La liberté, c’est toute l’existence,
Mais les humains ont créé les prisons,
Les règlements, les lois, les convenances,
Les ateliers, les bureaux, les maisons.
Ai-je raison ?
Alors disons :
Mon vieux copain, la vie est belle,
Quand on connaît la liberté ;
N’attendons plus partons vers elle,
L’air pur est bon pour la santé.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Pourquoi faut-il se compliquer la vie ?
Pour de l’argent, se faire des cheveux ?
Alors qu’on peut vivre à sa fantaisie ;
Quand on est libre on fait tout ce qu’on veut,
On est heureux,
Selon ses vœux !
Mon vieux copain, la vie est douce ;
Vivons ce que vivent les fleurs ;
Ne pas en foutre une secousse,
C’est là le secret du bonheur.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Il ne faut pas songer au mariage,
Quand on est fait pour courir les chemins ;
En attendant d’être assagi par l’âge,
Contentons-nous d’amours sans lendemain.
C’est le destin,
Mon vieux copain !
Mon vieux copain, la Terre est ronde,
Les femmes vont de tout côté.
Quand on sera au bout du monde,
Il sera temps de s’arrêter.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Mais les humains ont créé les prisons,
Les règlements, les lois, les convenances,
Les ateliers, les bureaux, les maisons.
Ai-je raison ?
Alors disons :
Mon vieux copain, la vie est belle,
Quand on connaît la liberté ;
N’attendons plus partons vers elle,
L’air pur est bon pour la santé.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Pourquoi faut-il se compliquer la vie ?
Pour de l’argent, se faire des cheveux ?
Alors qu’on peut vivre à sa fantaisie ;
Quand on est libre on fait tout ce qu’on veut,
On est heureux,
Selon ses vœux !
Mon vieux copain, la vie est douce ;
Vivons ce que vivent les fleurs ;
Ne pas en foutre une secousse,
C’est là le secret du bonheur.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Il ne faut pas songer au mariage,
Quand on est fait pour courir les chemins ;
En attendant d’être assagi par l’âge,
Contentons-nous d’amours sans lendemain.
C’est le destin,
Mon vieux copain !
Mon vieux copain, la Terre est ronde,
Les femmes vont de tout côté.
Quand on sera au bout du monde,
Il sera temps de s’arrêter.
Partout, si l’on en croit l’histoire,
Partout on peut rire et chanter,
Partout on peut aimer et boire.
A nous, à nous la liberté !
A nous, à nous la liberté !
Contributed by Bartleby - 2011/6/22 - 09:43
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Dalla colonna sonora del film di René Clair “À nous la liberté”
Non ne sono sicuro, ma il testo dovrebbe essere dello stesso René Clair.
La musica è di Georges Auric (1899-1983), compositore francese.
Un film cui Charlie Chaplin fu certamente debitore per la realizzazione del suo “Modern Times” del 1936, così come René Clair fu in qualche modo debitore al Fritz Lang di “Metropolis” (1927)
“Due amici detenuti, Émile (Henri Marchand) e Louis (Raymond Cordy), cercano di evadere. Louis ci riesce grazie a Émile, che crea un diversivo e svia l'attenzione degli inseguitori. Fuori, Louis trova un lavoro e diventa commercianti di dischi per i fonografi. Mette su una piccola azienda. Il commercio prospera: con il tempo, la sua impresa diventa sempre più grande e importante. Émile, uscito di galera, senza un lavoro, disoccupato, vagabonda per strada, prende il sole... Un giorno, vede la nipote del contabile dell'azienda di Luis e se ne innamora. La segue fino alla fabbrica dove, suo malgrado, viene assunto. I due vecchi amici si ritrovano uno davanti all'altro. Il lavoro in fabbrica è sempre più disumano, privilegiando l'automatismo: gli uomini devono comportarsi come macchine. Louis crede che il vecchio amico lo ricatti, poi scopre che il ricattatore è un altro malavitoso. Decide di regalare la fabbrica ai suoi operai e se ne va a fare il vagabondo insieme al vecchio amico.” (it.wikipedia)