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Quarant'anni

Modena City Ramblers
Lingua: Italiano


Modena City Ramblers

Lista delle versioni e commenti


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(Autori Vari / Different Authors / Différents Auteurs)
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(Leoncarlo Settimelli)
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(Gianni Rodari)


Quarant'anni - L'Italia dei cattivi

da "Riportando tutto a casa" (1994)
riportando tutto a casa

Craxi e Andreotti


Dedicata alla "prima" Repubblica. Purtroppo i "quarant'anni" sembrano non finire mai, neanche nella "seconda".
Questo testo suscitò molte polemiche in alcuni Centri Sociali dove si sosteneva che di stragi rosse non ne sono mai avvenute. Possiamo anche condividere, ma "accanirsi" su un vocabolo di un testo ci è sembrato eccessivo. Agli storici l'ardua sentenza. Il riferimento è sicuramente alle Brigate Rosse che, anche se non hanno mai colpito nel modo più vile, hanno lottato, per ragioni forse allora anche condivisibili, usando però il metodo più sbagliato e vigliacco.

"Campionamento" musicale dello strumentale tra i cantati: "Mo Chuachag Laghach", tradizionale scozzese nell'interpretazione di Silly Wizard.
(da La Grande Famiglia)

A forza di suonare rebel songs, siano irlandesi, della resistenza o degli anni '70 in Italia, si finisce per guardare al regime che ci si ritrova con insofferenza. Quello italiano degli ultimi "quarant'anni", poi, è particolarmente arrogante, stupido e crudele.

Dedicato ad una Prima Repubblica che cade a pezzi, sperando in una seconda un po' migliore.
(dalle note di copertina di Riportando tutto a casa)
Ho quarant'anni qualche acciacco troppe guerre sulle spalle
Troppo schifo per poter dimenticare
Ho vissuto il terrorismo stragi rosse stragi nere
Aeroplani esplosi in volo e le bombe sopra i treni

Ho visto gladiatori sorridere in diretta
i pestaggi dei nazisti e della nuova destra
Ho visto bombe di stato scoppiare nelle piazze
E anarchici distratti cadere giù dalle finestre

Ma ho un armadio pieno d'oro di tangenti e di mazzette
Di armi e munizioni di scheletri e di schifezze
Ho una casa piena d'odio, di correnti e di fazioni
Di politici corrotti, i miei amici son pancioni,
Puttanieri, faccendieri e tragattini
Sono gobbi e son mafiosi massoni piduisti e celerini.

Ho quarant'anni spesi male fra tangenti e corruzioni
Ho comprato ministri faccendieri e giornalisti
Ho venduto il mio di dietro ad un amico americano
E adesso cerco un'anima anche di seconda mano

Ma ho un armadio pieno d'oro di tangenti e di mazzette
Di armi e munizioni di scheletri e di schifezze
Ho una casa piena d'odio, di correnti e di fazioni
Di politici corrotti, i miei amici son pancioni,
Puttanieri, faccendieri e tragattini
Sono gobbi e son mafiosi massoni piduisti e celerini.

Ho quarant'anni ed un passato non proprio edificante
Ho massacrato Borsellino e tutti gli altri
Ho protetto trafficanti e figli di puttana
E ho comprato voti a colpi di lupara

Ma ho scoperto l'altro giorno guardandomi allo specchio
Di essere ridotta ad uno straccio
Questo male irreversibile mi ha tutta divorata
È un male da garofano e da scudo crociato

Ma ho un armadio pieno d'oro di tangenti e di mazzette
Di armi e munizioni di scheletri e di schifezze
Ho una casa piena d'odio, di correnti e di fazioni
Di politici corrotti, i miei amici son pancioni,
Puttanieri, faccendieri e tragattini
Sono gobbi e son mafiosi massoni piduisti e celerini.

