The General's Fast Asleep / Le général dort debout
Autori Vari / Different Authors / Différents Auteurs
You won't see any big parade
There won't be any bugle playing
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep.
Soldiers broiled in a mighty row
They've been told they're to fight the foe
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep
The colonel's mad and the major's blue
The captain's sad and the sergeant too
Guess this war will a-have to keep
It's enough to make an army weep
Look oh look at the curly head
Time to take him away to bed
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep
It seems an awful shame
That his victory won't go down to fame
Sandman's here to dim the light
Little general, good night!
There won't be any bugle playing
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep.
Soldiers broiled in a mighty row
They've been told they're to fight the foe
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep
The colonel's mad and the major's blue
The captain's sad and the sergeant too
Guess this war will a-have to keep
It's enough to make an army weep
Look oh look at the curly head
Time to take him away to bed
Sad to say, no war today,
'cause the General's fast asleep
It seems an awful shame
That his victory won't go down to fame
Sandman's here to dim the light
Little general, good night!
envoyé par Riccardo Venturi - 20/5/2005 - 01:50
Langue: italien
Versione italiana del testo inglese / Italian version of the English lyrics / Version italienne des paroles anglaises / Englanninkielisten sanojen italiankielinen versio:
Riccardo Venturi, 19-10-2024 23:47
Riccardo Venturi, 19-10-2024 23:47
Il Generale ci ha la nanna
Non vedrete una gran parata,
Non sonerà nessuna trombetta,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il Generale ci ha la nanna.
Soldati accaldati in un parapiglia,
Gli han detto che devon combattere il nemico,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il Generale ci ha la nanna.
Il colonnello è arrabbiato e il maggiore è affranto,
Il capitano è triste e pure il sergente,
Questa guerra dovrà pur andare avanti,
Ce n’è abbastanza da far frignare un esercito.
Guardà un po’ quella testolina ricciuta,
E’ ora di portarlo a letto,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il generale ci ha la nanna.
Sembra proprio un tremendo peccato
Che questa vittoria non passi alla storia,
L’Omino della Sabbia arriva a spegner la luce,
Piccolo Generale, buona notte!
Non vedrete una gran parata,
Non sonerà nessuna trombetta,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il Generale ci ha la nanna.
Soldati accaldati in un parapiglia,
Gli han detto che devon combattere il nemico,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il Generale ci ha la nanna.
Il colonnello è arrabbiato e il maggiore è affranto,
Il capitano è triste e pure il sergente,
Questa guerra dovrà pur andare avanti,
Ce n’è abbastanza da far frignare un esercito.
Guardà un po’ quella testolina ricciuta,
E’ ora di portarlo a letto,
Triste a dirsi, oggi niente guerra
Perché il generale ci ha la nanna.
Sembra proprio un tremendo peccato
Che questa vittoria non passi alla storia,
L’Omino della Sabbia arriva a spegner la luce,
Piccolo Generale, buona notte!
Langue: français
Le général dort debout
Version française / French version / Versione francese / Ranskankielinen versio: Jean Féline [1936]
Ray Ventura : (1936)
Version française / French version / Versione francese / Ranskankielinen versio: Jean Féline [1936]
Ray Ventura : (1936)
Le général dort debout
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt au pas de héros
Car le général fait dodo.
Sur le plancher du salon
Sont rangés les soldats d'plomb :
Fantassins et artilleurs,
Les cavaliers, les sapeurs ;
Ils vont jouer leur destin
Pourtant aucun ordre ne vient.
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt au pas de héros
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit.
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
au pas de héros
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit.
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt au pas de héros
Car le général fait dodo.
Sur le plancher du salon
Sont rangés les soldats d'plomb :
Fantassins et artilleurs,
Les cavaliers, les sapeurs ;
Ils vont jouer leur destin
Pourtant aucun ordre ne vient.
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt au pas de héros
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit.
Ran, tan, plan, pas de grande parade
Fermez l'ban pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout.
Les soldats il est pourtant vrai
Qu'on avait dit qu'ils se battraient
On d'vait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieut'nant
D'transmett' ce commandement
Badoum badaboum rompez les rangs.
