Les enfants du silence, ceux qu’on accuse dès la naissance
Les enfants de l’oubli, ceux qu’on délaisse après avoir mis en vie
Et les enfants, tous les enfants du monde, victimes des hécatombes
Et les enfants, tous les enfants du monde, orphelins par la faute des bombes
Rêvent d’un nouveau monde
Hôpitaux-prisons, enfants en cage comme des lions
Où alités toute la journée, étroite, étroite, étroite pensée
Dans leur p’tite tête, pensées secrètes
Quel sera leur avenir à ces enfants qu’on empêche de grandir
Les enfants du silence, ceux qu’on accuse dès la naissance
Les enfants de l’oubli, ceux qu’on délaisse que rien ne justifie
Et puis nous, que faisons-nous pour eux
Et puis nous, ouvrons un peu nos yeux.
Les enfants de l’oubli, ceux qu’on délaisse après avoir mis en vie
Et les enfants, tous les enfants du monde, victimes des hécatombes
Et les enfants, tous les enfants du monde, orphelins par la faute des bombes
Rêvent d’un nouveau monde
Hôpitaux-prisons, enfants en cage comme des lions
Où alités toute la journée, étroite, étroite, étroite pensée
Dans leur p’tite tête, pensées secrètes
Quel sera leur avenir à ces enfants qu’on empêche de grandir
Les enfants du silence, ceux qu’on accuse dès la naissance
Les enfants de l’oubli, ceux qu’on délaisse que rien ne justifie
Et puis nous, que faisons-nous pour eux
Et puis nous, ouvrons un peu nos yeux.
envoyé par adriana - 1/9/2005 - 17:28
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