Giorno dopo giorno
si cammina nella neve
è la neve che si scioglie
anche quando non c'è il sole
Giorno dopo giorno
alla ricerca di un confine
forse un fiume senza ponti
forse barche alla deriva
Giorni senza notte
e senza luce di mattina
giorni come navi
messe dentro a una bottiglia
Giorni senza baci
e senza voglia di riscossa
giorni come tarli
che consumano le ossa
Giorno dopo giorno
si cancellano le tracce
una croce ogni tre fiori
senza petali né spine
Giorno dopo giorno
si avvicina la frontiera
una luce all'orizzonte
o forse è solo una chimera
Giorni con la notte
arriveranno domattina
giorni come il sogno
di un amore senza fine
Giorni con i lacci
per legarli alla memoria
giorni come bruchi
che consumano una foglia.
si cammina nella neve
è la neve che si scioglie
anche quando non c'è il sole
Giorno dopo giorno
alla ricerca di un confine
forse un fiume senza ponti
forse barche alla deriva
Giorni senza notte
e senza luce di mattina
giorni come navi
messe dentro a una bottiglia
Giorni senza baci
e senza voglia di riscossa
giorni come tarli
che consumano le ossa
Giorno dopo giorno
si cancellano le tracce
una croce ogni tre fiori
senza petali né spine
Giorno dopo giorno
si avvicina la frontiera
una luce all'orizzonte
o forse è solo una chimera
Giorni con la notte
arriveranno domattina
giorni come il sogno
di un amore senza fine
Giorni con i lacci
per legarli alla memoria
giorni come bruchi
che consumano una foglia.
envoyé par Riccardo Venturi
Langue: français
Version française – JOUR APRÈS JOUR – Marco Valdo M.I. – 2013
Chanson italienne - Giorno dopo giorno – Vittorio Merlo
Cette chanson est née d'un récit de guerre d'un client de mon père (qui était médecin), son patient lui raconta son retour d'un camp de prisonniers et je fus ainsi si impressionné par son récit que nous rapporta mon père que j'écrivis cette chanson. »
[Vittorio Merlo de mailing list de « Bielle »]
Chanson italienne - Giorno dopo giorno – Vittorio Merlo
Cette chanson est née d'un récit de guerre d'un client de mon père (qui était médecin), son patient lui raconta son retour d'un camp de prisonniers et je fus ainsi si impressionné par son récit que nous rapporta mon père que j'écrivis cette chanson. »
[Vittorio Merlo de mailing list de « Bielle »]
JOUR APRÈS JOUR
Jour après jour, heure après heure
On marche dans la neige
La neige qui se craquelle
Même lorsqu'il n'y a pas de soleil
Jour après jour, heure après heure
À la recherche d'une frontière
Peut-être d'un fleuve sans barrière
Peut-être de barques à la dérive
Jours sans nuit, sans fin
Et sans lumière du matin
Jours comme des navires
Dans une bouteille
Jours sans baisers
Et sans plus envie de se sauver
Jours comme des asticots
Qui rongent nos os.
Jour après jour, heure après heure
Nos traces s'effacent
Une croix toutes les trois fleurs
Sans pétales ni épines
Jour après jour, heure après heure
On approche de la frontière
À l'horizon une lumière
Ou peut-être seulement une chimère
Jours avec la nuit sans fin
Qui arriveront demain matin
Jours comme mon rêve
D'un amour sans fin
Jours avec les cordes
Pour les lier à la mémoire
Jours comme des larves
Qui bouffent une feuille.
Jour après jour, heure après heure
On marche dans la neige
La neige qui se craquelle
Même lorsqu'il n'y a pas de soleil
Jour après jour, heure après heure
À la recherche d'une frontière
Peut-être d'un fleuve sans barrière
Peut-être de barques à la dérive
Jours sans nuit, sans fin
Et sans lumière du matin
Jours comme des navires
Dans une bouteille
Jours sans baisers
Et sans plus envie de se sauver
Jours comme des asticots
Qui rongent nos os.
Jour après jour, heure après heure
Nos traces s'effacent
Une croix toutes les trois fleurs
Sans pétales ni épines
Jour après jour, heure après heure
On approche de la frontière
À l'horizon une lumière
Ou peut-être seulement une chimère
Jours avec la nuit sans fin
Qui arriveront demain matin
Jours comme mon rêve
D'un amour sans fin
Jours avec les cordes
Pour les lier à la mémoire
Jours comme des larves
Qui bouffent une feuille.
envoyé par Marco Valdo M.I. - 13/11/2013 - 17:30
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Questa canzone nasce da un racconto di guerra di un cliente di mio padre (che era medico), questi suo paziente gli racconto' del suo ritorno da un campo di prigionia e io rimasi cosi' impressionato dal racconto che ci riporto' mio padre che scrissi questa canzone."
[Vittorio Merlo dalla mailing list "Bielle"]