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
au pas de héros
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit.
envoyé par CCG/AWS Staff - 19/10/2024 - 18:55
Langue: français
Chanson française – Le Général Dort Debout – Ray Ventura – 1936
Paroles : Jean Féline
Alors voilà, mon ami Lucien l'âne. Voilà la chanson que je t'avais promise l'autre jour en te faisant connaître ma version « LE GÉNÉRAL », de la chanson allemande « DER GENERAL », chanson de Dieter Süverkrüp. J'espère que tu t'en souviens…
Évidemment et j'attendais avec une certaine impatience cette chanson d'enfance de Georges Brassens...
Ce « général qui dort debout » est une chanson de son enfance, mais elle est aussi présente tout à la fin de son existence comme en témoigne un enregistrement de 1980. Je te rappelle que Tonton Georges est mort jeune d'esprit et de corps… Né en 1921, il meurt en 1981, soit exactement 60 ans.
En effet, de nos jours, soixante ans n'est plus considéré comme un âge avancé. D'ailleurs, moi qui te parles… J'ai largement plusieurs dizaines de siècles, alors…
En parlant de l'âge de Tonton Georges, je ne voulais pas disserter sur le fait de savoir à partir de quel moment on est vieux ; de cela, tu peux débattre au marché ou à la télévision…
Quelle horreur ! Tu veux m'envoyer à la télévision ou supposes-tu que je passe mon temps devant l'étrange lucarne… Je te rappelle que je suis un âne et que les ânes ont bien d'autres choses à faire et à penser que de se laisser embobiner par des écrans hypnotiques.
Ho, Lucien l'âne mon ami, je voulais juste dire que cette histoire d'âges, c'était un sujet pour la télévision. Donc, si j'ai parlé de l'âge de Tonton Georges, c'était pour situer la chanson dans le temps. Quand Brassens l'entend les premières fois, ce doit être après 1936 et sans doute dans la version courte de Ray Ventura. Cela en fait une chanson juste avant la guerre 1939-45 et même contemporaine de l'intervention allemande et italienne en Espagne contre la République, de l'annexion de l'Autriche (Anschluss), des accords de Munich… Et ainsi, ce général qui dort debout en dit plus qu'il n'y paraît. Rappelle-toi Munich 1938 et le commentaire de Churchill à propos des accords passés par la France et l'Angleterre avec Hitler et Mussolini et publié dans le Times de l'époque : « Ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre ». Dès lors, tu comprendras comment et pourquoi cette chanson d'origine anglaise va traverser la Manche et devenir sous la plume de Jean Féline cet innocent « Général dort debout ». Que cette sorte de coïncidence – parallèle à celle de ce « Tout va très bien, Madame la Marquise » Tout va très bien, Madame la Marquise – résulte d'une volonté délibérée et comme politiquement consciente de l'auteur n'est ni certain, ni nécessaire. On dirait que la création de chansons (et plus généralement, de poésie ou même, de tout texte) charrie avec elle des sens en quelque sorte sortis d'un inconscient, un peu comme une eau sourd au milieu d'un champ, d'un bois, d'un pré, d'un talus, d'un chemin...
Je comprends bien cela et je pense que tu décris assez bien le phénomène.
Mais que raconte donc cette chanson ?
C'est l'histoire d'un petit garçon qui un soir, alors qu'il joue avec ses soldats de plomb, s'endort et met fin à la guerre qui se préparait. Dans la chanson, le général est un jeune enfant – disons de trois ou quatre ans et son armée est factice. Dans le réel…
Oui, je vois, c'est bien autre chose. Alors, écoutons la chanson…
Oh, juste un dernier mot... Je propose de reprendre en premier la version longue chantée par André Claveau, chanteur de charme du temps de ma grand-mère ; une version qui date des années Cinquante. Elle contient toutes les autres. J'y joins la version de Ray Ventura et suprême cadeau, la version de Georges Brassens qui se trouve dans l'ensemble des chansons de ses chansons d'enfance.
Et ça, c'est un vrai cadeau… Alors, allons-y et tissons, quant à nous, le linceul de ce vieux monde soldatesque, militariste, guerrier et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
Paroles : Jean Féline
Alors voilà, mon ami Lucien l'âne. Voilà la chanson que je t'avais promise l'autre jour en te faisant connaître ma version « LE GÉNÉRAL », de la chanson allemande « DER GENERAL », chanson de Dieter Süverkrüp. J'espère que tu t'en souviens…
Évidemment et j'attendais avec une certaine impatience cette chanson d'enfance de Georges Brassens...
