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Wiegenlied

Konstantin Wecker
Lingua: Tedesco


Konstantin Wecker

Lista delle versioni e commenti


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[2005]
Parole e musica di Konstantin Wecker
Nell’album intitolato “Am Flußufer”

Am Flußufer
Du hattest nie eine Kindheit, mein Kind.
Dir sang man kein Wiegenlied.
Dich sangen Bomben und Totengeläut´
in den Schlaf. Die hatten dich lieb.

Dich tröstet keine Mutter, mein Kind.
Deine Mutter ist lange schon tot.
Dein Vater kämpft auf dem Felde der Ehre.
Dieses Feld ist von Blut so rot.

Wie war doch dereinst meiner Mutter Hand
mir Zuflucht von allem Bösen.
Wie konnte mich ein liebes Wort
von allen Ängsten erlösen.

Ich lernte nicht kämpfen. Ich durfte sein
und durfte Liebe erfahren.
Auch wenn mir vieles verloren ging,
so konnt´ ich doch manches bewahren.

Dich aber werden für alle Zeit
die Geister der Finsternis jagen.
Und deine Angst vor der Dunkelheit
musst du für immer ertragen.

Und sie werden es wieder nicht verstehen,
denn sie wissen nichts vom Leben,
wenn du sie ihnen abschlagen wirst,
statt ihnen die Hand zu geben.

Du hattest nie eine Kindheit, mein Kind...

inviata da Bernart Bartleby - 19/2/2015 - 20:56



Lingua: Francese

Version française – BERCEUSE – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson allemande – Wiegenlied – Konstantin Wecker – 2005
Paroles et musique de Konstantin Wecker

Tu n'as jamais eu d'enfance, mon enfant…
Tu n'as jamais eu d'enfance, mon enfant…
Tu n'as jamais eu d'enfance, mon enfant.
On ne t'a pas chanté de berceuse.
Les bombes et les carillons de la mort, longtemps,
Ont bercé ton sommeil en douces nourrices.

Aucune mère, mon enfant ne t'as consolé.
Ta mère est morte depuis longtemps
Sur le champ d'honneur, ton père a guerroyé,
Sur ce champ si rouge de sang.

Comme la main de ma mère, c'est normal
Alors m'était refuge contre tout mal.
Comme pouvait un mot tendre
Me libérer de toute détresse.

Je n'ai pas appris à combattre. Je voulais être
Et je voulais apprendre l'amour.
Si une grande part s'est perdue pour toujours,
Je pus quand même en garder quelque chose.

Cependant, toi, encore, mon garçon
Les esprits de la nuit te poursuivront.
Il te faudra toujours supporter
La terreur de l'obscurité.

Et ils ne comprendront pas plus demain,
Car de la vie, ils ne savent rien,
Quand tu les réduiras à rien,
Au lieu de leur donner la main.

Tu n'as jamais eu d'enfance, mon enfant…

inviata da Marco Valdo M.I. - 20/2/2015 - 22:47




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