I was born long ago,
In eighteen ninety-four.
I've seen many a panic, I will own,
I've been hungry, I've been cold,
And now I'm growing old.
But the worst I've seen is nineteen thirty-one.
Oh, those beans, bacon and gravy,
They almost drive me crazy,
I eat them, I see them in my dreams.
When I wake up each morning
And another day is dawning,
I know I'll have another mess of beans.
We congregate each morning
At the county barn at dawning,
And everyone is happy, so it seems.
But when our work is done
We file in one by one,
And thank the Lord for one more mess of beans.
We have Hooverized on butter,
For milk we've only water,
And I haven't seen a steak in many a day.
For cakes and pies and jellies
We substitute sow bellies,
For which we work the county road each day.
If there ever comes a time
When I have more than a dime,
They will have to put me under lock and key.
For I've been broke so long
I can only sing this song
Of the workers and their misery.
In eighteen ninety-four.
I've seen many a panic, I will own,
I've been hungry, I've been cold,
And now I'm growing old.
But the worst I've seen is nineteen thirty-one.
Oh, those beans, bacon and gravy,
They almost drive me crazy,
I eat them, I see them in my dreams.
When I wake up each morning
And another day is dawning,
I know I'll have another mess of beans.
We congregate each morning
At the county barn at dawning,
And everyone is happy, so it seems.
But when our work is done
We file in one by one,
And thank the Lord for one more mess of beans.
We have Hooverized on butter,
For milk we've only water,
And I haven't seen a steak in many a day.
For cakes and pies and jellies
We substitute sow bellies,
For which we work the county road each day.
If there ever comes a time
When I have more than a dime,
They will have to put me under lock and key.
For I've been broke so long
I can only sing this song
Of the workers and their misery.
Contributed by Dead End - 2012/9/27 - 15:11
Language: French
Traduzione francese trovata sul blog coco Magnanville
DES FAYOTS, DU BACON ET DU JUS
Je suis né il y a longtemps, en 1894
Et j'ai vu de nombreux krach, je l'avoue
j'ai eu faim, j'ai eu froid.
Et maintenant, je deviens vieux,
mais le pire que j'ai vu, c'est 1932.
Refrain:
Ah, ces fayots, ce bacon et ce jus,
ils me rendent presque dingue,
j'en mange jusqu'à ce que je les voie dans mes rêves,
dans mes rêves;
quand je m'éveille le matin,
et qu'un autre jour se lève,
oui je sais que j'aurai un autre rata de fayots.
Nous nous réunissons chaque matin
à l'aube, à la grange du comté
et chacun est heureux, à ce qu'il semble;
mais quand notre travail est fini,
nous marchons à la queue leu leu
et remercions le Seigneur pour encore un autre rata de fayots.
Nous avons hooverisé le beurre,
pour lait, nous n'avons que de l'eau,
et il y a bien longtemps que je n'ai pas vu de steack;
aux pâtés, aux gâteaux et aux gelées,
nous substituons les tripes de cochon,
pour lesquelles nous travaillons sur la route du comté chaque jour.
Si jamais vient un jour
où j'aurai plus d'une dime,
il faudra qu'ils me mettent sous les verrous;
car ils m'ont laissé si longtemps sans un rond
que je peux seulement chanter cette chanson
des travailleurs et de la misère.
Je suis né il y a longtemps, en 1894
Et j'ai vu de nombreux krach, je l'avoue
j'ai eu faim, j'ai eu froid.
Et maintenant, je deviens vieux,
mais le pire que j'ai vu, c'est 1932.
Refrain:
Ah, ces fayots, ce bacon et ce jus,
ils me rendent presque dingue,
j'en mange jusqu'à ce que je les voie dans mes rêves,
dans mes rêves;
quand je m'éveille le matin,
et qu'un autre jour se lève,
oui je sais que j'aurai un autre rata de fayots.
Nous nous réunissons chaque matin
à l'aube, à la grange du comté
et chacun est heureux, à ce qu'il semble;
mais quand notre travail est fini,
nous marchons à la queue leu leu
et remercions le Seigneur pour encore un autre rata de fayots.
Nous avons hooverisé le beurre,
pour lait, nous n'avons que de l'eau,
et il y a bien longtemps que je n'ai pas vu de steack;
aux pâtés, aux gâteaux et aux gelées,
nous substituons les tripes de cochon,
pour lesquelles nous travaillons sur la route du comté chaque jour.
Si jamais vient un jour
où j'aurai plus d'une dime,
il faudra qu'ils me mettent sous les verrous;
car ils m'ont laissé si longtemps sans un rond
que je peux seulement chanter cette chanson
des travailleurs et de la misère.
Contributed by Bernart Bartleby - 2015/7/6 - 09:44
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Album “Songs of the Open Road”, Folkways Records, 1962
Testo trovato su Cisco Houston, The Songs He Sang.
Una canzone dalla Grande Depressione…