Je vois les arbres défeuillés
Les plaines dévastées
Et les collines ravagées
Je les vois crever
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Je vois dans le ciel bleu
De grandes traînées blanches
Une lumière de jour qui flanche
Une sacrée nuit bleue
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Les couleurs du champignon de l'espace
Irisent les visages des passants qui passent
Et je vois ces amis se serrer la main
Et se dire « J'espère à demain ! »
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
J'entends les enfants pleurer
Je les vois malades, affamés
Esclaves, mutilés
Par millions, ils vont crever
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Les plaines dévastées
Et les collines ravagées
Je les vois crever
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Je vois dans le ciel bleu
De grandes traînées blanches
Une lumière de jour qui flanche
Une sacrée nuit bleue
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Les couleurs du champignon de l'espace
Irisent les visages des passants qui passent
Et je vois ces amis se serrer la main
Et se dire « J'espère à demain ! »
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
J'entends les enfants pleurer
Je les vois malades, affamés
Esclaves, mutilés
Par millions, ils vont crever
Et je pense en moi-même
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Contributed by Marco Valdo M.I. - 2010/1/1 - 12:47
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Version parodique française – What a Thunderful World ! Quel Monde Merveilleux ! Pouah! - Marco Valdo M.I. - 2010
Chanson étazunienne – What a wonderful world – Paroles et Musique: Bob Thiele, George David Weiss 1967
Interprètes : Louis Armstrong, Ray Charles et des tas d'autres
Avertissement :
« Ceci n'est pas une traduction. »
(référence à « Ceci n'est pas une pipe ! » René Magritte – étant donné l'amphibologie du mot « pipe » en français et d'autres langues, on doit s'interroger à propos de ce que le peintre avait derrière la tête en créant cette parodie picturale...).
C'est une parodie, comme celle des Punkreas.
C'est-à-dire – avis aux débiles du « copyright », une œuvre originale dans plus antique des traditions poétiques et il est donc interdit au nom de l'humanité et de la culture (si ce mot peut avoir un sens pour ceux qui ont la sale manie de tirer argent et profit de tout, même de la merde) d'en empêcher la diffusion, la reproduction, le partage, la copie, l'interprétation, la parodie dans quelque langue, dans quelque pays, dans quelque forme que ce soit – excepté toutefois dans un but de profit. Toute transgression à but de lucre sera sévèrement marquée par notre plus vive réprobation « in secula seculorum ».
What a Thunderful World !
Quel Monde Merveilleux ! Pouah !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane