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Sotto la neve il pane

Andrea Sigona
Langue: italien


Andrea Sigona

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[2009]

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sigona santi press
C’era una volta a cavallo del cielo
Un orizzonte da toccare con mano
Cieli di stelle che risplendevano
C’erano solchi e campi di grano

C’era una volta non troppo lontano
Un desiderio un pensiero comune
E una gran luce da poter condividere
Con i nostri sogni da tirare nel fiume
Ma poi venne l’inverno che ci gelò il cuore
E scese la guerra a sbiadire le cose
vennero in molti a bussare alle porte
Non portavano pace ma croci di morte

Vennero anni di fame e miseria
Vennero giorni di pianto e galera
La primavera negli occhi era ancora lontana
Ancora nascosta nell’ombra la realtà partigiana

C’era una volta un riparo dal vento
Una tenda sul ciglio del cuore sotto il firmamento
C’era il coraggio di non volere soccombere
c’era la voglia di cambiare e risorgere
E fu proprio quel gelo che ci rese più ronbusti e piu ‘ forto
Per noi che dalla fine del mondo siam scesi dai monti

Perche è dai ghetti e dai monti che si coltiva la fame
Perché come si dice..sotto la neve il pane!

envoyé par adriana - 17/12/2011 - 11:03



Langue: français

Version française – LE PAIN SOUS LA NEIGE – Marco Valdo M.I. – 2011
Chanson italienne – Sotto la neve il pane – Andrea Sigona – 2009
LE PAIN SOUS LA NEIGE

Il était une fois à cheval dans le ciel
Un horizon à toucher de la main
Des cieux d'étoiles qui resplendissaient
Il y avait des sillons et des champs de blé.

Il était une fois y a pas trop longtemps
Une pensée un désir communs
Et une grande lumière à pouvoir partager
Avec nos rêves à tirer dans le fleuve
Mais ensuite, vînt l'hiver qui nous gela le cœur
Et tomba la guerre qui décolora les choses
Ils vinrent en nombre frapper aux portes.
Ils ne portaient pas la paix, mais des croix de mort.

Vinrent des années de faim et de misère
Vinrent des jours de pleurs et de galère
Le printemps dans les yeux était encore lointain
La réalité partisane était encore dans l'ombre.

Il était une fois un abri dans le vent
Une tente au bord du cœur sous le firmament
C'était le courage de ne pas vouloir succomber
Il y avait la volonté de changer et de renaître
Et ce fut justement ce gel qui nous rendit plus robustes et plus forts
Nous qui à la fin du monde, sommes descendus des montagnes.

Car c'est dans les ghettos et les montagnes que se cultive la faim
Car comme il est dit : « Sous la neige, le pain ! »

envoyé par Marco Valdo M.I. - 18/12/2011 - 20:58




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