Jour de courroux, jour mémorable, jour de chagrin, jour de douleur
Où il se fit un grand ravage, mais tant de citoyens en pleurs
C’est dans l’année, quatre-vingt-onze, le vingt et un de février
Travaillent au fond, au fond de la mine, où vous ne l’oublierez jamais
Notre pays est aux alarmes tant de vieillards et tant d’enfants
Les jeunes filles aussi les femmes se rendent tous au bord en pleurant
Les jeunes femmes sont dans la peine en voyant leurs maris tous morts
En se frappant la face par terre, disons grand Dieu, quel triste sort
Là étendu sortant des flammes, sa femme est là, elle le connaît
Elle contemple quoi qu’il en soit, disons grand Dieu qu’allons nous faire
Mais où est-il, Dieu de bonheur, faire mourir tant d’hommes dans ce jour
Et mettre notre ville aux alarmes pour satisfaire un Dieu d’amour
Dans quel pays dans quelle place où sont ces désastres arrivés
L’Histoire nous le dira peut-être dans la province Nova Scotia
C’est dans la mine de Springhill où ces infortunes étaient
Travaillent au fond, au fond de la mine, où vous ne l’oublierez jamais
Pourrez-vous nous dire combien d’âmes ont trouvé de morts dans ces lieux
Le nombre que le livre nous donne, cent trente apparut devant Dieu
Pour en trouver, la certitude, et de trouver le nombre de morts
Cela nous est presque impossible on ne les connait pas encore
Pleure plus chrétienne, Dieu nous commande, de le prier pour ses défunts
Ce sont nos frères dans la souffrance qui daignant nous verser leur pain
Ce qui nous conservait la vie en nous donnant malheureux sorts
Et qu’à la fin de notre vie et nous faisons une sainte mort.
Où il se fit un grand ravage, mais tant de citoyens en pleurs
C’est dans l’année, quatre-vingt-onze, le vingt et un de février
Travaillent au fond, au fond de la mine, où vous ne l’oublierez jamais
Notre pays est aux alarmes tant de vieillards et tant d’enfants
Les jeunes filles aussi les femmes se rendent tous au bord en pleurant
Les jeunes femmes sont dans la peine en voyant leurs maris tous morts
En se frappant la face par terre, disons grand Dieu, quel triste sort
Là étendu sortant des flammes, sa femme est là, elle le connaît
Elle contemple quoi qu’il en soit, disons grand Dieu qu’allons nous faire
Mais où est-il, Dieu de bonheur, faire mourir tant d’hommes dans ce jour
Et mettre notre ville aux alarmes pour satisfaire un Dieu d’amour
Dans quel pays dans quelle place où sont ces désastres arrivés
L’Histoire nous le dira peut-être dans la province Nova Scotia
C’est dans la mine de Springhill où ces infortunes étaient
Travaillent au fond, au fond de la mine, où vous ne l’oublierez jamais
Pourrez-vous nous dire combien d’âmes ont trouvé de morts dans ces lieux
Le nombre que le livre nous donne, cent trente apparut devant Dieu
Pour en trouver, la certitude, et de trouver le nombre de morts
Cela nous est presque impossible on ne les connait pas encore
Pleure plus chrétienne, Dieu nous commande, de le prier pour ses défunts
Ce sont nos frères dans la souffrance qui daignant nous verser leur pain
Ce qui nous conservait la vie en nous donnant malheureux sorts
Et qu’à la fin de notre vie et nous faisons une sainte mort.
inviata da Bernart Bartleby - 14/5/2014 - 18:32
Turchia, tragedia in miniera: 274 operai morti, altri 120 ancora intrappolati. In conferenza stampa il premier Erdogan promette commissione d’inchiesta ma poi dichiara: "Incidenti possono accadere"... Attaccato dalla popolazione inferocita, è costretto a rifugiarsi in un supermercato mentre la folla gli urla “Ladro! Assassino!”. Il Paese è in rivolta. Scontri ad Ankara e Istanbul. Proclamati tre giorni di lutto nazionale. Sciopero dei sindacati: "Le politiche di privatizzazione, la minaccia alla vita dei lavoratori per ridurre i costi sono i veri imputati della tragedia di Soma". (La Repubblica)
Bernart Bartleby - 15/5/2014 - 08:22
Durante la "calda" accoglienza riservata ad Erdogan da familiari ed amici dei minatori di Soma, un consigliere del presidente, tal Yusuf Yerkel, ha pensato bene di prendere a calci un giovane, già a terra e immobilizzato dalla polizia...
Una scena che la dice lunga sulla cattiveria e la vigliaccheria dei potenti...
Yusuf Yerkel è "Advisor of Turkish PM & Deputy Chief of the Cabinet" ed è laureato alla SOAS University di Londra: complimenti!
Una scena che la dice lunga sulla cattiveria e la vigliaccheria dei potenti...
Yusuf Yerkel è "Advisor of Turkish PM & Deputy Chief of the Cabinet" ed è laureato alla SOAS University di Londra: complimenti!
Bernart Bartleby - 15/5/2014 - 13:32
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Nell’album intitolato “La part du feu”
Una canzone quebecchese dedicata ai molteplici disastri occorsi nelle miniere di carbone di Springhill, contea del Cumberland, Nuova Scozia, Canada. Il primo risale al 1891 (il riferimento preciso della prima strofa) e vi morirono 125 minatori, molti dei quali erano ragazzini di 10/13 anni. Nel 1956 un’esplosione si portò via 39 vite. Ancora nel 1958 - quello cui si riferisce la canzone di Peggy Seeger The Ballad of the Springhill Mine Disaster - le vittime furono 74...
Sembrano cifre di altri tempi, di quando le tecnologie erano povere e le misure di sicurezza non normate... Eppure, all’alba del terzo millennio, in tutto il mondo ogni anno muoiono ancora centinaia di minatori, quasi 250 in un colpo solo, proprio oggi a Soma, in Turchia. Tra di loro anche un ragazzo di 15 anni. Lavoratori e sindacati da tempo denunciavano gravi rischi legati alla sicurezza, al lavoro nero (più nero di così!) e minorile nei pozzi di carbone della compagnia Tilaga a Soma. Era stata anche invocata una commissione d’inchiesta indipendente, ma il governo Erdogan non se n’è infischiato. Ora in tutta la Turchia stanno dilagando manifestazioni di protesta per queta tragedia annunciata... La gente si sdraia per terra nelle stazioni della metro e urla: “Non è un incidente, è un omicidio!”