Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Je suis un poseur de rails
Comme l'était mon père.
Je me suis mis au travail
Quand la mort lui dit "Vieux frère"
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
J'ai hérité du chemin
Que mon bonhomme de père
Avait suivi comme un chien
Jusqu'à son heure dernière.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Au boulot vaille que vaille,
On creuse, on pioche et l'on taille,
Par les champs et la rocaille,
L'immense route du rail.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
On construit un éventail
Qui, par Rome ou par Nanterre,
Grandit comme la semaille
Sur tous les coins de la Terre.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Dès que paraît le matin
Les sirènes nous rappellent.
On oublie le mal de reins,
On n'est pas des demoiselles.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Chaque jour, maille après maille,
Grandit le chemin du rail.
Attachés à la ferraille,
En chœur tout le monde gouaille.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Je vais le long du chemin
La musette en bandoulière.
Je repars toujours plus loin
Jusqu'à mon heure dernière.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Quand trop vieux pour le turbin,
Je ne pourrai plus rien faire,
En voyant passer les trains,
Je viderai quand même quelques verres.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Je suis un poseur de rails
Comme l'était mon père.
Je me suis mis au travail
Quand la mort lui dit "Vieux frère"
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
J'ai hérité du chemin
Que mon bonhomme de père
Avait suivi comme un chien
Jusqu'à son heure dernière.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Au boulot vaille que vaille,
On creuse, on pioche et l'on taille,
Par les champs et la rocaille,
L'immense route du rail.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
On construit un éventail
Qui, par Rome ou par Nanterre,
Grandit comme la semaille
Sur tous les coins de la Terre.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Dès que paraît le matin
Les sirènes nous rappellent.
On oublie le mal de reins,
On n'est pas des demoiselles.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Chaque jour, maille après maille,
Grandit le chemin du rail.
Attachés à la ferraille,
En chœur tout le monde gouaille.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Je vais le long du chemin
La musette en bandoulière.
Je repars toujours plus loin
Jusqu'à mon heure dernière.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Quand trop vieux pour le turbin,
Je ne pourrai plus rien faire,
En voyant passer les trains,
Je viderai quand même quelques verres.
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
Re-hop, re-hop
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