Ce « général qui dort debout » est une chanson de son enfance, mais elle est aussi présente tout à la fin de son existence comme en témoigne un enregistrement de 1980. Je te rappelle que Tonton Georges est mort jeune d'esprit et de corps… Né en 1921, il meurt en 1981, soit exactement 60 ans.
En effet, de nos jours, soixante ans n'est plus considéré comme un âge avancé. D'ailleurs, moi qui te parles… J'ai largement plusieurs dizaines de siècles, alors…
En parlant de l'âge de Tonton Georges, je ne voulais pas disserter sur le fait de savoir à partir de quel moment on est vieux ; de cela, tu peux débattre au marché ou à la télévision…
Quelle horreur ! Tu veux m'envoyer à la télévision ou supposes-tu que je passe mon temps devant l'étrange lucarne… Je te rappelle que je suis un âne et que les ânes ont bien d'autres choses à faire et à penser que de se laisser embobiner par des écrans hypnotiques.
Ho, Lucien l'âne mon ami, je voulais juste dire que cette histoire d'âges, c'était un sujet pour la télévision. Donc, si j'ai parlé de l'âge de Tonton Georges, c'était pour situer la chanson dans le temps. Quand Brassens l'entend les premières fois, ce doit être après 1936 et sans doute dans la version courte de Ray Ventura. Cela en fait une chanson juste avant la guerre 1939-45 et même contemporaine de l'intervention allemande et italienne en Espagne contre la République, de l'annexion de l'Autriche (Anschluss), des accords de Munich… Et ainsi, ce général qui dort debout en dit plus qu'il n'y paraît. Rappelle-toi Munich 1938 et le commentaire de Churchill à propos des accords passés par la France et l'Angleterre avec Hitler et Mussolini et publié dans le Times de l'époque : « Ils devaient choisir entre le déshonneur et la guerre. Ils ont choisi le déshonneur, et ils auront la guerre ». Dès lors, tu comprendras comment et pourquoi cette chanson d'origine anglaise va traverser la Manche et devenir sous la plume de Jean Féline cet innocent « Général dort debout ». Que cette sorte de coïncidence – parallèle à celle de ce « Tout va très bien, Madame la Marquise » Tout va très bien, Madame la Marquise – résulte d'une volonté délibérée et comme politiquement consciente de l'auteur n'est ni certain, ni nécessaire. On dirait que la création de chansons (et plus généralement, de poésie ou même, de tout texte) charrie avec elle des sens en quelque sorte sortis d'un inconscient, un peu comme une eau sourd au milieu d'un champ, d'un bois, d'un pré, d'un talus, d'un chemin...
Je comprends bien cela et je pense que tu décris assez bien le phénomène.
Mais que raconte donc cette chanson ?
C'est l'histoire d'un petit garçon qui un soir, alors qu'il joue avec ses soldats de plomb, s'endort et met fin à la guerre qui se préparait. Dans la chanson, le général est un jeune enfant – disons de trois ou quatre ans et son armée est factice. Dans le réel…
Oui, je vois, c'est bien autre chose. Alors, écoutons la chanson…
Oh, juste un dernier mot... Je propose de reprendre en premier la version longue chantée par André Claveau, chanteur de charme du temps de ma grand-mère ; une version qui date des années Cinquante. Elle contient toutes les autres. J'y joins la version de Ray Ventura et suprême cadeau, la version de Georges Brassens qui se trouve dans l'ensemble des chansons de ses chansons d'enfance.
Et ça, c'est un vrai cadeau… Alors, allons-y et tissons, quant à nous, le linceul de ce vieux monde soldatesque, militariste, guerrier et cacochyme.
Heureusement !
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane.
LE GÉNÉRAL DORT DEBOUT
Sur le plancher du salon,
Sont rangés les soldats de plomb.
Fantassins et artilleurs,
Des cavaliers, des sapeurs
Vont jouer leur destin.
Pourtant, aucun ordre ne vient.
Rantanplan, pas de grande parade !
Fermez le ban, pas de mousquetade !
Tout le monde au garde-à-vous !
Mais le général dort debout.
Les soldats étaient pourtant prêts,
On avait dit qu'ils se battraient,
Mais il faut qu'ils soient dissous
Car le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents.
Du colonel au sous-lieutenant,
Ils transmettent ce commandement :
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez sa tête se pencher,
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt, pas de héros,
Car le général fait dodo.
