Barcelone !
Des pavés, du soleil, des visages ;
Un été plein d’images
Et de fleurs,
Barcelone !
Dans le port, un bateau qui s’amarre,
Le bourdon des guitares
Et mon cœur.
J’ai revu
Cette rue sous le ciel de septembre ;
J’ai revu
La fenêtre grillée de sa chambre ;
Jours trop courts,
Le vent chaud caressait nos visages
Et l’amour
Nous jetait des étoiles au passage.
Barcelone !
Souvenir de nos nuits haletantes,
D’un été qui me hante.
Barcelone !
Ce matin,
Je reviens dans la rue douce et triste ;
Le chemin
M’a mené jusqu’au banc de jadis
Et soudain
Te voilà, c’est bien toi ; rien n’existe.
Dès demain,
Tous les deux nous irons vers la vie.
Barcelone !
Sur le port, dans le vent qui se lève,
Je vois vivre mon rêve,
Barcelone !
Des pavés, du soleil, des visages ;
Un été plein d’images
Et de fleurs,
Barcelone !
Dans le port, un bateau qui s’amarre,
Le bourdon des guitares
Et mon cœur.
J’ai revu
Cette rue sous le ciel de septembre ;
J’ai revu
La fenêtre grillée de sa chambre ;
Jours trop courts,
Le vent chaud caressait nos visages
Et l’amour
Nous jetait des étoiles au passage.
Barcelone !
Souvenir de nos nuits haletantes,
D’un été qui me hante.
Barcelone !
Ce matin,
Je reviens dans la rue douce et triste ;
Le chemin
M’a mené jusqu’au banc de jadis
Et soudain
Te voilà, c’est bien toi ; rien n’existe.
Dès demain,
Tous les deux nous irons vers la vie.
Barcelone !
Sur le port, dans le vent qui se lève,
Je vois vivre mon rêve,
Barcelone !
inviata da Marco Valdo M.I. - 3/10/2017 - 18:16
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Chanson française – Barcelone – Boris Vian – 1958
Oh, Lucien l’âne mon ami, qui se souvient de la chanson Barcelone de Boris Vian ?
Je n’en sais trop rien, répond Lucien l’âne. Mais c’était une chanson nostalgique.
J’ai bien envie, reprend Marco Valdo M.I., en marge des événements actuels, de la dédier aux participants de la grande corrida. Spécialement, les derniers mots, allez savoir à qui ils s’adressent.
Tous les deux, nous irons vers la vie.
Barcelone !
Sur le port, dans le vent qui se lève,
Je vois vivre mon rêve,
Barcelone ! »
J’ai mon idée personnelle sur la question, dit Lucien l’âne. Quant à nous, comme certains là-bas, nous tisserons le linceul de ce vieux monde au bras rigide, à la matraque prompte, au sourire carnassier et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.