Sangue sulle mani e ganci appesi al sole di periferia
occhi grandi delle bestie che non rivedranno il cielo
Sto seduto sul pallone a catturare il senso dell’odore acre
sprigionato dai camini fumanti
Quanti perché inseguirò senza risposta
io non avrò nessuna pietà, ci sono abituato: il Bimbo del Macello
Giovani vitelli in fila indiana, molto inquieti
su scatole di latta la fotografia dell’ultimo muggito
non ci vogliono entrare negli asettici stanzoni
forse sanno che non usciranno mai
Quanti perché inseguirò senza risposta
io non avrò nessuna pietà, per quelli come voi:
il Bimbo del Macello
occhi grandi delle bestie che non rivedranno il cielo
Sto seduto sul pallone a catturare il senso dell’odore acre
sprigionato dai camini fumanti
Quanti perché inseguirò senza risposta
io non avrò nessuna pietà, ci sono abituato: il Bimbo del Macello
Giovani vitelli in fila indiana, molto inquieti
su scatole di latta la fotografia dell’ultimo muggito
non ci vogliono entrare negli asettici stanzoni
forse sanno che non usciranno mai
Quanti perché inseguirò senza risposta
io non avrò nessuna pietà, per quelli come voi:
il Bimbo del Macello
Lingua: Francese
Version française – LE GAMIN DE L'ABATTOIR – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson italienne – Il bimbo del macello – Yo Yo Mundi – 1994
Chanson italienne – Il bimbo del macello – Yo Yo Mundi – 1994
L'ENFANT DU MASSACRE
Le sang sur les mains et les crochets pendus au soleil de banlieue,
Les grands yeux des bêtes qui ne reverront pas le ciel,
Je suis assis sur le ballon à cerner le sens de l'odeur âcre
Dégagée par les cheminées fumantes.
Combien de pourquoi je laisserai sans réponse ;
Je n'aurai aucune pitié, j'y suis habitué : le gamin de l'abattoir.
Des jeunes veaux en file indienne, très inquiets
De la photographie de leur dernier meuglement sur des boîtes de fer
Ne veulent pas entrer dans les salles aseptiques.
Sans doute savent-ils qu'ils n'en sortiront jamais.
Combien de pourquoi je laisserai sans réponse ;
Je n'aurai aucune pitié, pour ceux comme vous :
Le gamin de l'abattoir.
Le sang sur les mains et les crochets pendus au soleil de banlieue,
Les grands yeux des bêtes qui ne reverront pas le ciel,
Je suis assis sur le ballon à cerner le sens de l'odeur âcre
Dégagée par les cheminées fumantes.
Combien de pourquoi je laisserai sans réponse ;
Je n'aurai aucune pitié, j'y suis habitué : le gamin de l'abattoir.
Des jeunes veaux en file indienne, très inquiets
De la photographie de leur dernier meuglement sur des boîtes de fer
Ne veulent pas entrer dans les salles aseptiques.
Sans doute savent-ils qu'ils n'en sortiront jamais.
Combien de pourquoi je laisserai sans réponse ;
Je n'aurai aucune pitié, pour ceux comme vous :
Le gamin de l'abattoir.
inviata da Marco Valdo M.I. - 29/5/2015 - 22:51
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Il mio contributo al percorso sulla "guerra agli animali" (Lorenzo)