31/7/2005 - 21:31




Lingua: Francese

Version française – Quarante ans – Marco Valdo M.I. – 2008
Chanson italienne – Quarant' anni – Modena City Ramblers – 1994

C'est une chanson consacrée aux quarante ans de la République italienne.
En fait, elle raconte l'histoire d'une femme de quarante ans qui se retourne sur son passé et sur toutes ses aventures, sur les gens qu'elle a fréquentés, sur la façon dont elle a mené sa vie et le bilan n'est pas des plus reluisants. Quant à ses souvenirs, ils valent ce qu'ils valent, ce sont ceux d'une femme à la mémoire un peu fantasque, un peu embrumée, peut-être s'est-elle trop regardée à la télévision ...
Telle est la chanson de la république parue sous les traits d'une femme de quarante ans dont la vie ne fut pas rose, ni la vie que ceux qui l'avaient portée au jour au travers de la résistance, de la mort de dizaines de milliers d'entre eux... auraient voulu qu'elle ait...
En fait, ses « bons amis » l'avaient déjà déviée du droit chemin en faisant tomber le gouvernement Parri en 1945... et ses mauvaises fréquentations ultérieures n'ont rien arrangé... La phrase attribuée à Antigone (trois siècles avant JC) lui va comme un gant : «Protégez-moi de mes amis, mes ennemis, je m'en charge... » et de fait, les ennemis qui l'avaient envahie, elle avait su s'en débarrasser; quant aux autres, on l'en empêcha... et elle les retrouva dans ses connaissances, puis comme les amis des amis...
QUARANTE ANS

J'ai quarante ans, quelques infirmités, trop de guerres sur le dos
Trop de dégoût pour pouvoir oublier.
J'ai vécu le terrorisme, des massacres rouges, des carnages noirs
Des avions exploser en vol et des bombes dans les trains.

J'ai vu des gladiateurs sourire en direct,
les passages à tabac par les nazis et la nouvelle droite.
J'ai vu des bombes d'État exploser sur les places
Et des anarchistes distraits tomber par les fenêtres(1)

Mais j'ai une armoire remplie d'or, de pots de vin et de billets
D'armes et de munitions, de squelettes et de saloperies.
J'ai une maison remplie de haine, de courants et de factions.
Politiciens corrompus, mes amis sont des ventrus,
des maquereaux, des affairistes et des intrigants.
Ils sont voûtés et ce sont des mafieux, de la P2 et des flics.

J'ai quarante ans mal passés entre pots de vin et corruption.
J'ai acheté des ministres, des affairistes et des journalistes.
J'ai vendu mon arrière à un ami américain.
Et à présent, je cherche une âme, même de seconde main.

Mais j'ai une armoire remplie d'or, de pots de vin et de billets
D'armes et de munitions, de squelettes et de saloperies.
J'ai une maison remplie de haine, de courants et de factions,
Des politiciens corrompus, mes amis sont des ventrus,
des maquereaux, des affairistes et des intrigants.
Ils sont voûtés et ce sont des mafieux, de la P2 et des flics.

J'ai quarante ans et un passé proprement édifiant
J'ai massacré Borsellino et tous les autres.
J'ai protégé des trafiquants et des fils de pute
Et j'ai acheté des votes à coups de lupara.

Mais j'ai découvert l'autre jour en me regardant dans mon miroir
Que j'étais réduite à une loque.
Un mal irréversible m'a complètement dévorée;
C'est un mal d'œillet et d'écu croisé (2)

Mais j'ai une armoire remplie d'or, de pots de vin et de billets
D'armes et de munitions, de squelettes et de saloperies.
J'ai une maison remplie de haine, de courants et de factions,
De politiciens corrompus, mes amis sont des ventrus,
des maquereaux, des affairistes et des intrigants.
Ils sont voûtés et ce sont des mafieux, de la P2 et des flics.
(1) La défenestration de Giuseppe Pinelli serait selon la police due à un malaise. Le jugement de d'Ambrosio fit date dans l'Histoire surtout pour l'explication donnée pour la cause de la mort de Giuseppe Pinelli : ni un suicide, ni un homicide mais un "malaise actif", un malaise qui aurait provoqué un bond involontaire de Giuseppe Pinelli par la fenêtre de la Préfecture.

