Il cane sottomette
non solo per denaro
Il somaro va avanti e indietro
da casa al cimitero.
Lo psicopipistrello
evita la luce
Il mulo porta il padre
e non si riproduce
Il coccodrillo è in cerca
sempre di una preda
La preda fa di tutto
perché lui la veda
I serpenti sono tanti
quasi quanto i santi
Cambiano i vestiti
son sporchi dentro, fuori eleganti
Stai attenta!
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Cambiano i governi
ma non cambiano gli schiavi
Urla l'agnellino
e poliziotti cani
La scimmia porporina
ha messo su il kimono
dice può parlare
col Supremo Tuono
E nella foresta han costruito un grande Duomo
dove gli animali venerano l'uomo
I pesci del mare
giran per il mondo
Saltano al sole e vanno nel profondo (a fare l'amore)
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
“Nonno, nonno, posso farti una domanda sulla nostra vita di pesci del mare? Perché ogni tanto qualche compagno scompare?”
“Perché è stato preso dalla rete del pescatore.”
“Ma ce sarà un modo per non farsi acchiappare?”
“Bisogna sapè distingue la luce delle stelle da quella delle lampare.”
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
non solo per denaro
Il somaro va avanti e indietro
da casa al cimitero.
Lo psicopipistrello
evita la luce
Il mulo porta il padre
e non si riproduce
Il coccodrillo è in cerca
sempre di una preda
La preda fa di tutto
perché lui la veda
I serpenti sono tanti
quasi quanto i santi
Cambiano i vestiti
son sporchi dentro, fuori eleganti
Stai attenta!
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Cambiano i governi
ma non cambiano gli schiavi
Urla l'agnellino
e poliziotti cani
La scimmia porporina
ha messo su il kimono
dice può parlare
col Supremo Tuono
E nella foresta han costruito un grande Duomo
dove gli animali venerano l'uomo
I pesci del mare
giran per il mondo
Saltano al sole e vanno nel profondo (a fare l'amore)
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
“Nonno, nonno, posso farti una domanda sulla nostra vita di pesci del mare? Perché ogni tanto qualche compagno scompare?”
“Perché è stato preso dalla rete del pescatore.”
“Ma ce sarà un modo per non farsi acchiappare?”
“Bisogna sapè distingue la luce delle stelle da quella delle lampare.”
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Contributed by Bernart Bartleby - 2015/7/17 - 08:41
Language: French
Version française – LES ANIMAUX – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson italienne – Gli animali – Alessandro Mannarino – 2014
Paroles et musique : Alessandro Mannarino
Chanson italienne – Gli animali – Alessandro Mannarino – 2014
Paroles et musique : Alessandro Mannarino
Voici, Lucien l'âne mon ami, une chanson qui devrait bien te plaire. Elle raconte des histoires d'animaux ; On dirait un vrai zoo, ou à tout le moins une ménagerie. Elle devrait figurer dans un bestiaire.
Merci bien, j'aime beaucoup les chansons où il est question des animaux et j'aime aussi les bestiaires. De quels animaux parle-t-elle, celle-ci ?
Elle parle du chien, de l'âne, des chiroptères (plus connus sous le nom de chauves-souris, mais ça n'allait, pas pour la rime), du mulet, du crocodile, des serpents, de l'agnelet, du singe et des poissons…
Ça fait du monde et ce serait peut-être le moment de rappeler aux humains les droits des animaux et spécifiquement, ceux de l'âne par le biais de cette Déclaration Universelle des droits de l'âne que tu publias ici-même, il y a quelques temps. Je ne voudrais pas qu'elle s'abîme comme un navire qu'un capitaine négligent a oublié au coin d'un océan.
Moi, elle m'a remis en mémoire deux chansons que j'aime beaucoup et qui trouveraient place elles aussi dans un bestiaire des chansons contre la guerre : l'une est une sorte de zoo à elle toute seule, elle s'intitule Les Éléphants et l'autre, à laquelle – comme on le découvrira – il est fait allusion dans la version française ci-dessous, s'intitule « La Maman des Poissons ». Tout comme y trouverait place Le crocodile d'Offenbach Un crocodile s'en allant à la guerre, qu'il faudrait bien lui rendre… Rendons à Offenbach, ce qui est à Offenbach ! Mais voilà, il manque un bestiaire dans les parcours des Chansons contre la Guerre ; il y a bien un parcours relevant les chansons où des animaux sont mal traités. Mais le bestiaire, ce serait autre chose ; disons que ce serait le coin des animaux. Il y aurait là aussi par exemple le chameau Le Chameau ou le dromadaire et le chameau Il dromedario e il cammello, ou le chameau et le dromadaire Il cammello e il dromedario, sans compter le chat Les Souris et les Chats...
Moi aussi, je les aime beaucoup les nouvelles chansons que tu annonces et j'espère qu'elles seront bientôt dans le bestiaire des Chansons contre la Guerre et bien évidemment, rendons à Offenbach, ce qui lui revient. En attendant écoutons celle-ci et reprenant notre tâche, tissons, tissons le linceul de ce vieux monde trop anthropocentré, trop anthropocentrique, parfois même trop atroce, négligeant les animaux,et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
Merci bien, j'aime beaucoup les chansons où il est question des animaux et j'aime aussi les bestiaires. De quels animaux parle-t-elle, celle-ci ?
