L’uomo nero fa, lui fa paura ai bimbi di ogni civiltà.
Poi - per carità - si cresce e si capisce che è una favola.
Ma qualcuno c’è che crede ancora agli orchi e, per non piangere,
dice «Andate via! Oppure giù in prigione! Questa è casa mia!».
Ma se non vi fa, lo scuro, sentire al sicuro abbiate la,
la sincerità di dirgli «Sei diverso, restatene là!».
Ditemi di sì: si può bussare ancora? Ditemi di sì! Si può parlare ancora
con chi dice ho
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
E poi, comunque sia, la legge frutto della vostra fantasia
vista da quaggiù somiglia tanto, troppo alla xenofobia.
Ditemi di sì: si può bussare ancora? Ditemi di sì!
Si può parlare ancora con chi dice ho
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
Fame. Fame. Fame. Fame....
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
Poi - per carità - si cresce e si capisce che è una favola.
Ma qualcuno c’è che crede ancora agli orchi e, per non piangere,
dice «Andate via! Oppure giù in prigione! Questa è casa mia!».
Ma se non vi fa, lo scuro, sentire al sicuro abbiate la,
la sincerità di dirgli «Sei diverso, restatene là!».
Ditemi di sì: si può bussare ancora? Ditemi di sì! Si può parlare ancora
con chi dice ho
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
E poi, comunque sia, la legge frutto della vostra fantasia
vista da quaggiù somiglia tanto, troppo alla xenofobia.
Ditemi di sì: si può bussare ancora? Ditemi di sì!
Si può parlare ancora con chi dice ho
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
Fame. Fame. Fame. Fame....
fame? Gialli e neri, e gli orchi, e poi le streghe.
Fame che i colori non li vede.
Fame che ti morde fino a che ti uccide.
Fame. Ditemi che almeno per la fame
spegneremo tutte le sirene.
Ditemi che era uno scherzo fatto bene.
inviata da Donquijote82 - 22/9/2010 - 11:06
Lingua: Francese
Version française – FAIM – Marco Valdo M.I. – 2010
Chanson italienne – Fame – Lineamaginot – 2010
Chanson italienne – Fame – Lineamaginot – 2010
FAIM
L'homme noir fait peur aux enfants de toutes les civilisations
Puis – par charité – on grandit et on comprend que c'est une fable
Mais quelqu'un croit encore maintenant aux orques et pour ne pas pleurer
Dit : « Va-t-en ! Ou alors en prison ! C'est chez moi ! »
Mais si l'obscur ne te va pas, aie
La sincérité de lui dire : « Tu es différent, reste-là !».
Dites-moi si on peut encore toquer ? Dites-moi: si on peut encore parler
Avec qui dit « J'ai faim » ?
Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
Et quoiqu'il en soit, la loi fruit de votre imagination
Vue de là-haut ressemble tant, trop à la xénophobie.
Dites-moi si on peut encore toquer ? Dites-moi: si on peut encore parler
Avec qui dit « J'ai faim » ?
Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
Faim. Faim. Faim. Faim.
Faim ? Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
L'homme noir fait peur aux enfants de toutes les civilisations
Puis – par charité – on grandit et on comprend que c'est une fable
Mais quelqu'un croit encore maintenant aux orques et pour ne pas pleurer
Dit : « Va-t-en ! Ou alors en prison ! C'est chez moi ! »
Mais si l'obscur ne te va pas, aie
La sincérité de lui dire : « Tu es différent, reste-là !».
Dites-moi si on peut encore toquer ? Dites-moi: si on peut encore parler
Avec qui dit « J'ai faim » ?
Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
Et quoiqu'il en soit, la loi fruit de votre imagination
Vue de là-haut ressemble tant, trop à la xénophobie.
Dites-moi si on peut encore toquer ? Dites-moi: si on peut encore parler
Avec qui dit « J'ai faim » ?
Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
Faim. Faim. Faim. Faim.
Faim ? Jaunes et noirs, et les orques, et puis les sorcières
Faim qui ne voit pas les couleurs.
Faim qui te mord jusqu'à ce qu'elle te tue
Faim. Dites-moi qu'au moins pour la faim
Nous éteindrons toutes les sirènes
Dites-moi que c'était une farce bien réussie.
inviata da Marco Valdo M.I. - 5/10/2010 - 20:28
×
Ho paura del buio