Partigiani di tutte le valli
Dove siete, partigia di tutte le valli,
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse, Tom?
In piedi, vecchi: per noi non c’e’ congedo.
Ritroviamoci. (Ritroviamoci)
Ritorniamo in montagna,(Ritorniamo in montagna)
lenti, ansanti, con le ginocchia legate,
con molti inverni nel filo della schiena.
(con molti inverni nel filo della schiena)
Il pendio del sentiero ci sarà duro,
ci sarà duro il giaciglio, duro il pane.
Ci guarderemo senza riconoscerci,
(Ritroviamoci, Ritorniamo in montagna)
diffidenti l’uno dell’altro,
(Ritroviamoci, Ritorniamo in montagna)
queruli, ombrosi.
Come allora, staremo di sentinella
perché nell’alba non ci sorprenda il nemico.
Quale nemico? Ognuno e’ nemico di ognuno,
spaccato ognuno dalla sua propria frontiera,
la mano destra nemica della sinistra.
In piedi, vecchi, nemici di voi stessi:
La nostra guerra non e’ mai finita.
Dove siete, partigia di tutte le valli,
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse, Tom?
In piedi, vecchi: per noi non c’e’ congedo.
Ritroviamoci. (Ritroviamoci)
Ritorniamo in montagna,(Ritorniamo in montagna)
lenti, ansanti, con le ginocchia legate,
con molti inverni nel filo della schiena.
(con molti inverni nel filo della schiena)
Il pendio del sentiero ci sarà duro,
ci sarà duro il giaciglio, duro il pane.
Ci guarderemo senza riconoscerci,
(Ritroviamoci, Ritorniamo in montagna)
diffidenti l’uno dell’altro,
(Ritroviamoci, Ritorniamo in montagna)
queruli, ombrosi.
Come allora, staremo di sentinella
perché nell’alba non ci sorprenda il nemico.
Quale nemico? Ognuno e’ nemico di ognuno,
spaccato ognuno dalla sua propria frontiera,
la mano destra nemica della sinistra.
In piedi, vecchi, nemici di voi stessi:
La nostra guerra non e’ mai finita.
envoyé par DonQuijote82 - 20/6/2009 - 16:27
Langue: italien
Partigiani - Primo Levi
Dove siete, partigiani di tutte le valli,
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse?
Molti dormono in tombe decorose,
quelli che restano hanno i capelli bianchi
e raccontano ai figli dei figli
come, al tempo remoto delle certezze,
hanno rotto l'assedio dei tedeschi
là dove adesso sale la seggiovia.
Alcuni comprano e vendono terreni,
altri rosicchiano la pensione dell'Inps
o si raggrinzano negli enti locali.
In piedi, vecchi: per noi non c'e' congedo.
Ritroviamoci. Ritorniamo in montagna,
lenti, ansanti, con le ginocchia legate,
con molti inverni nel filo della schiena.
Il pendio del sentiero ci sarà duro,
ci sarà duro il giaciglio, duro il pane.
Ci guarderemo senza riconoscerci,
diffidenti l'uno dell'altro, queruli, ombrosi.
Come allora, staremo di sentinella
perché nell'alba non ci sorprenda il nemico.
Quale nemico? Ognuno e' nemico di ognuno,
spaccato ognuno dalla sua propria frontiera,
la mano destra nemica della sinistra.
In piedi, vecchi, nemici di voi stessi:
La nostra guerra non e' mai finita.
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse?
Molti dormono in tombe decorose,
quelli che restano hanno i capelli bianchi
e raccontano ai figli dei figli
come, al tempo remoto delle certezze,
hanno rotto l'assedio dei tedeschi
là dove adesso sale la seggiovia.
Alcuni comprano e vendono terreni,
altri rosicchiano la pensione dell'Inps
o si raggrinzano negli enti locali.
In piedi, vecchi: per noi non c'e' congedo.
