Sur la plaine aux grands blés mouvants
Scintille l'éclair des épées
Frémissant au souffle des vents
Les drapeaux rêvent d'épopées
Les canons tonnent au lointain
Un grand silence a clos les bouches
Quand un chant s'élève soudain
Arrêtant les soldats farouches
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Au labeur généreux et sain
L'usine hier accoutumée
A laissé s'abattre soudain
Ses joyeux flocons de fumée
La mine n'a plus de mineur
La loi pour tous étant la même
Et le doux et bon laboureur
A quitté sa terre qu'il aime
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Dans les yeux n'ayant plus de pleurs
Les femmes tremblent d'épouvante
Les vieillards voilant leur douleur
Aux berceaux chantent à voix lente
Combien n'auront plus de soutien ?
Combien pleureront fils ou père ?
Que de veuves, que d'orphelins
Quand enfin finira la guerre !
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Scintille l'éclair des épées
Frémissant au souffle des vents
Les drapeaux rêvent d'épopées
Les canons tonnent au lointain
Un grand silence a clos les bouches
Quand un chant s'élève soudain
Arrêtant les soldats farouches
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Au labeur généreux et sain
L'usine hier accoutumée
A laissé s'abattre soudain
Ses joyeux flocons de fumée
La mine n'a plus de mineur
La loi pour tous étant la même
Et le doux et bon laboureur
A quitté sa terre qu'il aime
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Dans les yeux n'ayant plus de pleurs
Les femmes tremblent d'épouvante
Les vieillards voilant leur douleur
Aux berceaux chantent à voix lente
Combien n'auront plus de soutien ?
Combien pleureront fils ou père ?
Que de veuves, que d'orphelins
Quand enfin finira la guerre !
La guerre, c'est la misère
Pour le palais et la chaumière
Humains, écoutez la raison
Plus de fusils, plus de canons
La guerre, c'est la misère
Contributed by Bernart Bartleby - 2019/4/23 - 14:48
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Credo quindi che si tratti del testo datato 1930 e interpretato da tal Georges Gratias nella raccolta "Anthologie sonore du socialisme [1789-1939]" edita da Frémeaux nel 1998.
Anche di Georges Gratias non so nulla, tranne che fu autore di ambito socialista e vicino al Front Populaire.