Devant ce grand désarroi,
Tout va vite de guingois.
Quatre tanks sont renversés ;
Tous les avions sont écroulés ;
D'un geste du pied,
Leur chef les a tous balayés.
Rantanplan, pas de grande parade !
Fermez le ban, pas de mousquetade !
Tout le monde au garde-à-vous !
Mais le général dort debout.
Les soldats étaient pourtant prêts,
On avait dit qu'ils se battraient,
Mais il faut qu'ils soient dissous
Car le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents.
Du colonel au sous-lieutenant,
Ils transmettent ce commandement :
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez sa tête se pencher,
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt, pas de héros,
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains.
Dormez bien, la lune luit.
Général, bonne nuit !
Sur le plancher du salon,
Sont rangés les soldats de plomb.
Fantassins et artilleurs,
Des cavaliers, des sapeurs
Vont jouer leur destin.
Pourtant, aucun ordre ne vient.
Rantanplan, pas de grande parade !
Fermez le ban, pas de mousquetade !
Tout le monde au garde-à-vous !
Mais le général dort debout.
Les soldats étaient pourtant prêts,
On avait dit qu'ils se battraient,
Mais il faut qu'ils soient dissous
Car le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents.
Du colonel au sous-lieutenant,
Ils transmettent ce commandement :
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez sa tête se pencher,
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt, pas de héros,
Car le général fait dodo.
Devant ce grand désarroi,
Tout va vite de guingois.
Quatre tanks sont renversés ;
Tous les avions sont écroulés ;
D'un geste du pied,
Leur chef les a tous balayés.
Rantanplan, pas de grande parade !
Fermez le ban, pas de mousquetade !
Tout le monde au garde-à-vous !
Mais le général dort debout.
Les soldats étaient pourtant prêts,
On avait dit qu'ils se battraient,
Mais il faut qu'ils soient dissous
Car le général dort debout.
Les officiers ne sont pas contents.
Du colonel au sous-lieutenant,
Ils transmettent ce commandement :
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez sa tête se pencher,
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt, pas de héros,
Car le général fait dodo.
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains.
Dormez bien, la lune luit.
Général, bonne nuit !
envoyé par Marco Valdo M.I. - 23/2/2015 - 20:34
Langue: italien
Versione italiana / Italian version / Version italienne / Italiankielinen versio:
Riccardo Venturi, 21-5-2005
Riccardo Venturi, 21-5-2005
IL GENERALE DORME IN PIEDI
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
Sul pavimento della sala
son schierati i soldatini di piombo:
fantaccini ed artiglieri,
cavalieri e genieri;
stan per giocarsi la sorte,
ma nessun ordine arriva.
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
E arriva il mercante di sabbia
che porta il sonno nelle sue mani:
dorma bene, la luna splende;
generale, buonanotte!
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
Sul pavimento della sala
son schierati i soldatini di piombo:
fantaccini ed artiglieri,
cavalieri e genieri;
stan per giocarsi la sorte,
ma nessun ordine arriva.
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
E arriva il mercante di sabbia
che porta il sonno nelle sue mani:
dorma bene, la luna splende;
generale, buonanotte!
Ratataplàn, niente gran parata,
fermate il bando, niente moschettate:
tutti quanti son sull'attenti,
ma il generale dorme in piedi.
I soldati, come no, avevan detto
che avrebbero combattuto
si doveva fare una bella guerretta
ma il generale dorme in piedi.
Gli ufficiali non sono contenti,
dal colonnello al sottotenente,
di trasmettere quest'ordine:
Badabùm, badabùm, rompete le righe.
Ma guardatelo con il capo giù,
bisogna proprio portarlo a dormire
a passo d'eroe,
perché il generale fa la nanna.
Langue: italien
Il piccolo generale si è addormentato: La versione italiana del Trio Lescano e Aldo Masseglia [1938]
"Non so quanto la cosa sia volontaria, ma in questa canzone si respira una simpatica aria di disfattismo, per cui ho pensato di inviarvela. Manca però la strofetta di chiusura, di cui ho capito solo la metà delle parole. Se qualcuno riesce a decifrarla, l'aggiunga." (Alberto Scotti)
"Non so quanto la cosa sia volontaria, ma in questa canzone si respira una simpatica aria di disfattismo, per cui ho pensato di inviarvela. Manca però la strofetta di chiusura, di cui ho capito solo la metà delle parole. Se qualcuno riesce a decifrarla, l'aggiunga." (Alberto Scotti)
Il piccolo generale si è addormentato
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Son di piombo i soldatin
Bene armati, arditi e fier
Veterani e tamburin
Della stanzetta i guerrier
Pronti tutti stan
Ma gli ordini attendono invan
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Fermi stanno i cannonier
Mentre i carri armati van
Fan ritorno i cavalier
Non può volar l'aeroplan
Tutto ciò perché?
