Canzone sul 18 marzo 1871, giorno di inizio della Comune di Parigi. Da cantare sull'aria del Chant des Soldats di Pierre Dupont. Testo ripreso da La musica dell'altra Italia, sezione Canzoniere Internazionale.
Vous voulez nous faire la guerre
Messieurs de la réaction,
Nous vous réduirons en poussière,
Car votre lâche trahison
A pour longtemps perdu la France.
Les républicains sont tous prêts
A faire éclater leur vengeance,
Vos lauriers seront des cyprès
Tremblez, argousins et gendarmes,
Car les républicains français
Vous punissant de vos forfaits
Feront de glorieux hauts faits.
Tout le peuple a crié (aux armes!)
Et certes il aura les succès
Commençant la guerre civile
Vous criâtes vive le Roi;
Mais dans Paris la grande ville
En vous tous on n’a plus foi,
Nous garderons la République.
A bas vos projets dictateurs!
Vous êtes vaincus sans réplique
Infâmes capitulateurs
Vos maximes sont arbitraires.
Loin d’être de vaillants guerriers,
Vous avez, lâches sanguinaires,
Frappé de vos coups meurtriers,
Et nos enfants et nos compagnes;
Vous êtes d’ignobles soldats;
Et nos frères de nos campagnes
Sont trahis par vous scélérats!
Oui, votre guerre de sauvage
Vous causera mille tourments,
Car vous n’aurez pas l’avantage
De revenir en conquérants.
Croyez-bien que votre furie
Recevra sa juste rançon.
Nous paierons votre barbarie
Par la mitraille et le canon
Nous sommes tous levés en masse:
Pour vous c’est l’heure du danger.
Nous allons vous faire la chasse;
Vous êtes pour nous l’étranger;
Contre vous la France s’est levée,
Ainsi que son rouge drapeau.
Notre République est sauvée:
Tyrans descendez au tombeau.
Messieurs de la réaction,
Nous vous réduirons en poussière,
Car votre lâche trahison
A pour longtemps perdu la France.
Les républicains sont tous prêts
A faire éclater leur vengeance,
Vos lauriers seront des cyprès
Tremblez, argousins et gendarmes,
Car les républicains français
Vous punissant de vos forfaits
Feront de glorieux hauts faits.
Tout le peuple a crié (aux armes!)
Et certes il aura les succès
Commençant la guerre civile
Vous criâtes vive le Roi;
Mais dans Paris la grande ville
En vous tous on n’a plus foi,
Nous garderons la République.
A bas vos projets dictateurs!
Vous êtes vaincus sans réplique
Infâmes capitulateurs
Vos maximes sont arbitraires.
Loin d’être de vaillants guerriers,
Vous avez, lâches sanguinaires,
Frappé de vos coups meurtriers,
Et nos enfants et nos compagnes;
Vous êtes d’ignobles soldats;
Et nos frères de nos campagnes
Sont trahis par vous scélérats!
Oui, votre guerre de sauvage
Vous causera mille tourments,
Car vous n’aurez pas l’avantage
De revenir en conquérants.
Croyez-bien que votre furie
Recevra sa juste rançon.
Nous paierons votre barbarie
Par la mitraille et le canon
Nous sommes tous levés en masse:
Pour vous c’est l’heure du danger.
Nous allons vous faire la chasse;
Vous êtes pour nous l’étranger;
Contre vous la France s’est levée,
Ainsi que son rouge drapeau.
Notre République est sauvée:
Tyrans descendez au tombeau.
envoyé par Riccardo Venturi - 13/8/2006 - 21:42
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