Roma Occupata, Roma abbandonata
nelle mani dei tedeschi di Kappler
che preparano la ritirata
Roma città aperta, Roma che nasconde Roma
le famiglie ebree sono nascoste
anche a rischio di una morte sicura
Ti vennero a cercare i soldati a via Libetta
e davanti ad una figlia ti portarono via in fretta
vennero quattro divise, ma chi fece il tradimento
era chi li accompagnava per il riconoscimento
Roma Occupata anche il re è scappato
Roma abbandonata, solo il papa non se n'è andato
Si dice che qualcuno avesse messo dei cartelli:
per ogni nostro soldato ucciso
prenderemo dieci dei vostri fratelli
Che eri uno di quei dieci chissà come l'hai scoperto
nelle stanze di via Tasso, chissà quanto avrai sofferto
Non ti lasciarono il tempo di vestirti
con io grembiule con il basco, ti ordinarono di uscire
Il 23 marzo un'azione partigiana
uccideva a via Rasella dei soldati
e portò ad una reazione disumana
Ma all’orrore non c’è fine e a quel calcolo brutale
cinque persone si sono aggiunte
Qualcuno forse ha contato male
Il pomeriggio seguente Nicola vide arrivare
camion tedeschi pieni di uomini
prigionieri da giustiziare
scaricati nel buio nelle cave abbandonate
coperti di terra e di corpi di altri condannati
Il4 giugno di quell'anno Roma è liberata
gli americani sono arrivati in ritardo
la primavera è cominciata
si seppelliscono i morti
si fanno i riconoscimenti
i pochi esti sono dati alle famiglie
ci si riprende dai bombardamenti
è la fine di un incubo
si urla nella capitale
è l'inizio di una nuova vita
che non ha ancora conosciuto il male
Ti vennero a cercare i soldati a via Libetta
e davanti ad una figlia ti portarono via in fretta
Ti vennero a cercare quella era la tua fine
ti portarono a morire alle Fosse Ardeatine
nelle mani dei tedeschi di Kappler
che preparano la ritirata
Roma città aperta, Roma che nasconde Roma
le famiglie ebree sono nascoste
anche a rischio di una morte sicura
Ti vennero a cercare i soldati a via Libetta
e davanti ad una figlia ti portarono via in fretta
vennero quattro divise, ma chi fece il tradimento
era chi li accompagnava per il riconoscimento
Roma Occupata anche il re è scappato
Roma abbandonata, solo il papa non se n'è andato
Si dice che qualcuno avesse messo dei cartelli:
per ogni nostro soldato ucciso
prenderemo dieci dei vostri fratelli
Che eri uno di quei dieci chissà come l'hai scoperto
nelle stanze di via Tasso, chissà quanto avrai sofferto
Non ti lasciarono il tempo di vestirti
con io grembiule con il basco, ti ordinarono di uscire
Il 23 marzo un'azione partigiana
uccideva a via Rasella dei soldati
e portò ad una reazione disumana
Ma all’orrore non c’è fine e a quel calcolo brutale
cinque persone si sono aggiunte
Qualcuno forse ha contato male
Il pomeriggio seguente Nicola vide arrivare
camion tedeschi pieni di uomini
prigionieri da giustiziare
scaricati nel buio nelle cave abbandonate
coperti di terra e di corpi di altri condannati
Il4 giugno di quell'anno Roma è liberata
gli americani sono arrivati in ritardo
la primavera è cominciata
si seppelliscono i morti
si fanno i riconoscimenti
i pochi esti sono dati alle famiglie
ci si riprende dai bombardamenti
è la fine di un incubo
si urla nella capitale
è l'inizio di una nuova vita
che non ha ancora conosciuto il male
Ti vennero a cercare i soldati a via Libetta
e davanti ad una figlia ti portarono via in fretta
Ti vennero a cercare quella era la tua fine
ti portarono a morire alle Fosse Ardeatine
Contributed by DoNQuijote82 - 2012/1/12 - 18:27
Language: French
Version française – ROME OCCUPÉE – Marco Valdo M.I. – 2015
Chanson italienne – Roma Occupata – Giacomo Lariccia – 2011
Texte et musique : Giacomo Lariccia
Album: Colpo di sole
On se trouve plongé dans l'immense et déchirante douleur de Rome occupée, dans laquelle la voix de Giacomo se fait souffrante pour chanter la capture et les derniers instants de vie de Renzo Giorgini, un industriel romain et vaillant antifasciste, qui en mars 1944 finit fusillé avec autres 334 personnes aux Fosses Ardeatines.
À remarquer la présence essentielle du violoncelle d'Anja Naucler
On devrait reprendre ici les propos que nous avions échangés en introduction à la version française de la chanson « Via Rasella », dit Lucien l'âne un peu pensif.