Elle parle du chien, de l'âne, des chiroptères (plus connus sous le nom de chauves-souris, mais ça n'allait, pas pour la rime), du mulet, du crocodile, des serpents, de l'agnelet, du singe et des poissons…
Ça fait du monde et ce serait peut-être le moment de rappeler aux humains les droits des animaux et spécifiquement, ceux de l'âne par le biais de cette Déclaration Universelle des droits de l'âne que tu publias ici-même, il y a quelques temps. Je ne voudrais pas qu'elle s'abîme comme un navire qu'un capitaine négligent a oublié au coin d'un océan.
Moi, elle m'a remis en mémoire deux chansons que j'aime beaucoup et qui trouveraient place elles aussi dans un bestiaire des chansons contre la guerre : l'une est une sorte de zoo à elle toute seule, elle s'intitule Les Éléphants et l'autre, à laquelle – comme on le découvrira – il est fait allusion dans la version française ci-dessous, s'intitule « La Maman des Poissons ». Tout comme y trouverait place Le crocodile d'Offenbach Un crocodile s'en allant à la guerre, qu'il faudrait bien lui rendre… Rendons à Offenbach, ce qui est à Offenbach ! Mais voilà, il manque un bestiaire dans les parcours des Chansons contre la Guerre ; il y a bien un parcours relevant les chansons où des animaux sont mal traités. Mais le bestiaire, ce serait autre chose ; disons que ce serait le coin des animaux. Il y aurait là aussi par exemple le chameau Le Chameau ou le dromadaire et le chameau Il dromedario e il cammello, ou le chameau et le dromadaire Il cammello e il dromedario, sans compter le chat Les Souris et les Chats...
Moi aussi, je les aime beaucoup les nouvelles chansons que tu annonces et j'espère qu'elles seront bientôt dans le bestiaire des Chansons contre la Guerre et bien évidemment, rendons à Offenbach, ce qui lui revient. En attendant écoutons celle-ci et reprenant notre tâche, tissons, tissons le linceul de ce vieux monde trop anthropocentré, trop anthropocentrique, parfois même trop atroce, négligeant les animaux,et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
LES ANIMAUX
Le chien se soumet
Parce que ça lui plaît
L'âne va d'avant en arrière
De chez lui au cimetière.
Les chiroptères
Évitent la lumière
Le mulet porte le bât
Et ne se reproduit pas
Le crocodile cherche
Toujours une proie
La proie se démène
Pour qu'il la voie
Les serpents pullulent
Comme les saints patrons
Ils changent de vêtements
Ils sont sales dedans, dehors élégants
Faites attention !
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Les gouvernements changent
Mais pas les esclaves
L'agnelet hurle
Et les chiens policiers bavent
Le singe pourpre
A mis son kimono
Il dit qu'il peut parler haut
Avec le Tonnerre Suprême
Dans la forêt, on a construit un grand Dôme
Où les animaux vénèrent l'homme.
Les poissons dans la mer se confondent
Et font le tour du monde
Ils sautent au soleil et baisent dans l'eau profonde
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
« Grand-père, grand-père, puis-je te poser une question sur notre vie de poissons de la mer ? Pourquoi parfois il y en a un qui disparaît ? »
« Car il a été pris dans le filet du pêcheur. »
« Mais y a-t-il un moyen de ne pas se faire attraper ? »
« Il faut savoir distinguer la lumière des étoiles de celle des lamparos. »
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Le chien se soumet
Parce que ça lui plaît
L'âne va d'avant en arrière
De chez lui au cimetière.
Les chiroptères
Évitent la lumière
Le mulet porte le bât
Et ne se reproduit pas
Le crocodile cherche
Toujours une proie
La proie se démène
Pour qu'il la voie
Les serpents pullulent
Comme les saints patrons
Ils changent de vêtements
Ils sont sales dedans, dehors élégants
Faites attention !
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Les gouvernements changent
Mais pas les esclaves
L'agnelet hurle
Et les chiens policiers bavent
Le singe pourpre
A mis son kimono
Il dit qu'il peut parler haut
Avec le Tonnerre Suprême
Dans la forêt, on a construit un grand Dôme
Où les animaux vénèrent l'homme.
Les poissons dans la mer se confondent
Et font le tour du monde
Ils sautent au soleil et baisent dans l'eau profonde
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh.
« Grand-père, grand-père, puis-je te poser une question sur notre vie de poissons de la mer ? Pourquoi parfois il y en a un qui disparaît ? »
« Car il a été pris dans le filet du pêcheur. »
« Mais y a-t-il un moyen de ne pas se faire attraper ? »
« Il faut savoir distinguer la lumière des étoiles de celle des lamparos. »
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Oh oh oh, oh oh oh, oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2015/7/30 - 13:18
×
Note for non-Italian users: Sorry, though the interface of this website is translated into English, most commentaries and biographies are in Italian and/or in other languages like French, German, Spanish, Russian etc.
Parole e musica di Alessandro Mannarino
Nell’album intitolato “Al monte”