On n’est pas v’nues au monde
Pour se voir toute la vie au cirque
Depuis qu’la Terre est ronde
Vous nous fourguez toutes vos reliques
Vos drapeaux ne vont pas avec la couleur du ciel
Ne nous inventez pas des paradis artificiels
Pour moi je revendique la libre circulation
Je veux la Terre entière pour y planter ma maison
J’ai tous les droits pour moi
Et tous les gauches… dans l’estomac
Le droit de l’homme, le droit de l’âme, moi qui suis une femme
Le droit de lumière et de terre
Le droit de l’aimer et de faire l’amour
Comme ça me chante, comme ça me dit, comme vous
Même le lundi, même à midi, avec n’importe qui
Le droit de vote, le droit de viol, moi qui suis une femme
Le droit de déchirer le voile
Le droit de vouloir faire tomber le masque
Du mec d’en face qui en fait un max, relax
Tous les soirs au grand carnaval des télés mondiales
On n’est pas v’nues au monde...
Le droit de vous traiter de poires, moi qui suis une femme
Vous les détenteurs du pouvoir
Vous qui tapinez pour la gloire, l’Histoire
Et qui marchez toujours au pas, tout droit
Dès qu’une étoile claque des doigts, chers petits soldats!
Le droit de vous traiter de cons, moi qui suis une femme
Car c’est mon sexe et c’est mon nom
Que vous lancez pour injurier, baisé:
C’est bon à j’ter, c’est terminé, rapé
Toujours l’obsession de maman et des vierges en blanc…
On n’est pas v’nues au monde...
Le droit de vous trouver débiles, moi qui suis une femme
Pour 2000 ans de votre style
Entre l’église et la famille: les flics
Pour nous courber, pour nous faire taire: sorcières
Pour nous parquer dans vos vestiaires, vos lits de misère
Le droit de prendre la parole, moi qui suis une femme
Pour vous renvoyer à l’école
Sans idéal, sans auréole: tout nus
Pour vous rappeler qu’le paradis perdu
C’est bien le fruit de nos entrailles: l’amour défendu!
Pour se voir toute la vie au cirque
Depuis qu’la Terre est ronde
Vous nous fourguez toutes vos reliques
Vos drapeaux ne vont pas avec la couleur du ciel
Ne nous inventez pas des paradis artificiels
Pour moi je revendique la libre circulation
Je veux la Terre entière pour y planter ma maison
J’ai tous les droits pour moi
Et tous les gauches… dans l’estomac
Le droit de l’homme, le droit de l’âme, moi qui suis une femme
Le droit de lumière et de terre
Le droit de l’aimer et de faire l’amour
Comme ça me chante, comme ça me dit, comme vous
Même le lundi, même à midi, avec n’importe qui
Le droit de vote, le droit de viol, moi qui suis une femme
Le droit de déchirer le voile
Le droit de vouloir faire tomber le masque
Du mec d’en face qui en fait un max, relax
Tous les soirs au grand carnaval des télés mondiales
On n’est pas v’nues au monde...
Le droit de vous traiter de poires, moi qui suis une femme
Vous les détenteurs du pouvoir
Vous qui tapinez pour la gloire, l’Histoire
Et qui marchez toujours au pas, tout droit
Dès qu’une étoile claque des doigts, chers petits soldats!
Le droit de vous traiter de cons, moi qui suis une femme
Car c’est mon sexe et c’est mon nom
Que vous lancez pour injurier, baisé:
C’est bon à j’ter, c’est terminé, rapé
Toujours l’obsession de maman et des vierges en blanc…
On n’est pas v’nues au monde...
Le droit de vous trouver débiles, moi qui suis une femme
Pour 2000 ans de votre style
Entre l’église et la famille: les flics
Pour nous courber, pour nous faire taire: sorcières
Pour nous parquer dans vos vestiaires, vos lits de misère
Le droit de prendre la parole, moi qui suis une femme
Pour vous renvoyer à l’école
Sans idéal, sans auréole: tout nus
Pour vous rappeler qu’le paradis perdu
C’est bien le fruit de nos entrailles: l’amour défendu!
inviata da Bernart Bartleby - 18/5/2017 - 11:51
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Parole e musica di Annie Nobel
Nel suo disco intitolato “Mon unique planète”
Testotrovato sul sito dell'autrice