Ritroviamoci. Ritorniamo in montagna,
lenti, ansanti, con le ginocchia legate,
con molti inverni nel filo della schiena.
Il pendio del sentiero ci sarà duro,
ci sarà duro il giaciglio, duro il pane.
Ci guarderemo senza riconoscerci,
diffidenti l'uno dell'altro, queruli, ombrosi.
Come allora, staremo di sentinella
perché nell'alba non ci sorprenda il nemico.
Quale nemico? Ognuno e' nemico di ognuno,
spaccato ognuno dalla sua propria frontiera,
la mano destra nemica della sinistra.
In piedi, vecchi, nemici di voi stessi:
La nostra guerra non e' mai finita.
envoyé par DonQuijote82 - 20/6/2009 - 16:28
Langue: français
Version française - NOTRE GUERRE N'EST JAMAIS FINIE – Marco valdo M.I. – 2012
Chanson italienne – La nostra guerra non è mai finita – Yo Yo Mundi
Chanson italienne – La nostra guerra non è mai finita – Yo Yo Mundi
15 janvier 1945: 13 partisans de la Brigade Tom de Casale Monferrato sont massacrés.
15 janvier 2005, à soixante ans de distance, les "Yo Yo Mundi" sur la scène du théâtre du dix-huitième siècle de Casale donnent vie, avec d'autres musiciens et les voix de Fabrice Pagella et de Giuseppe Cederna, à travers un récital-concert, à cette histoire, 13 partisans, 13 musiciens sur la scène, coïncidences étranges!
"Résistance", un cd double, précieux témoignage sonore et vidéo de ce que pour les "Yo Yo mundi", la musique a toujours été et doit continuer à être un véhicule de culture, de mémoires, de souvenirs, d'histoires et de poésie.
"Merci, maintenant et pour toujours, à tous les hommes et les femmes qui ont vécu ces années de lutte et d'espoir et qui ont lutté – au péril de leur vie – pour libérer l'Italie du fascisme et des nazis. Merci à tous ceux qui continuent à lutter pour les mêmes idéaux contre les nouveaux fascismes."
Ainsi lit-on sur les premières pages du livret alors que commence à se diffuser les premières notes du concert qui s'ouvre avec un fragment d'un poème de « Partigia » de Primo Levi.
La musique des Yo Yo Mundi voyage entre la chanson d'auteur et les ambiances liées à la musique populaire et acoustique faite d'accordéon, de guitare, de violon et de percussion. …
Dans la nuit, ici et maintenant, soir de carnaval, on entend les tirs d'un feu d'artifice...Un fond sonore idéal pour cette chanson...
Tu vois, Lucien l'âne mon ami, le titre de cette chanson... Il résume ce que contient la chanson elle-même, bien évidemment. Et, je me demande si comme à moi, il ne rappelle rien... Il ne sonne pas comme un écho d'un thème qui nous est cher...
J'avais la même sensation. Cette même impression que cette chanson doit parler de la Guerre de Cent Mille Ans, de cette chanson que tu as écrite et dont le titre est précisément : La Guerre de cent Mille Ans.et particulièrement de ce passage qui parle de l'Italie :
Exact, Lucien l'âne mon ami. Et par rapport à cette citation de la Guerre de Cent Mille Ans, le poème de Primo Levi est en quelque sorte prémonitoire. Cette vérité était bien perçue par ceux qui avaient mené le combat, y compris intellectuel, contre le fascisme et le nazisme. Quant à ces partisans dans la montagne, ils me rappellent ce soir Beppe Fenoglio et son Partigiano Johnny. Pour le reste, en effet, « Notre guerre n'est jamais finie. »
Non, elle n'est jamais finie... et c'est bien pour ça que d'aucuns font la moue quand on parle de résistance, que certains essaient d'effacer toute trace de ces combats de libération, que les mêmes parlent d'histoire ancienne... Mais enfin, en disant cela, ils ne font que donner plus de force encore à la résistance, plus de profondeur encore à la nécessaire résistance... Et sais-tu pourquoi, ils veulent effacer jusqu'à la mémoire de la résistance ? Tout simplement, car cette mémoire révèle ce qu'ils sont, révèle leur vrai visage, leur vraie nature...