Certainement, dit Marco Valdo M.I. et d'ailleurs, faisons-le à l'instant. J'en profiterai pour corriger quelques fautes de frappe. Donc, on disait, à la suie du commentaire italien des CCG, qui est ici le premier paragraphe :
« Je dédie cette chanson à Rosario Bentivegna, nom de guerre « Paolo » (Roma, 22 giugno 1922 – 2 avril 2012), étudiant en médecine et partisan membre du groupe d'action patriotique (GAP), qui le 23 mars 1944 dans la Via Rasella à Rome actionna une bombe de forte puissance qui tua 32 militaires allemands – des SS (42 au total, si on compte les blessés décédés suite aux blessures) et deux citadins romains de passage, Antonio Chiaretti et le jeune Pietro Zuccheretti... Comme on le sait – et je renvoie aux chansons comme Il massacro dei trecentoventi (Le Fosse Ardeatine), Le Fosse Ardeatine e Roma Occupata – les représailles allemandes furent immédiates et féroces : plus de dix Italiens pour un Allemand.
Oh, dit Lucien Lane, Rosario Bentivegna vient de mourir... Je me souviens de lui quand il faisait de la résistance dans les campagnes et poursuivait la lutte contre les nazis, encore après cet attentat de la Via Rasella. Je me souviens aussi que tu as traduit son livre « ACHTUNG BANDITEN ! », c'était ainsi que la propagande des nazis appelait les résistants.
En effet, j'ai traduit son livre et j'ai même publié sa traduction – du moins de longs extraits sur le blog que j'ai interrompu en 2008. Mais on peut voir l'histoire de l'attentat dans les 4 épisodes Achtung Banditen 20, 21, 22 et 23. En commençant par le dernier, par exemple. L'ensemble comporte près de 40 épisodes... Mais attention, il s'y mêle, un autre « Achtung Banditen ! », celui qui raconte l'histoire de Marco Camenisch.
Donc, Marco Valdo M.I. mon ami, tu as ainsi répondu à l'injonction de la chanson : « Viens le jour, faites honneur / Racontez-la cette histoire »... Tu l'as racontée cette histoire.
Cela dit, Lucien l'âne mon ami, il paraît qu'en Italie, certains révisionnistes voudraient encore faire peser sur les résistants la folle tuerie de représailles que les nazis et les fascistes ont perpétrée le lendemain-même ; ce qui au passage, disqualifie la légende de l'affiche dont l'ennemi aurait peuplé Rome pour annoncer son geste et demander aux Résistants de se rendre sous peine de représailles sur d'autres gens…
Oh, dit Lucien l'âne, c'est une telle énormité, que j'en reste tout pantois. Et de surcroît, cette affiche, même si elle avait existé, resterait un sordide prétexte destiné à justifier des assassinats massifs. Quand on fait la guerre à des gens, il faut quand même s'attendre à ce qu'ils se défendent et d'autre part, il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils cèdent aux chantages.
Faire un attentat contre l'occupant et se rendre ensuite aurait été un acte de grande stupidité. Ce n'étaient quand même pas les résistants qui occupaient Rome ; ce n'étaient pas les résistants qui avaient répandu la guerre partout. Et puis, il n'y a pas de discussion possible : faire sauter un régiment de SS était un acte nécessaire... et nécessaire n'importe où en Europe. Il le serait encore. Sauf à accepter leur présence, sauf à s'incliner face au nazisme... Qu'ensuite les nazis se soient comportés comme des nazis, il n'y a pas lieu de s'étonner... À ce sujet, ils ont invoqué des représailles, le droit de représailles... Il faut être d'une parfaite mauvaise foi pour oser invoquer l'idée ou le droit de représailles… D'ailleurs qu'y a-t-il de plus abject que des représailles ? Je rappelle que cela consiste à prendre des gens sans défense et à les massacrer sous le prétexte de punir d'autres. Ça n'a évidemment aucun sens. Ce massacre de plus de trois cents personnes civiles par les nazis ne fut jamais qu'un massacre de plus parmi tant d'autres ; une opération régulière, la routine en quelque sorte. Je rappelle, à toutes fins utiles, que le compteur des assassinats engendrés par la folie des nazis et des fascistes a dépassé les quarante millions de victimes... ce qu'on ne saurait oublier...
Et vouloir imputer les victimes de leurs exactions à ceux qui ont eu le courage de leur résister (comme l'ont prétendu les nazis et tous ceux qui les suivent dans cette argumentation) est une singulière révision de l'histoire, une perversion de l'esprit, une immense connerie et une dérisoire méchanceté.