Un giusto motivo qui c'è!
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Son di piombo i soldatin
Bene armati, arditi e fier
Veterani e tamburin
Della stanzetta i guerrier
Pronti tutti stan
Ma gli ordini attendono invan
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Fermi stanno i cannonier
Mentre i carri armati van
Fan ritorno i cavalier
Non può volar l'aeroplan
Tutto ciò perché?
Un giusto motivo qui c'è!
La rivista non può passar
Grandi gesta nessun può far
Oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Dritti e in fila i soldati son
Pronti stanno già i battaglion
Ma alla guerra non si va
Perché il general dorme già
Il colonnello con il maggior
Il capitano ed il sergentin
Son furenti e più non san
Se alla guerra ancor
Quest'oggi andran
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
Ma se il bimbo vorran guardar
Con certezza potran pensar
Che oggi in guerra non si va
Perché il general dorme già
envoyé par Alberto Scotti - 19/10/2024 - 11:37
Langue: français
La "versione breve" intepretata da "Ray Ventura & ses collégiens (1936)
La "version courte" interprétée par "Ray Ventura & ses collégiens" (1936)
La "version courte" interprétée par "Ray Ventura & ses collégiens" (1936)
Le général dort debout
Sur le plancher du salon
Sont rangés les soldats d' plomb
Fantassins et artilleurs
Des cavaliers, des sapeurs
Ils vont jouer leur destin
Pourtant aucun ordre ne vient
Rantanplan, pas de grande parade
Fermez l' ban, pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout
Les soldats étaient pourtant prêts
On avait dit qu'ils se battraient
On devait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieutenant
Transmettent ce commandement
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt pas de héros
Car le général fait dodo
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit
Bonne nuit…
Sur le plancher du salon
Sont rangés les soldats d' plomb
Fantassins et artilleurs
Des cavaliers, des sapeurs
Ils vont jouer leur destin
Pourtant aucun ordre ne vient
Rantanplan, pas de grande parade
Fermez l' ban, pas de mousquetade
Tout le monde au garde-à-vous
Mais le général dort debout
Les soldats étaient pourtant prêts
On avait dit qu'ils se battraient
On devait faire une jolie guerre
Mais le général dort debout
Les officiers ne sont pas contents
Du colonel au sous-lieutenant
Transmettent ce commandement
"Baboum badaboum, rompez les rangs !"
Regardez la tête penchée
Il faut l'emmener se coucher
Ce tantôt pas de héros
Car le général fait dodo
Le marchand de sable vient
Apportant le sommeil en ses mains
Dormez bien, la lune luit
Général, bonne nuit
Bonne nuit…
envoyé par CCG/AWS Staff - 24/2/2015 - 10:27
Il brano originale è inglese, "The General's Fast Asleep", scritta da Kennedy e Carr e incisa nel 1935 da Gracie Fields.
Il brano divenne però famoso nella versione di Vera Lynn
Jean Féline ha scritto solo la versione francese del testo.
Credo si meglio unificare le due pagine.
Il brano divenne però famoso nella versione di Vera Lynn
Jean Féline ha scritto solo la versione francese del testo.
Credo si meglio unificare le due pagine.
B.B. - 10/2/2020 - 13:47
Scritta da Jimmy Kennedy e Michael Carr e interpretata da The Rhythm Rascals, uno dei nomi d'arte di Jay Wilbur e la sua orchestra. Nei crediti stranamente non compare Vera Lynn, che era in una delle sue primissime apparizioni e che sfondò solo qualche anno più tardi, nel 1939, con We'll Meet Again.