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
15 janvier 2005, à soixante ans de distance, les "Yo Yo Mundi" sur la scène du théâtre du dix-huitième siècle de Casale donnent vie, avec d'autres musiciens et les voix de Fabrice Pagella et de Giuseppe Cederna, à travers un récital-concert, à cette histoire, 13 partisans, 13 musiciens sur la scène, coïncidences étranges!
"Résistance", un cd double, précieux témoignage sonore et vidéo de ce que pour les "Yo Yo mundi", la musique a toujours été et doit continuer à être un véhicule de culture, de mémoires, de souvenirs, d'histoires et de poésie.
"Merci, maintenant et pour toujours, à tous les hommes et les femmes qui ont vécu ces années de lutte et d'espoir et qui ont lutté – au péril de leur vie – pour libérer l'Italie du fascisme et des nazis. Merci à tous ceux qui continuent à lutter pour les mêmes idéaux contre les nouveaux fascismes."
Ainsi lit-on sur les premières pages du livret alors que commence à se diffuser les premières notes du concert qui s'ouvre avec un fragment d'un poème de « Partigia » de Primo Levi.
La musique des Yo Yo Mundi voyage entre la chanson d'auteur et les ambiances liées à la musique populaire et acoustique faite d'accordéon, de guitare, de violon et de percussion. …
Dans la nuit, ici et maintenant, soir de carnaval, on entend les tirs d'un feu d'artifice...Un fond sonore idéal pour cette chanson...
Tu vois, Lucien l'âne mon ami, le titre de cette chanson... Il résume ce que contient la chanson elle-même, bien évidemment. Et, je me demande si comme à moi, il ne rappelle rien... Il ne sonne pas comme un écho d'un thème qui nous est cher...
J'avais la même sensation. Cette même impression que cette chanson doit parler de la Guerre de Cent Mille Ans, de cette chanson que tu as écrite et dont le titre est précisément : La Guerre de cent Mille Ans.et particulièrement de ce passage qui parle de l'Italie :
« En Italie, « il ventennio » dura vingt ans
Il est revenu.
Épisode de la guerre des parvenus
contre les simples gens.
Guerre larvée, guerre cachée
Guerre camouflée, guerre déguisée
Guerre bourgeoise
Celle-là, ne l'oublie pas
Jamais !
Non dimenticarla,
Mai !
Elle n'est jamais partie
Elle est toujours là
Hiver comme été,
Guerre étale
Sans pitié
Guerre sociale
Sans répit
Guerre libérale
Contre les pauvres, contre les petits. »
Il est revenu.
Épisode de la guerre des parvenus
contre les simples gens.
Guerre larvée, guerre cachée
Guerre camouflée, guerre déguisée
Guerre bourgeoise
Celle-là, ne l'oublie pas
Jamais !
Non dimenticarla,
Mai !
Elle n'est jamais partie
Elle est toujours là
Hiver comme été,
Guerre étale
Sans pitié
Guerre sociale
Sans répit
Guerre libérale
Contre les pauvres, contre les petits. »
Exact, Lucien l'âne mon ami. Et par rapport à cette citation de la Guerre de Cent Mille Ans, le poème de Primo Levi est en quelque sorte prémonitoire. Cette vérité était bien perçue par ceux qui avaient mené le combat, y compris intellectuel, contre le fascisme et le nazisme. Quant à ces partisans dans la montagne, ils me rappellent ce soir Beppe Fenoglio et son Partigiano Johnny. Pour le reste, en effet, « Notre guerre n'est jamais finie. »
Non, elle n'est jamais finie... et c'est bien pour ça que d'aucuns font la moue quand on parle de résistance, que certains essaient d'effacer toute trace de ces combats de libération, que les mêmes parlent d'histoire ancienne... Mais enfin, en disant cela, ils ne font que donner plus de force encore à la résistance, plus de profondeur encore à la nécessaire résistance... Et sais-tu pourquoi, ils veulent effacer jusqu'à la mémoire de la résistance ? Tout simplement, car cette mémoire révèle ce qu'ils sont, révèle leur vrai visage, leur vraie nature...