(2) Un mal d'œillet et d'écu croisé : l'œillet était le symbole du PSI (celui de Bettino Craxi) et l'écu croisé, celui de la démocratie chrétienne.

inviata da Märco Valdo M.I. - 28/7/2008 - 14:36




Lingua: Francese

Traduzione francese da Lyrics Translate
QUARANTE ANS

J'ai quarante ans quelques ennuis de santé trop de guerres sur les épaules
Trop de dégoût pour pouvoir oublier
J'ai vu le terrorisme les massacres rouges les massacres noirs
Les aéroplanes explosés en vol et les bombes sur les trains [1]

J'ai vu des gladiateurs sourire en direct
Les passages à tabac des nazis et de la "nouvelle droite"
J'ai vu des bombes d'état exploser dans les places [2]
Et des anarchistes distraits tomber par les fenêtres [3]

Mais j'ai une armoire pleine d'or, de pots-de-vin et de dessous de tables
D'armes et de munitions de squelettes et de saletés
J'ai une maison pleine de haine, de courants et de factions
De politiciens corrompus, mes amis sont des pansus [4],
Putassiers, intrigants et imposteurs
Ce sont des tordus et ce sont des mafieux, maçons, piduistes [5] et C.R.S. [6]!

J'ai quarante ans mal dépensés entre pots-de-vins et corruptions
J'ai acheté ministres, intrigants, et journalistes!
J'ai vendu mon cul à un ami américain
Et à présent je cherche une âme-même de seconde main.

Mais j'ai une armoire pleine d'or, de pots-de-vin et de dessous de tables
D'armes et de munitions de squelettes et de saletés
J'ai une maison pleine de haine, de courants et de factions
De politiciens corrompus, mes amis sont des pansus,
Putassiers, intrigants et imposteurs
Ce sont des tordus et ce sont des mafieux, maçons, piduistes et C.R.S.!

J'ai quarante ans et un passé pas proprement édifiant
J'ai massacré Borsellino et tous les autres [7]
J'ai protégé trafiquants et fils de putains
Et j'ai acheté des votes à coups de fusil à canon scié

Mais j'ai découvert l'autre jour en me regardant dans le miroir
Être réduite à une guenille
Ce mal irréversible m'a toute dévorée
C'est un mal d’œillet et d'écu croisé [8]

Mais j'ai une armoire pleine d'or, de pots-de-vin et de dessous de tables
D'armes et de munitions de squelettes et de saletés
J'ai une maison pleine de haine, de courants et de factions
De politiciens corrompus, mes amis sont des pansus,
Putassiers, intrigants et imposteurs
Ce sont des tordus et ce sont des mafieux, maçons, piduistes et C.R.S.!
[1] Attentats de la gare de Bologne, août 1980

[2] Allusion aux attentats de la Piazza Fontana, planifiés par l'extrême droite italienne, ayant fait 16 morts en décembre 1969

[3] Allusion à Guiseppe Pinelli, cheminot italien, syndiqué, arrêté à tord quelques jours suivant les attentats de la Piazza Fontana et mort suite à une défenestration du quatrième étage du commissariat de police, prétendument un suicide ou un "malaise actif"

[4] "Pancieri", littéralement "gros ventre", terme désignant la grande bourgeoisie

[5] Membres de la P2 (Propaganda Due), organisation mafieuse dérivée d'une loge maçonnique

[6] "Celerini", agents de la "celere" soit "brigade d'intervention rapide", équivalent des CRS français

[7] Paolo Borsellino, magistrat impliqué dans la lutte contre la mafia, assassiné dans un l'explosion d'une voiture piégée en 1992. "Tous les autres" peut désigner également d'autres personnes ayant lutté contre la mafia et assassinés par elle : le juge Giovanni Falcone, l'officier de police Carlo Alberto Della Chiesa, le journaliste Peppino Impastato, l'inspecteur Boris Giuliano, le juge Cesare Terranova, le député Pio La Torre...