B.B. 8/3/2016 - 19/10/2024 - 19:37
Cher BB,
Je pense que tu as raison : il faudrait de façon générale que les chansons et les traductions soient toutes insérées sous leur titre dans la langue considérée au nom de leur auteur et en même temps, accessibles sous le nom du ou des interprètes et en cas de traduction sous le titre que la version porte dans la langue où elle est traduite, et en ce cas sous le nom du traducteur, adaptateur, des interprètes. À mon sens, ça devrait se résoudre dans l’organisation de la base de données.
Un exemple :
Quelqu’un de langue française cherchera « Le Général dort debout », il cherchera peut-être par le nom de l’auteur de la version française (s'il le connaît), ou d’un interprète et jamais, au grand jamais, il ne cherchera un titre dans une autre langue. Ceci est valable pour toutes les langues.
Donc, pour le général, laissons-le dormir où il est et mettons un lien vers la chanson d’origine. Sinon, on perdra tout simplement la trace de la chanson française.
Idem, par exemple, pour « Le Pénitencier » de Johnny Hallyday ; il ne viendra à l’idée d’aucun francophone d’aller le chercher sous le titre de « House of Rising Sun » et on cherchera encore moins, « La Fermeture » de Marco Valdo M.I. dans la "House of Rising Sun".
Or, j’insiste fortement sur le fait qu’une adaptation ou une parodie est une œuvre en soi. Elle doit donc figurer pour elle-même, sous son propre titre (forcément différent de celui de l'originale), avec son auteur et ses éventuels interprètes.
La solution est dans le renvoi des unes aux autres sans jamais perdre l’identité singulière de chacune.
Cordial
Lucien Lane
Je pense que tu as raison : il faudrait de façon générale que les chansons et les traductions soient toutes insérées sous leur titre dans la langue considérée au nom de leur auteur et en même temps, accessibles sous le nom du ou des interprètes et en cas de traduction sous le titre que la version porte dans la langue où elle est traduite, et en ce cas sous le nom du traducteur, adaptateur, des interprètes. À mon sens, ça devrait se résoudre dans l’organisation de la base de données.
Un exemple :
Quelqu’un de langue française cherchera « Le Général dort debout », il cherchera peut-être par le nom de l’auteur de la version française (s'il le connaît), ou d’un interprète et jamais, au grand jamais, il ne cherchera un titre dans une autre langue. Ceci est valable pour toutes les langues.
Donc, pour le général, laissons-le dormir où il est et mettons un lien vers la chanson d’origine. Sinon, on perdra tout simplement la trace de la chanson française.
Idem, par exemple, pour « Le Pénitencier » de Johnny Hallyday ; il ne viendra à l’idée d’aucun francophone d’aller le chercher sous le titre de « House of Rising Sun » et on cherchera encore moins, « La Fermeture » de Marco Valdo M.I. dans la "House of Rising Sun".
Or, j’insiste fortement sur le fait qu’une adaptation ou une parodie est une œuvre en soi. Elle doit donc figurer pour elle-même, sous son propre titre (forcément différent de celui de l'originale), avec son auteur et ses éventuels interprètes.
La solution est dans le renvoi des unes aux autres sans jamais perdre l’identité singulière de chacune.
Cordial
Lucien Lane
Lucien Lane - 10/2/2020 - 18:28
Ciao Lucien Lane, sulle prime ho pensato che il tuo fosse un "endorsement" e invece no. Io penso che le versioni debbano seguire l'originale nella stessa pagina e invece tu sei convinto che ogni versione abbia dignità a sè...
Punti di vista, non entro nel merito molto filosofico della diatriba, ma resto della mia idea... Non è che sono un tipo particolarmente ordinato, è che un database (una raccolta, una collezione, ecc.) o è ordinato o non è tale, secondo me, specie se è liberamente condiviso e non soggiace per questo all'ordine anche solo mentale di qualcuno...
La ricerca però non è mai un problema, basta saper cercare. E gli strumenti a nostra disposizione sono sempre più raffinati. Anche all'interno delle CCG/AWS abbiamo - grazie a (Ueb)Mastro Lorenzo - un motore di ricerca potentissimo e versatile, ed è proprio grazie a questo che ogni tanto s'incontrano i doppioni, le inconguenze, i rinvii scorretti, financo le provocazione dei troll.
Un caro saluto a raglio
PS. A proposito... Hai visto la pagina dedicata ad un tuo caro amico?
Punti di vista, non entro nel merito molto filosofico della diatriba, ma resto della mia idea... Non è che sono un tipo particolarmente ordinato, è che un database (una raccolta, una collezione, ecc.) o è ordinato o non è tale, secondo me, specie se è liberamente condiviso e non soggiace per questo all'ordine anche solo mentale di qualcuno...