Ainsi Parlaient Marco Valdo M.I. et Lucien Lane
NOTRE GUERRE N'EST JAMAIS FINIE
Partisans de toutes les vallées
Où êtes-vous partisans de toutes les vallées
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse, Tom ?
Debout, les vieux: pour nous, il n'y a pas de répit.
Retrouvons-nous (Retrouvons-nous)
Retournons en montagne (Retournons en montagne).
Lents, haletants, avec les genoux liés,
Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.
(Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.)
La pente du sentier sera dure,
Le grabat sera dur, et dur le pain.
Nous nous regarderons sans nous reconnaître,
(Retrouvons-nous, retournons en montagne)
Méfiants l'un de l'autre,
(Retrouvons-nous, retournons en montagne)
Geignards, ombrageux.
Comme alors, nous resterons de sentinelle,
Pour qu'à l'aube, l'ennemi ne nous surprenne pas.
Quel ennemi? Chacun est ennemi de chacun,
Divisé chacun par sa propre frontière,
La main droite ennemie de la gauche.
Debout, les vieux, ennemis de vous-mêmes:
Notre guerre pas n'est jamais finie.
Partisans de toutes les vallées
Où êtes-vous partisans de toutes les vallées
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse, Tom ?
Debout, les vieux: pour nous, il n'y a pas de répit.
Retrouvons-nous (Retrouvons-nous)
Retournons en montagne (Retournons en montagne).
Lents, haletants, avec les genoux liés,
Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.
(Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.)
La pente du sentier sera dure,
Le grabat sera dur, et dur le pain.
Nous nous regarderons sans nous reconnaître,
(Retrouvons-nous, retournons en montagne)
Méfiants l'un de l'autre,
(Retrouvons-nous, retournons en montagne)
Geignards, ombrageux.
Comme alors, nous resterons de sentinelle,
Pour qu'à l'aube, l'ennemi ne nous surprenne pas.
Quel ennemi? Chacun est ennemi de chacun,
Divisé chacun par sa propre frontière,
La main droite ennemie de la gauche.
Debout, les vieux, ennemis de vous-mêmes:
Notre guerre pas n'est jamais finie.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 20/3/2012 - 21:50
Langue: français
Version française - PARTISANS – Marco valdo M.I. – 2012
PARTIGIANI - Primo Levi
PARTIGIANI - Primo Levi
PARTISANS (Primo Levi)
Où êtes-vous partisans de toutes les vallées
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse ?
Beaucoup dorment dans des tombes dignes,
Ceux qui restent ont les cheveux blancs
Et ils racontent aux fils des fils
Comment, au temps lointain des certitudes,
Ils ont cassé l'assaut des Allemands
Là où maintenant monte le télésiège.
Certains achètent et vendent des terrains,
D'autres grignotent la pension de retraite
Ou se ratatinent dans les organismes locaux.
Debout, les vieux: pour nous, il n'y a pas de répit.
Retrouvons-nous. Retournons en montagne,
Lents, haletants, avec les genoux liés,
Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.
La pente du sentier sera dure,
Le grabat sera dur, et dur le pain.
Nous nous regarderons sans nous reconnaître,
Méfiants l'un de l'autre, geignards, ombrageux.
Comme alors, nous resterons de sentinelle,
Pour qu'à l'aube, l'ennemi ne nous surprenne pas.
Quel ennemi? Chacun est ennemi de chacun,
Divisé chacun par sa propre frontière,
la main ennemie droite de la gauche.
Debout, les vieux, ennemis de vous mêmes:
Notre guerre pas n'est jamais finie.