[8] L'oeillet rouge et l'écu de croisade sont des symboles du Parti Socialiste et de Parti chrétien-démocrate italien

9/3/2024 - 13:45




Lingua: Inglese

Versione inglese di Giulio98
FORTY YEARS

I'm forty, I have some aches, too many wars in my past
Things too bad to be forgotten
I experienced terrorism, red slaughters, black slaughters
Planes exploding in the air and bombs on trains

I saw gladiators smiling live
Nazis and the new right-wing beating people
I saw State bombs exploding in squares
And distracted anarchists falling down from windows [1]

But my wardrobe is full of gold, bribes and dirty money
Of weapons, ammunitions, of skeletons and crap
My house is full of hate, of currents and factions
Of corrupted politicians, my friends are fat,
whoremongers and criminals
They're hunchbacks and from the mafia
From the Masonry, from the P2 [2], and from the Police!

I spent forty years between bribes and corruption
I bought ministers, criminals and journalists
I sold my butt to an American friend
And now I'm looking for a soul, even a second-hand one.

But my wardrobe is full of gold, bribes and dirty money
Of weapons, ammunitions, of skeletons and crap
My house is full of hate, of currents and factions
Of corrupted politicians, my friends are fat,
whoremongers and criminals
They're hunchbacks and from the mafia
From the Masonry, from the P2, and from the Police!

I'm forty and my past isn't exactly glorious
I killed Borsellino [3] and all the other ones
I protected traffickers and sons of bitches
And I bought votes with a few rounds of shotgun.

But the other day, I discovered - watching me at the mirror -
That I am now a mess
This irreversible evil devoured all of me
It's an evil of carnation and crossed shield. [4]

But my wardrobe is full of gold, bribes and dirty money
Of weapons, ammunitions, of skeletons and crap
My house is full of hate, of currents and factions
Of corrupted politicians, my friends are fat,
whoremongers and criminals
They're hunchbacks and from the mafia
From the Masonry, from the P2, and from the Police!
[1] Reference to Giuseppe Pinelli, an anarchist who died falling from a window while being questioned.
[2] A famous Italian lodge.
[3] Paolo Borsellino, a judge who was killed by the mafia.
[4] Reference to the symbols of the Socialist Party (carnation) and of the Christian Democracy (crossed shield).

inviata da Giulio98 - 22/3/2013 - 16:23


DA ARCOIRIS TV: Piazza Alimonda 20 luglio 2007 - ore 17.27
"Non vogliamo fare silenzio...". Le parole di Haidi Giuliani in ricordo di tutte le vittime della violenza di stato.

Guarda il filmato.

Alla fine, uno spezzone di Cisco che canta questa canzone.

25/7/2007 - 00:39


Non credo abbia diritto a una sua pagina, e allora lo metto qui, che è un'utile appendice



Gentilie Amministratore Andrea Giuliotti,
io prendo la parola in questa assemblea per esprimerle una mia piccola opinione. Io abito, cioè la mia famiglia abita ed io con lei, in questo palazzo da più di 70 anni. L'immobile, come lei ben sa, dal'39 al '45 subì gravi ritrutturazioni piuttosto violente. Dopo la fuga del Presidente Proprietario con tutta la famiglia - famiglia che tra l'altro, mi ha detto la portinaia, si è rifatta viva e vorrebbe tornare qui e ritornare in possesso del solaio, comunque non è questo il punto dell'assemblea....

Beh, dopo quella fuga noi abbiamo fatto un regolamente interno che è stato esposte per le scale per un anno e lei è stato eletto Amministratore del Condominio per più di 50 anni. Certo, non è sempre stato lei, comunque è stato sempre qualcuno del suo giro, della sua corrente.

