Langue   

Il liberismo ha i giorni contati

Baustelle
Langue: italien


Baustelle

Liste des versions


Peut vous intéresser aussi...

La canzone della Rivoluzione
(Baustelle)
Maya colpisce ancora
(Baustelle)
Charlie Don't Surf
(The Clash)


‎[2008]‎
Testo di Francesco Bianconi
Musica di Francesco Bianconi e Carlo Ubaldo Rossi.‎
Album “Amen”‎

Baustelle-Amen
É difficile resistere al Mercato, amore mio
Di conseguenza andiamo in cerca
di rivoluzioni e vena artistica
Per questo le avanguardie erano ok
almeno fino al '66
Ma ormai la fine va da sé
è inevitabile‎

Anna pensa di soccombere al Mercato
Non lo sa perché si è laureata
Anni fa credeva nella lotta
adesso sta paralizzata in strada
Finge di essere morta
Scrive con lo spray sui muri
che la catastrofe ‎
è inevitabile

Vede la fine in metropolitana
nella puttana che le si siede a fianco
Nel tizio stanco
Nella sua borsa di Dior

Legge la fine nei sacchi dei cinesi
Nei giorni spesi al centro commerciale
Nel sesso orale
nel suo non eccitarla più

Vede la fine in me che vendo dischi
in questo modo orrendo
Vede i titoli di coda nella Casa e nella Libertà

É difficile resistere al Mercato, Anna lo sa
Un tempo aveva un sogno stupido:
un nucleo armato terroristico

Adesso è un corpo fragile
che sa d'essere morto e sogna l'Africa.
Strafatta, compone poesie ‎
sulla catastrofe

Vede la fine in metropolitana
nella puttana che le si siede a fianco
Nel tizio stanco
Nella sua borsa di Dior

Muore il Mercato per autoconsunzione
Non è peccato, e non è Marx & Engels.
E' l'estinzione, è un ragazzino in agonia.‎

Vede la fine in me che spendo soldi
e tempo in un Nintendo
dentro il bar della stazione
e da anni non la chiamo più ‎

envoyé par Dead End - 22/1/2013 - 10:58



Langue: français

Version française – LES JOURS DU LIBÉRALISME SONT COMPTÉS – Marco Valdo M.I. – 2013
Chanson italienne – Il liberismo ha i giorni contati – Baustelle – 2008 ‎
Texte de Francesco Bianconi
Musique de Francesco Bianconi et Carlo Ubaldo Rossi.‎
Album “Amen”‎
LES JOURS DU LIBÉRALISME SONT COMPTÉS

Il est difficile de résister au marché, mon amour
Par conséquent allons à la recherche
De révolutions et de veine artistique
Pour cela, les avant-gardes étaient d'attaque
Au moins jusqu'en 66
Mais maintenant la fin va de soi
Elle est inévitable

Anne pense succomber au marché
Elle ne sait pas pourquoi elle a passé la licence
Il y a des années , elle croyait à la lutte
maintenant, elle est paralysée sur la route
Elle feint d'être morte
Elle écrit à la bombe sur les murs
Que la catastrophe
Est inévitable

Elle voit la fin dans le métro
Dans la putain qui s'assied à côté d'elle
Dans le type fatigué
Dans son sac de Dior

Elle lit la fin dans les tas de Chinois
Dans les jours dépensés au centre commercial
Dans le sexe oral
Dans sa lascivité perdue

Elle voit la fin en moi qui vends des disques
De cette façon horrible
Elle voit le générique dans la Maison et dans la Liberté

Il est difficile de résister au marché, Anne le sait
Un temps avait comme rêve stupide :
Un noyau armé terroriste

Maintenant , c'est un corps fragile
Qui sait être mort et rêve l'Afrique.
Mûrie, elle compose des poésies
Sur la catastrophe

Elle voit la fin dans le métro
Dans la putain qui s'assied à côté d'elle
Dans le type fatigué
Dans son sac de Dior

Le Marché meurt de consomption
Ce n'est pas le péché, ce n'est pas Marx & Engels.
C'est l'extinction, c'est un gamin à l'agonie.

Elle voit la fin en moi qui dépense de l'argent
Et du temps passé au Nintendo
Au bar de la station
Et depuis des années, je ne l'appelle plus.

envoyé par Marco Valdo M.I. - 24/1/2013 - 20:49




Page principale CCG

indiquer les éventuelles erreurs dans les textes ou dans les commentaires antiwarsongs@gmail.com




hosted by inventati.org