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane. »
Chanson italienne – Roma Occupata – Giacomo Lariccia – 2011
Texte et musique : Giacomo Lariccia
Album: Colpo di sole
On se trouve plongé dans l'immense et déchirante douleur de Rome occupée, dans laquelle la voix de Giacomo se fait souffrante pour chanter la capture et les derniers instants de vie de Renzo Giorgini, un industriel romain et vaillant antifasciste, qui en mars 1944 finit fusillé avec autres 334 personnes aux Fosses Ardeatines.
À remarquer la présence essentielle du violoncelle d'Anja Naucler
On devrait reprendre ici les propos que nous avions échangés en introduction à la version française de la chanson « Via Rasella », dit Lucien l'âne un peu pensif.
Certainement, dit Marco Valdo M.I. et d'ailleurs, faisons-le à l'instant. J'en profiterai pour corriger quelques fautes de frappe. Donc, on disait, à la suie du commentaire italien des CCG, qui est ici le premier paragraphe :
« Je dédie cette chanson à Rosario Bentivegna, nom de guerre « Paolo » (Roma, 22 giugno 1922 – 2 avril 2012), étudiant en médecine et partisan membre du groupe d'action patriotique (GAP), qui le 23 mars 1944 dans la Via Rasella à Rome actionna une bombe de forte puissance qui tua 32 militaires allemands – des SS (42 au total, si on compte les blessés décédés suite aux blessures) et deux citadins romains de passage, Antonio Chiaretti et le jeune Pietro Zuccheretti... Comme on le sait – et je renvoie aux chansons comme Il massacro dei trecentoventi (Le Fosse Ardeatine), Le Fosse Ardeatine e Roma Occupata – les représailles allemandes furent immédiates et féroces : plus de dix Italiens pour un Allemand.
Oh, dit Lucien Lane, Rosario Bentivegna vient de mourir... Je me souviens de lui quand il faisait de la résistance dans les campagnes et poursuivait la lutte contre les nazis, encore après cet attentat de la Via Rasella. Je me souviens aussi que tu as traduit son livre « ACHTUNG BANDITEN ! », c'était ainsi que la propagande des nazis appelait les résistants.
En effet, j'ai traduit son livre et j'ai même publié sa traduction – du moins de longs extraits sur le blog que j'ai interrompu en 2008. Mais on peut voir l'histoire de l'attentat dans les 4 épisodes Achtung Banditen 20, 21, 22 et 23. En commençant par le dernier, par exemple. L'ensemble comporte près de 40 épisodes... Mais attention, il s'y mêle, un autre « Achtung Banditen ! », celui qui raconte l'histoire de Marco Camenisch.
Donc, Marco Valdo M.I. mon ami, tu as ainsi répondu à l'injonction de la chanson : « Viens le jour, faites honneur / Racontez-la cette histoire »... Tu l'as racontée cette histoire.
Cela dit, Lucien l'âne mon ami, il paraît qu'en Italie, certains révisionnistes voudraient encore faire peser sur les résistants la folle tuerie de représailles que les nazis et les fascistes ont perpétrée le lendemain-même ; ce qui au passage, disqualifie la légende de l'affiche dont l'ennemi aurait peuplé Rome pour annoncer son geste et demander aux Résistants de se rendre sous peine de représailles sur d'autres gens…
Oh, dit Lucien l'âne, c'est une telle énormité, que j'en reste tout pantois. Et de surcroît, cette affiche, même si elle avait existé, resterait un sordide prétexte destiné à justifier des assassinats massifs. Quand on fait la guerre à des gens, il faut quand même s'attendre à ce qu'ils se défendent et d'autre part, il ne faut pas s'attendre à ce qu'ils cèdent aux chantages.
Faire un attentat contre l'occupant et se rendre ensuite aurait été un acte de grande stupidité. Ce n'étaient quand même pas les résistants qui occupaient Rome ; ce n'étaient pas les résistants qui avaient répandu la guerre partout. Et puis, il n'y a pas de discussion possible : faire sauter un régiment de SS était un acte nécessaire... et nécessaire n'importe où en Europe. Il le serait encore. Sauf à accepter leur présence, sauf à s'incliner face au nazisme... Qu'ensuite les nazis se soient comportés comme des nazis, il n'y a pas lieu de s'étonner... À ce sujet, ils ont invoqué des représailles, le droit de représailles... Il faut être d'une parfaite mauvaise foi pour oser invoquer l'idée ou le droit de représailles… D'ailleurs qu'y a-t-il de plus abject que des représailles ? Je rappelle que cela consiste à prendre des gens sans défense et à les massacrer sous le prétexte de punir d'autres. Ça n'a évidemment aucun sens. Ce massacre de plus de trois cents personnes civiles par les nazis ne fut jamais qu'un massacre de plus parmi tant d'autres ; une opération régulière, la routine en quelque sorte. Je rappelle, à toutes fins utiles, que le compteur des assassinats engendrés par la folie des nazis et des fascistes a dépassé les quarante millions de victimes... ce qu'on ne saurait oublier...