Ho dei dubbi e glieli espongo:

1) Le ricordo che noi al piano terra abbiamo un night piuttosto rumorso e pieno di malfattori che lei si era impegnato a sfrattare. Ora, non so se è vero quel che dice la portinaia che sostiene di averla vista baciare lingua in bocca il proprietario del Night. Son fatti suoi, la sua vita privata è sua. Quello che so è che lei non ha mai perorato la nostra causa.

- Secondo, mi scusi, quell'ascensore di quella vecchia marca DC9, quello che è saltato in aria con tutti dentro … sì lo so, che è stato per colpa di quella famiglia di libici del condominio di fronte che hanno sparato il petardo, ma … ma era giugno, non era capodanno!

- Terzo. Si ricorda quando ci ha espropriato le cantine per affittarle a quella ditta di export import, la Gladio S.p.A., che Lei sosteneva facessero armi giocattolo. Armi giocattolo un cazzo: il figlio della portinaia c'ha giocato e c'ha perso un occhio. Comunque: che fine hanno fatto questi simpatici imprenditori?

- Quattro. Sto prendendo confidenza. Alla luce dei fatti, io mi chiedo se lo sfortunato scoppio della caldaia nella filiale della Banca sotto casa non avesse a che fare con questa ditta.

- Cinque. Si ricorda quell'anno in agosto? Beh, io me lo ricordo. Io stavo andando alla stazione e per colpa di una valigia è saltato in aria l'appartamento dei Bologna, famiglia che a Lei è sempre stata sui coglioni.

- Sei. Si ricorda il contabile della banca, che lavorava anche nella sua parrocchia, che dopo aver litigato con tutti s'è impiccato alla ringhiera sui tubi innocenti neri dei frati di un ponte di un condominio inglese?

- Sette. Lei a un certo punto, mi scusi, perché no, si mise a fare dei favoritismi a certi condomini per quel club privé: P2. Come no. La dicitura dei pulsanti l'ha cambiata: erano all'ottavo piano e Lei l'ha messo al secondo. E lei ci andava!

- Otto. Io non posso dimenticare la fine che ha fatto il signor Aldo, che era più suo amico che mio. E' morto assiderato in macchina. Non c'era il riscaldamento in casa.

- Nove. Per non parlare del bar di fianco alla banca, che fa un caffè che sembra stricnina. Il bar Sindona, bravo. Quello lì.

- Dieci. Lasciamo perdere la ristrutturazione dell'ala sud del palazzo. Non è mai stato fatto niente.

- Undici. Il giornalaio che parlava male di Lei è sparito.

- Dodici. Recentemente, dal mio lavandino, viene su un terribile e considerevole olezzo di merda. E io volevo chiederLe: è il nuovo amministratore che ha nascosto i fondi neri in cantina, o è Lei che si sta cagando addosso?

No, io non sto dicendo che Lei è colpevole, no. Io sto dicendo, mi scusi Giuliotti, queste son cose che sono successe, Lei era sempre in amministrazione, allora i casi sono due: o Lei sa chi è stato, oppure porta sfiga. E non credo …

No, allora io non chiedo la galera, a me la galera non piace, per nessuno. Io son fatto così. Non manderei nessuno in galera. Facciamo come si faceva nell'antica Grecia: che uno a un certo punto prende e va via. Va via e non se ne parla più. Facciamo così, meglio: io ho un amico, si chiama Adriano, sta chiuso dentro, Lei va via, lui esce, facciamo zero a zero, pari e patta, e non se ne parla … non se ne parla … più.

DonQuijote82 - 23/9/2010 - 18:42


La Repubblica ha ormai settant'anni e non sembra messa molto meglio dei tempi di questa canzone. Pero' non capisco perché "quarant'anni" se la canzone e' del 1993/94 quando la Repubblica Italiana di anni ne aveva quasi cinquanta. Comunque siam sempre allo stesso punto tra massoni, puttanieri, cazzari e berlusconi.

Leonardo - 2/6/2016 - 15:57




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