Où êtes-vous partisans de toutes les vallées
Tarzan, Riccio, Sparviero, Saetta, Ulisse ?
Beaucoup dorment dans des tombes dignes,
Ceux qui restent ont les cheveux blancs
Et ils racontent aux fils des fils
Comment, au temps lointain des certitudes,
Ils ont cassé l'assaut des Allemands
Là où maintenant monte le télésiège.
Certains achètent et vendent des terrains,
D'autres grignotent la pension de retraite
Ou se ratatinent dans les organismes locaux.
Debout, les vieux: pour nous, il n'y a pas de répit.
Retrouvons-nous. Retournons en montagne,
Lents, haletants, avec les genoux liés,
Avec beaucoup d'hivers sur notre dos.
La pente du sentier sera dure,
Le grabat sera dur, et dur le pain.
Nous nous regarderons sans nous reconnaître,
Méfiants l'un de l'autre, geignards, ombrageux.
Comme alors, nous resterons de sentinelle,
Pour qu'à l'aube, l'ennemi ne nous surprenne pas.
Quel ennemi? Chacun est ennemi de chacun,
Divisé chacun par sa propre frontière,
la main ennemie droite de la gauche.
Debout, les vieux, ennemis de vous mêmes:
Notre guerre pas n'est jamais finie.
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15 gennaio 1945: 13 partigiani della Brigata Tom di Casale Monferrato vengono trucidati. 15 gennaio 2005, a sessant’anni di distanza, gli “Yo Yo Mundi” sul palco del teatro settecentesco di Casale danno vita, assieme ad altri musicisti ed alle voci di Fabrizio Pagella e di Giuseppe Cederna, attraverso un recital-concerto, proprio a quella storia,
13 partigiani, 13 musicisti sul palco, strane coincidenze!
“Resistenza”, un doppio cd, preziosa testimonianza audio e video di come per gli “Yo yo mundi” la musica sia sempre stata e debba continuare ad essere, veicolo di cultura, di memorie, di ricordi, di storie e di poesia.
“Grazie, ora e per sempre, a tutti gli uomini e le donne che hanno vissuto quegli anni di lotta e speranza e che hanno lottato – anche a costo della vita – per liberare l’Italia dal fascismo e dai nazisti. Grazie a tutti quelli che continuano a lottare per gli stessi ideali contro i nuovi fascismi” . Così si legge nelle prime pagine del curatissimo booklet, mentre dal lettore cd iniziano a diffondersi le prime note del concerto, che si apre con un frammento della poesia “Partigia” di Primo Levi.
Una di seguito all’altra, le tracce del cd si lasciano ascoltare senza alcun bisogno di commenti, perché ogni parola potrebbe sembrare superflua e irrimediabilmente fuori luogo.
La musica degli Yo Yo Mundi viaggia in bilico tra la canzone d’autore e le atmosfere legate alla musica popolare ed acustica fatta di fisarmoniche, chitarre, violini e percussioni. Tra i brani più belli del cd, vanno sicuramente segnalati “Eurialo e Niso” una ballata scritta da Massimo Bubola, “Brigata Partigiana Alphaville”, e “L’ultimo testimone”. Da segnalare inoltre “A Stalingrado no!” frammento, inserito nel concerto, tratto da un vecchio vinile “Lettere da Stalingrado” con la voce di Arnoldo Foà, ed infine una nuova versione, quasi rock di “Bella ciao”.
La nostra guerra non è mai finita – Al Golgota - Eurialo e Niso (Gang) – Non c'è nessun "dopoguerra" - Le storie di ieri (Francesco De Gregori) – Ma l'amore si fa ripensare – Brigata partigiana Alphaville (Lalli) – The Partisan (Leonard Cohen) – Tredici – Ma a Stalingrado no! - Stalingrado (Stormy Six) - L’Ultimo Testimone - Festa d'aprile (Franco Antonicelli) – Bella Ciao – Viva l'Italia (Francesco De Gregori)