, enfin, une atmosphère proche de celle de ce Voyage en Zinovie et ce qui est dit du Grand Guide peut tout aussi bien s’appliquer à l’actuel.
Exactement, dit Marco Valdo M.I., j’en suis frappé par cette re-re-relecture que j’en fais avec toi de la vérité transhistorique de ce texte. Écoute la deuxième strophe, je ne peux m’empêcher de te la rappeler :
Les sous-hommes zélés dont il joue.
Ils hennissent, miaulent, gémissent,
Lui seul tempête et désigne.
Comme des fers à cheval, il forge ses décrets,
Qu'il jette à la tête, à l'œil, à l'aine.
Chaque mise à mort est une fête,
Et vaste est l'appétit de l'Ossète. »
Et là, tout se confirme ; on dirait le poème taillé sur mesure pour le temps présent de la Zinovie. Mais le but de ce dialogue maïeutique n’est pas de raconter les tristes mésaventures des écrivains et poètes du temps passé. Venons-en à la canzone, où le soldat qui, tout au long du reste fit le récit de ce que les soldats zinoviens se doivent de faire au pays voisin et à sa population. Le soldat pour mieux dire cela compare les troupes zinoviennes à des « émules d’Attila ».
À toutes les populations,
Aux autres comme aux uns,
Fidèles émules d’Attila,
Nous sommes des Huns.
Là où on passe, rien ne restera. »
Tu liras le reste ; c’est épouvantable. Alors, juste un mot pour signaler l’allusion à Rutebeuf :
« La vie, l’eau et la terre mortes
Ont fait le vide devant leur porte. »
et à la chanson avec laquelle Léo Ferré en fit mémoire : Pauvre Rutebeuf, ou Complainte de l'amitié. Enfin, pour la dernière strophe, le soldat trace, dessine, peint à la manière des gens des pays mosans une fabuleuse danse macabre. Parlant de l’armée zinovienne, de ses déserteurs, de ses suicidés en masse et de ses dizaines de milliers de cadavres, le soldat conclut sur sa volonté de vivre :
« Nous sommes un cheval fou qui se cabre,
Un convoi mortifère, une danse macabre.
Moi, je veux vivre, juste vivre
Pacifique, tranquille et content.
Ah ! Fuir, là-bas, fuir, maintenant
Et paisible, recommencer à vivre. »
Holà, halte-là, Marco Valdo M.I. mon ami, on n’en finira pas. Alors, tissons le linceul de ce vieux monde macabre, funéraire, funèbre, sépulcral, spectral et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
Tous les épisodes précédents sont accessibles ici :
Épisode 1 : Actualisation nationale ; Épisode 2 : Cause toujours ! ; Épisode 3 : L’Erreur fondamentale ; Épisode 4 : Le Paradis sur Terre ; Épisode : Les Héros de l’Histoire ; Épisode 6 : L’Endémie ; Épisode 7 : La Réalité ; Épisode 8 : La Carrière du Directeur ; Épisode 9 : Vivre en Zinovie ; Épisode 10 : Le But final ; Épisode 11 : Les nouveaux Hommes ; Épisode 12 : La Rédaction ; Épisode 13 : Glorieuse et grandiose Doussia ; Épisode 14 : Le Bataillon des Suicidés ; Épisode 15 : Les Gens ; Épisode 16 : Jours tranquilles au Pays ; Épisode 17 : La Région ; Épisode 18 : Mémoires d’un Rat militaire ; Épisode 19 : L’inaccessible Rêve ; Épisode 20 : La Gastronomie des Étoiles ; Épisode 21 : Le Progrès ; Épisode 22 : Faire ou ne pas faire ; Épisode 23 : Le Bonheur des Gens ; Épisode 24 : La Sagesse des Dirigeants ; Épisode 25 : Les Valeurs d’Antan ; Épisode 26 : L’Affaire K. ; Épisode 27 : L’Atmosphère ; Épisode 28 : La Nénie de Zinovie ; Épisode 29 : L’Exposition colossale ; Épisode 30 : La Chasse aux Pingouins ; Épisode 31 : Le Rêve et le Réel ; Épisode 32 : La Vérité de l'État ; Épisode 33 : La Briqueterie ; Épisode 34 : L’Armée des Chefs ; Épisode 35 : C’est pas gagné ; Épisode 36 : Les Trois’z’arts ; Épisode 37 : La Porte fermée ; Épisode 38 : Les Puces ; Épisode 39 : L’Ordinaire de la Guerre ; Épisode 40 : La Ville violée ; Épisode 41 : La Vie paysanne ; Épisode 42 : La Charrette ; Épisode 43 : Le Pantalon ; Épisode 44 : La Secrète et la Poésie ; Épisode 45 : L’Édification de l’Utopie ; Épisode 46 : L’Ambition cosmologique ; Épisode 47 : Le Manuscrit ; Épisode 48 : Le Baiser de Paix ; Épisode 49 : Guerre et Paix ; Épisode 50 : La Queue ; Épisode 51 : Les Nullités ; Épisode 52 : La Valse des Pronoms ; Épisode 53 : La Philosophie spéciale ; Épisode 54 : Le Pays du Bonheur ; Épisode 55 : Les Pigeons ; Épisode 56 : Les Temps dépassés ; Épisode 57 : La Faute à la Contingence ; Épisode 58 : Guerre et Sexe ; Épisode 59 : Une Rencontre en Zinovie ; Épisode 60 : La Grande Zinovie ; Épisode 61 : La Convocation ; Épisode 62 : Tatiana ; Épisode 63 : L’Immolation ; Épisode 64 : Que faire ? 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