La ricerca però non è mai un problema, basta saper cercare. E gli strumenti a nostra disposizione sono sempre più raffinati. Anche all'interno delle CCG/AWS abbiamo - grazie a (Ueb)Mastro Lorenzo - un motore di ricerca potentissimo e versatile, ed è proprio grazie a questo che ogni tanto s'incontrano i doppioni, le inconguenze, i rinvii scorretti, financo le provocazione dei troll.
Un caro saluto a raglio
PS. A proposito... Hai visto la pagina dedicata ad un tuo caro amico?
B.B. - 10/2/2020 - 20:33
@ Avvertenza provvisoria
Come forse starete notando, l’ “unificazione” di questa complicatissima pagina procede navigando a vista, e quindi chiedo scusa se la vedrete cambiare continuamente (visto che è necessario anche rifare totalmente le introduzioni). Non tenete conto, per ora, di niente di ciò che vi è scritto. Avvertirò quando più o meno la pagina sarà terminata. Nel frattempo, chiedo a tutti (amministratori, collaboratori ecc.) cortesemente di non intervenirvi in alcun modo; lo si potrà fare una volta che la pagina sarà stata decentemente sistemata. Grazie e scusate ancora.
Come forse starete notando, l’ “unificazione” di questa complicatissima pagina procede navigando a vista, e quindi chiedo scusa se la vedrete cambiare continuamente (visto che è necessario anche rifare totalmente le introduzioni). Non tenete conto, per ora, di niente di ciò che vi è scritto. Avvertirò quando più o meno la pagina sarà terminata. Nel frattempo, chiedo a tutti (amministratori, collaboratori ecc.) cortesemente di non intervenirvi in alcun modo; lo si potrà fare una volta che la pagina sarà stata decentemente sistemata. Grazie e scusate ancora.
Riccardo Venturi - 19/10/2024 - 19:26
Si continua domani. The Admin's fast asleep / L'Administrateur dort debout. Buonanotte!
Riccardo Venturi - 20/10/2024 - 00:01
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PAGINA IN ALLESTIMENTO – Unificazione con altre pagine
PAGE UNDER CONSTRUCTION – Merging with other pages.
PAGE EN CONSTRUCTION – Unification avec autres pages
[1935 ; 1936]
English lyrics / Paroles anglaises / Testo inglese / Englanninkieliset sanat:
Jimmy Kennedy (1902-1984) - Michael Carr (1905-1968)
Musica / Musique / Music / Sävel: Jimmy Kennedy (1902-1984) - Michael Carr (1905-1968)
First performed by / Primi interpreti / Premiers interprètes / Ensimmäiset esittäjät:
1. Gracie Fields, 1935
2. The Rhythm Rascals (Jay Wilbur and his Orchestra) with / con / avec Vera Lynn, 1935
Paroles françaises / Testo francese / French Lyrics / Ranskankieliset sanat: Jean Féline (1908-1945) [1936]
Interpretata anche da / Interprétée aussi par / Also sung by / Laulaakin: Georges Brassens
In / Dans: Georges Brassens chante les chansons de sa jeunesse'ssa (1980)
Questa deliziosa canzone che ci parla di un...generale del tutto particolare (e che ci sta stavolta simpatico, lo capirete leggendo il testo) ha una storia del tutto particolare. E’ una canzone praticamente nata bilingue; in realtà, l’originale inglese, The General's Fast Asleep, fu scritto e musicato nel 1935 dai due compositori e musicisti Jimmy Kennedy e Michael Carr, come “Military Foxtrot”. La prima interprete fu l’attrice e cantante Gracie Fields (1898-1979); ma la canzone è particolarmente nota nella contemporanea interpretazione dei Rhythm Rascals (una delle formazioni dell’orchestra di Jay Wilbur) assieme a Vera Lynn. La grande artista era però alle sue primissime apparizioni (aveva soltanto diciotto anni), e non fu fatta comparire nei crediti della canzone. Si sarebbe senz’altro rifatta qualche anno dopo.
Interpretata dai Rhythm Rascals e Vera Lynn (1935)
Performed by The Rhythm Rascals and Vera Lynn (1935)
Georges Brassens: Le général dort debout (1980)