Canzone di Jacques Larue (1906-1961), cantata dalla Piaf anche in inglese con il titolo "Heaven Have Mercy". Da sentire anche l'emozionante versione di Diamanda Galás ( nell'album "Guilty,Guilty,Guilty").
Plus jamais ne prierai,
Plus jamais ne rirai
Avec leurs boniments.
Ils ont tué mon amant.
Le bourdon peut sonner,
Le curé, marmonner.
C'est pas ça qui le fera
Revenir dans mes bras.
D'un petit air affranchi
Et la voix décidée,
Il a dit : "Allons-y !
Faut défendre ses idées !"
Mais, malgré sa grande gueule
Et ses yeux qu'il planquait,
Je n'étais pas toute seule
A chiâler sur le quai...
Miséricorde !
Miséricorde !
Les petites croix blanches
Ont des dimanches
Qui ne sont pas gais.
Le ciel bleu d'un petit bal
Du côté de Bougival
Dans mes yeux étonnés
Continue de tourner...
Rien qu'à voir les péniches,
On rêvait de voyager.
Pour ceux qui ne sont pas riches,
Il suffit de rêver :
Le jardin qu'on aurait
Serait plein de lilas...
Et le gosse qu'on aurait
S'appell'rait Jean-François...
Les beaux rêves sont gratuits.
Moi, le seul qui me reste,
C'est l'odeur de sa veste
Quand j'dansais contre lui.
Y'a plus qu'ça qui me rapproche
De celui qu'j'adorais
Mais la vie est si moche
Que même ça, je l'oublierai...
Miséricorde !
Miséricorde !
Miséricorde !
Plus jamais ne rirai
Avec leurs boniments.
Ils ont tué mon amant.
Le bourdon peut sonner,
Le curé, marmonner.
C'est pas ça qui le fera
Revenir dans mes bras.
D'un petit air affranchi
Et la voix décidée,
Il a dit : "Allons-y !
Faut défendre ses idées !"
Mais, malgré sa grande gueule
Et ses yeux qu'il planquait,
Je n'étais pas toute seule
A chiâler sur le quai...
Miséricorde !
Miséricorde !
Les petites croix blanches
Ont des dimanches
Qui ne sont pas gais.
Le ciel bleu d'un petit bal
Du côté de Bougival
Dans mes yeux étonnés
Continue de tourner...
Rien qu'à voir les péniches,
On rêvait de voyager.
Pour ceux qui ne sont pas riches,
Il suffit de rêver :
Le jardin qu'on aurait
Serait plein de lilas...
Et le gosse qu'on aurait
S'appell'rait Jean-François...
Les beaux rêves sont gratuits.
Moi, le seul qui me reste,
C'est l'odeur de sa veste
Quand j'dansais contre lui.
Y'a plus qu'ça qui me rapproche
De celui qu'j'adorais
Mais la vie est si moche
Que même ça, je l'oublierai...
Miséricorde !
Miséricorde !
Miséricorde !
inviata da emanuele pozzi - 16/1/2012 - 00:25
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