Et vouloir imputer les victimes de leurs exactions à ceux qui ont eu le courage de leur résister (comme l'ont prétendu les nazis et tous ceux qui les suivent dans cette argumentation) est une singulière révision de l'histoire, une perversion de l'esprit, une immense connerie et une dérisoire méchanceté.
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane. »
ROME OCCUPÉE
Rome occupée, Rome abandonnée
Aux mains des Allemands de Kappler
Qui préparent leur retraite
Rome ville ouverte, Rome qui cache
Rome où les familles juives sont cachées
Face au risque d'une mort sûre
À Libetta, vinrent te chercher les soldats
Et devant ta fille, vite ils t'ont emmené ;
Vinrent quatre uniformes et le traître
Pour te reconnaître les accompagna .
Rome occupée, même le roi s'est enfui
Rome abandonnée, le pape est resté
On a dit qu'on avait placardé des avis :
Qui disaient : Pour chacun de nos soldats tué
Nous prendrons dix de vos frères
Tu étais un de ces dix comme tu l'as découvert.
Dans les cellules de via Tasso, comme tu as souffert
Ils ne te laissèrent pas le temps de te vêtir.
Avec ton tablier et ta casquette, ils te forcèrent à sortir.
Le 23 mars, une action partisane
Tuait des soldats SS via Rasella
Ils eurent une réaction inhumaine
À l'horreur et au total, on ajouta
Erreur de calcul, cinq personnes
Quelqu'un peut-être se trompa.
L'après-midi suivant Nicola vit arriver
Des camions allemands remplis de prisonniers
À exécuter
Déchargés dans le noir dans les carrières abandonnées
Couverts de terre et de corps d'autres condamnés
Le 4 juin, Rome est libérée
Les Américains sont arrivés en retard
Le printemps est commencé
On enterre les morts dans le noir
On identifie
Ce qu'on retrouve est rendu aux familles
On se remet des bombardements
C'est la fin du cauchemar
On hurle dans la capitale
C'est le début d'une nouvelle vie
Qui n'a pas encore connu le mal
À Libetta, vinrent te chercher les soldats
Et devant ta fille, vite ils t'ont emmené.
Ils vinrent te chercher, ta fin était tracée :
Aux Fosses Ardéatines, elle te mena.
Rome occupée, Rome abandonnée
Aux mains des Allemands de Kappler
Qui préparent leur retraite
Rome ville ouverte, Rome qui cache
Rome où les familles juives sont cachées
Face au risque d'une mort sûre
À Libetta, vinrent te chercher les soldats
Et devant ta fille, vite ils t'ont emmené ;
Vinrent quatre uniformes et le traître
Pour te reconnaître les accompagna .
Rome occupée, même le roi s'est enfui
Rome abandonnée, le pape est resté
On a dit qu'on avait placardé des avis :
Qui disaient : Pour chacun de nos soldats tué
Nous prendrons dix de vos frères
Tu étais un de ces dix comme tu l'as découvert.
Dans les cellules de via Tasso, comme tu as souffert
Ils ne te laissèrent pas le temps de te vêtir.
Avec ton tablier et ta casquette, ils te forcèrent à sortir.
Le 23 mars, une action partisane
Tuait des soldats SS via Rasella
Ils eurent une réaction inhumaine
À l'horreur et au total, on ajouta
Erreur de calcul, cinq personnes
Quelqu'un peut-être se trompa.
L'après-midi suivant Nicola vit arriver
Des camions allemands remplis de prisonniers
À exécuter
Déchargés dans le noir dans les carrières abandonnées
Couverts de terre et de corps d'autres condamnés
Le 4 juin, Rome est libérée
Les Américains sont arrivés en retard
Le printemps est commencé
On enterre les morts dans le noir
On identifie
Ce qu'on retrouve est rendu aux familles
On se remet des bombardements
C'est la fin du cauchemar
On hurle dans la capitale
C'est le début d'une nouvelle vie
Qui n'a pas encore connu le mal
À Libetta, vinrent te chercher les soldats
Et devant ta fille, vite ils t'ont emmené.
Ils vinrent te chercher, ta fin était tracée :
Aux Fosses Ardéatines, elle te mena.
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2015/1/31 - 21:40
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Testo e Musica di Giacomo Lariccia
Album: Colpo di sole
Ci si trova immersi nel dolore immenso e straziante di Roma occupata, in cui la voce di Giacomo si fa sofferta nel cantare la cattura e gli ultimi istanti di vita di Renzo Giorgini, un industriale romano e strenuo antifascista, che nel marzo del 1944 finì fucilato insieme con altre 334 persone alle Fosse Ardeatine.
Da rilevare la presenza essenziale del violoncello di Anja Naucler